Valentino Borgia

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Valentino Borgia
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Valentino Borgia

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Valentino Alessandro Borgia dit "Tino"
Nationalité frôceuse
Veuf
avec 2 enfants
né le 14 décembre 1974
à Anglès
habite Anglès, 7 rue de la liberté
Professeur retraité de l'université d'Anglès ; Professeur retraité de l'université de San Pedro (Costa Rica), Président d'honneur d
Fonctions politiques : parti politique : alternative démocrate libertarienne
fonctions politiques actuelles : président de l'alternative démocrate libetarienne, maire d'Anglès

Valentino Borgia est un universitaire et homme politique frôceux, connu pour être le premier Président de l'Alternative Démocrate Libertarienne. Très ancré dans le paysage politique prigorien, notamment pour ses conférences sur les concepts de citoyenneté mondiale et d'objectivisme libertarien, Valentino Borgia a toutefois su tissé des liens étroits avec des personnalités internationales du libertarianisme lors de ses études et de ses premiers pas de chercheur en particulier aux Etats-Unis.
Premier Ministre libertarien et Président de l'Alternative Démocrate Frôceuse, il quitte ses fonctions et la vie politique frôceuse en juillet 2013 pour recommencer une nouvelle vie au Costa Rica, pays natal de son épouse. En mai 2015, il revient à Frôce, richissime, veuf sans dévoiler ses intentions quant à ses projets.

Enfance et adolescence 1974 -1992
Né à Anglès d'un père frôceux d'origine italienne (Lorenzo Christiano Borgia) et d'une mère frôceuse (Léontine Hélène Vidal), Valentino Borgia vit à Anglès jusqu'à ses 5 ans. En 1979, son père, promu à un poste de cadre dans l'industrie de l'aluminium, est muté à Aspra Spitia, en Grèce, où la famille déménage et habite durant 3 années. Le jeune Valentino y apprendra alors quelques rudiment de grec et dès lors passionné par la civilisation grecque antique, dévorera bon nombre d'ouvrages philosophiques des plus grands penseurs notamment les stoïciens.
En 1982, sa mère, institutrice à l'école Saint-Nicolas d'Antikira, commune voisine d'Aspra Spitia, est solicitée afin de dispenser l'enseignement de la Littérature au lycée Henri IV à Paris. Pendant près de 2 années, Valentino, ainsi que son frère Loukas et sa soeur Sofia, vivent entre Paris et Aspra Spitia, le père n'ayant pu être muté.
En 1983, Valentino a 9 ans. C'est l'année où il perd son père, décédé suite au crash de son avion en approche de Madrid. Il s'y rendait afin d'organiser l'installation prochaine de la toute la famille.
Effondrée, toute la famille s'installe tout de même dans la capitale espagnole. Contrairement aux prévisions, la vie y est difficile. Le seule salaire de la mère ne suffit pas à nourrir les trois enfants Borgia. Six mois après leur emménagement, la famille retourne en Frôce, non pas à Anglès, trop chère, mais à Orgues les Bains, où la mère réussit à trouver un poste d'institutrice. Le salaire y est moindre mais le coût de la vie également.
Valentino y reste jusqu'en 1992.

Etudes et premiers pas dans la vie active 1992 - 2004
Il décide alors, avec son frère Loukas, de partir de Frôce dans un premier temps pour l'Angleterre puis pour les Etats-Unis afin d'y suivre des cours à l'université d'abord à la City University of New York puis à l'université privée de Columbia, toujours à New York. A l'occasion d'échanges interuniversitaires, Valentino voyage au Mexique, au Canada et aux Pays-Bas en 1994 où il fait la connaissance d'étudiants proches du parti libertarien tout récemment créé. Il prolonge son séjour à ses vacances d'été et s'y forge en quelques mois des convictions politiques qui répondent à ses idéaux.
En 2000 il obtient son doctorat et se voit proposer d'enseigner les relations internationales à l'université américaine George Washington. Il accepte et y officie deux années, jusqu'à 2002. Il noue durant toute cette période des liens avec les libertariens américains notamment avec des proches d'Aaron Russo. Mais il préfère s'en éloigner après les premiers scandales liés à l'adhésion d'Aaron Russo à la théorie du complot concernant les attentats du 11 septembre.
2002 est l'année costaricaine. Séduit par le mouvement libertarien de Raul Costales, Valentino Borgia demande son affection à la Ciudad Universitaria Rodrigo Facio de San Pedro. Il y obtient une place de professeur/chercheur mais est subordonné à un professeur costaricain qui voit mal l'arrivée d'un diplômé américain dans son service. Mis de côté, Valentino Borgia se réfugie dans la politique. Il demande à son frère Loukas, rentré en Frôce, de créer une association libertarienne à Anglès. Nous sommes alors au début de l'année 2004. Valentino a 30 ans.

Début en politique et vie amoureuse 2004 – 2009
Les premiers pas de l'association sont catastrophiques. Peu concerné, le frère de Valentino, Loukas, ne parvient pas à tisser ne serait-ce qu'un petit réseau local. Désabusé, et alors que de son côté il réussit à trouver des étudiants costaricains motivés pour venir étudier en Frôce et participer à l'émergence politique du libertarianisme, Valentino met en suspens son projet frôceux, prenant ses distances avec son frère. La mère des deux garçons désapprouve alors Valentino et les relations avec sa famille se réduisent à quelques coups de téléphones irréguliers principalement à sa soeur Sofia, institutrice à Anglès.
Il se consacre alors à la vie politique costaricaine et se rapproche d'Otto Guevara Guth, co fondateur du mouvement libertarien costaricain. Lui même professeur à l'université de Costa-Rica, cette amitié naissante permet à Valentino de retrouver un statut comme professeur/chercheur.
En 2005, Valentino Borgia rencontre Gracia Jimenez, nièce d'Otto Guevara Guth. Malheureusement, ce dernier désapprouve leur relation prétextant une trop grande différence d'âge. Valentino vient d'avoir 31 ans, Gracia en a 22.
A cause de ces difficultés personnelles, le jeune couple décide en 2006 de quitter le Costa-Rica.
Ils s'établissent dans un premier temps en Espagne, à Alicante où Valentino Borgia peut poursuivre son métier de Professeur/chercheur. La tentation était forte pour Valentino de revenir en Frôce en raison du début de la Révolution Frôceuse, quelques mois plus tôt mais l'instabilité qui y règne convainc le jeune universitaire qu'il ne s'agit pas des meilleures conditions pour commencer à fonder une famille.
Lorsqu'il souhaite épouser Gracia, Valentino Borgia se retrouve confronter à un mur administratif. Les difficultés qu'il rencontrera alors le convaincront de la nécessité de voir naître une véritable alternative politique mondiale libertarienne. En même temps que ses convictions politiques se renforcent, Valentino Borgia éprouve le désir de fonder une famille.
Suite à son mariage qui a eu finalement lieu en août 2006, Gracia met au monde une fille Léa en 2007 et un garçon en 2009 prénommé Lisandro, en hommage à Lysandre Spooner, théoricien libertarien.

Retour au pays 2009
Peu après la naissance de son fils, Valentino Borgia estime que la situation en Frôce est suffisamment stable pour y retourner. La crise qui commence à sévir en Espagne l'inquiète et il craint un renforcement de l'Etat et plus particulièrement des difficultés dans son travail.
La petite famille revient donc en Frôce en avril 2009. Très vite, Valentino Borgia émet des doutes quant à la pertinence de ce retour. La campagne de presse antisémite contre Ellion Kayerd, premier ministre, puis en mai le renversement du gouvernement Crawford par le Parlement et enfin l'enlèvement du désormais Président Crawford par des terroristes soudanais le troublent énormément.
L'année 2009 se termine mieux avec le retour au pouvoir comme Président d'Ellion Kayerd.

Libertarianisme associatif puis politique
En 2010, Valentino Borgia reprend son projet frôceux. Les relations avec son frère sont toujours distantes mais les deux hommes acceptent de retravailler ensemble. Loukas est en charge du financement tandis que Valentino se charge d'établir un réseau. Après une année, l'Association des Libertariens de Frôce (ALF) réunit près de 2000 adhérents principalement originaires de l'île des Prigors. En 2011, le mouvement marque le pas. Le projet semble remis en cause. Loukas Borgia, le frère, quitte le projet, en proie à de vives critiques d'adhérents dénonçant son absence de convictions libertarienne. Valentino Borgia se plie à la majorité. Dès lors, les relations qui ne s'étaient que légèrement réchauffées avec sa mère finissent de se distendre. A nouveau, Sofia est la seule interlocutrice de la famille.
Le début de l'année 2012 marque un tournant dans le mouvement. Rejoint par des personnalités de l'île de l'agrume, l'association prend le chemin du parti politique. Dans le courant de l'année, il rencontre Pierre Belfort et Clotaire Lemaunier auxquels il s'associe. En septembre 2012, dans une réunion publique qui a lieu à Anglès, il annonce son intention de se lancer dans le combat politique national. En octobre, le projet est soumis à la cour suprême qui rend un avis positif, marquant le début de l'Alternative Démocrate Libertarienne.

S'en suit un parcours fulgurant au cours duquel il devient Premier Ministre, rétablissant les comptes du pays. L'intransigeances des patriotes, pourtant alliés, le pousse à la démission. Lorsque les libertariens sont à nouveau en mesure de pratiquer le pouvoir, il préfère laisser la place de Premier Ministre à Abigail Tomas.

Suite à la réforme présidentielle et à son élimination au premier tour des élections, il annonce son retrait de la vie politique frôceuse et son retour au Costa Rica.

Vie privée
En octobre 2012, Valentino Borgia est toujours mariée à Gracia Jimenez et a deux enfants, Léa et Lisandro. Il habite Anglès, 7 rue de la liberté. Il n'a plus de contact avec son frère Loukas, parti vivre en Italie, il a de brefs et irréguliers contacts avec sa mère, demeurant à Orgues les Bains, et entretient une relation complice avec sa soeur Sofia.
Il se réconcilie avec son frère en 2013. Désirant se retirer de la vie politique frôceuse suite à son élimination au premier tour des Présidentielles, il rentre au Costa Rica où il intègre la direction de la multinationale "JIMENEZ CORPORATION", dont sa femme est une cohéritière. Quelques temps plus tard, sur fond de règlements de compte mafieux, son épouse est tuée accidentellement dans une fusillade visant le PDG de JIMENEZ CORPORATION". Dévasté, Valentino se réfugie dans le travail et entre rapidement en conflit avec sa belle-famille à laquelle il reproche une mauvaise gestion du patrimoine de sa défunte épouse. Au terme d'un long procès, qu'il gagne, il décide de quitter le Costa Rica, désormais richissime, et de rentrer en Frôce.
Maire de Nobles des Prigors
Ancien Premier Ministre de la République Frôceuse
Ancien Président de l'Alternative Démocrate Libertarienne
Ancien député de la République frôceuse
Ancien maire d'Anglès
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