Francis Marois

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(Francis Marois, en 2014, lors d'une allocution aux gradués de la Faculté de Science politique
Université d'Aspen II)
  • Nom de naissance : Marois
  • Prénom(s) de naissance : Francis Alexandre
  • Nom usuel : Francis Marois
  • Date de naissance : 14 septembre 1966 (48 ans)
  • Lieu de naissance : Anglès, Lombardie
  • Nationalité : Frôceuse
  • Situation maritale : Divorcé
  • Enfants : Brian Marois, 19 ans
  • Religion : Inconnue
  • Cursus et fonctions
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Francis Alexandre Marois, connu sous le nom de Francis Marois et né le 14 septembre 1966, est un professeur universitaire frôçois. Envoyé par ses parents aux États-Unis à la fin de ses études primaires afin qu'il étudie dans les plus prestigieuses universités américaines, Francis Marois obtient, à l'âge de vingt-trois ans, un baccalauréat en communication de l'Université de Pennsylvanie. La même année, il est accepté à la prestigieuse université de Harvard, où il décroche deux ans plus tard une maîtrise en administration publique. Après un an sur le programme des assistés sociaux de l'État de Pennsylvanie, il se dirige vers l'État de New York où il décroche un poste de recherchiste pour l'Université de Columbia. Il deviendra assistant professeur de politique publique en 1997, puis en 1999, professeur du même cours.

Le neuf mai 2003, il fait une sortie en règle contre les «politiques néfastes pour les générations futures» du Secrétaire à l'Éducation américaine Rod Paige. Dans un long plaidoyer de quarante minutes, qu'il livre lors de la Conférence américaine sur l'avenir des Universités, il dénonce les «nombreuses ingérences» du Secrétaire Paige qui, selon lui, vont à l'encontre de la «mission principale des Universités», soit de livrer «objectivement, sans attache ni couleur» les réalités de «l'Amérique moderne». Le lendemain, le Secrétaire à l'Éducation Rod Paige s'inquiète, en conférence de presse, de la présence d'un «Frôceux qui cherche à détruire le modèle d'éducation actuel». Le Secrétaire Paige invite d'ailleurs Francis Marois à «se soumettre à l'autorité» qu'il représente pour l'Éducation. Trois jours plus tard, le treize mai 2003, Francis Marois démissionne de ses fonctions à l'Université de Columbia et annonce qu'il quittera les États-Unis pour rejoindre son pays natal, une «Terre d'accueil et de respect».

De retour dans la République Frôceuse, et désormais célèbre, Francis Marois donne plusieurs conférences tant au Canada, au États-Unis qu'en Frôce. En février 2005, l'Université d'Aspen II lui offre le poste de professeur en Administration et politiques publiques, à la Faculté de science politique de l'Université. Il accepte, heureux de retrouver sa zone de confort. Il restera en fonction jusqu'en 2012 où il devient directeur du Département des Sciences politiques de la même Faculté. Professeur supléant à l'occasion, Francis Marois est un homme très respecté à Aspen II, où tant les étudiants que les professeurs viennent à lui pour différents sujets personnels et professionnels. Considéré comme l'un des meilleurs éléments de la Faculté de science politique d'Aspen II, sinon le meilleur, Francis Marois n'a jusqu'ici jamais démontré quelconque appartenance politique à un mouvement ou l'autre. Dans un article de treize pages publié dans le Harvard Crimson, le journaliste Walter Jefferson explique pourquoi Francis Marois serait, aux États-Unis, ce qui se rapproche le plus du Parti démocrate. S'il explique sa théorie en partie grâce à la prise de bec qu'il a eu avec l'Administration de George W. Bush et qui a mené à son départ de l'Amérique, un article publié dans le Harvard Independant tend plutôt à croire que Francis Marois serait républicain et conservateur, se basant essentiellement sur le fait que Marois a invité à deux reprises à ses cours (2008 et 2011) l'ancien Secrétaire à l'Éducation des États-Unis Rob Paige.



Plus à venir...
Directeur du département des Sciences politiques (Faculté de Science politique, Université d'Aspen II)
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