[Posthume] Benjamin McGregor

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Benjamin McGregor
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[Posthume] Benjamin McGregor

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Benjamin McGregor
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[list][*]Fonction(s) parlementaire(s)

[list][*]Député à l’Assemblée Nationale (21è législature)[/list]
[list][*]Député à l’Assemblée Nationale (22è législature)[/list]
[list][*]Député à l’Assemblée Nationale (23è législature)[/list]
[list][*]Député à l’Assemblée Nationale (24è législature)[/list]
[list][*]Député à l’Assemblée Nationale (26è législature)[/list]
[list][*]Député à l’Assemblée Nationale (27è législature)[/list]
[list][*]Député à l’Assemblée Nationale (30è législature)[/list]
[list][*]Président de l'Assemblée Nationale (21è législature)[/list]
[list][*]Président de l'Assemblée Nationale (22è législature)[/list][/list]
[list][*]Fonction(s) ministérielles(s)

[list][*]Ministre des Affaires Étrangères (Fevernov I - 2 ans et 10 mois)[/list]
[list][*]Premier Ministre (McGregor I - 2 ans et 5 mois)[/list]
[list][*]Premier Ministre (McGregor II - 1 an et 5 mois)[/list]
[list][*]Ministre de l'Éducation Nationale (McGregor I et II - 4 ans)[/list]
[list][*]Ministre des Affaires Étrangères (Fevernov I - 2 ans et 10 mois)[/list]
[list][*]Ministre du Travail et des Affaires Sociales (Vossen I - 2 ans et 9 mois)[/list]
[list][*]Ministre de l’Environnement, de l’Energie et des Transports (François I - 1 an et 10 mois)[/list]
[list][*]Ministre de la Justice et des Institutions (Bétieu I Gvt de transition - 330 jours)[/list][/list]
[list][*]Fonction(s) locale(s)

[list][*]Conseiller Municipal de Chouchenn (7 ans)[/list]
[list][*]Maire de Chouchenn (7 ans)[/list]
[list][*]Maire de Chouchenn (6 ans)[/list]
[list][*]Maire de Chouchenn (4 ans et 11 mois)[/list][/list]
Benjamin Israël David McGregor Liebermann, dit Benjamin McGregor, né le 18-04-1964 à Saint-Frôçois, et mort au Palais d'Anthelme le 23-04-2014 à 23h52, à l'âge de 51 ans. C'était un homme politique et homme d’Etat frôceux. Benjamin McGregor était divorcé de Clara Vanquickenborne, femme politique communiste, avec qui il a eu deux enfants, Théo et Belinda McGregor. Aux dernières nouvelles, Benjamin McGregor était en couple avec Elise Lantier, femme politique socialiste, ancienne Présidente de l'Assemblée Nationale.

[imageadroite=http://img11.hostingpics.net/pics/27658 ... 240a0h.jpg][/imageadroite]Militant socialiste depuis sa jeunesse, il vit avec passion la présidence d'Asuka Finacci avant de subir la défaite de justesse de Roberto Dominguez, candidat socialiste à l'élection présidentielle face au Président Mays Madarjeen en mars 2011. C'est à la suite de cela qu'il s'engage réellement en politique.

En juin 2011, il est élu député et Représentant Parlementaire de 29 députés (117 sièges UGR) sous les couleurs de l'Union de la Gauche Républicaine. Dans la foulée, il est élu Président de l'Assemblée nationale (145 voix contre 45 voix à Vincent Valbonesi, 97 abstentions) et redonne de la vigueur à l'Institution. Il admire la montée en puissance de Dimitri Fevernov (Fevernov I - UGR/USD) au poste de Premier ministre en l'accompagnant au poste de Ministre des Affaires Étrangères. Fonction qu'il occupera durant 3 ans (RP).

En août 2011, Benjamin McGregor se lance dans la campagne pour les élections présidentielles face à Mays Madarjeen. Candidat surprise de la gauche avec "Pour une Frôce de gauche!" et un programme commun aux élections législatives, Benjamin McGregor ne parvient pas à fédérer la totalité de la gauche et de son parti derrière lui. Il s'incline de peu face au Président sortant avec 48,5% contre 51,5%. Malgré sa défaite et un score relativement bon malgré la popularité du Président sortant-réélu, Benjamin McGregor est ré-élu député. Il est désigné Représentant Parlementaire de 33 députés (109 sièges UGR). Il siège alors sur les bancs de l'opposition suite au retournement de veste de l'USD (centre - 56 sièges) qui s'allie avec le PRF (droite - 102 sièges) malgré la victoire de l'UGR, ramenant Jack Kusher (Kusher II - PRF/USD) à Bellay. Il est, à la surprise générale, reconduit au poste de Président de l'Assemblée nationale avec le soutient de 34 députés centristes du groupe de Joseph Vossen (143 pour/144 abstentions).

Après des désaccords internes lié à la défaite de la gauche aux élections présidentielles qui lui est imputée, Benjamin McGregor quitte l'Union de la Gauche Républicaine. Le 9 octobre 2011, il fonde, avec 3 grandes figures de l'histoire de Frôce aujourd'hui, un mouvement social-démocrate appelée Fédération Démocrate Frôceuse (FDF) dont il devient le premier Président. Avec l'ancien Président de la République Dominique S'Korpio, l'ancien Premier ministre Laurent de Montredon et l'ancien Ministre Luke de Askalovitch, il fait de la sociale-démocratie une valeur sûre de la politique nationale.

[imageagauche=http://img4.hostingpics.net/pics/178901roblowe2.jpg][/imageagauche] Le 17 octobre 2011, la Fédération Démocrate Frôçeuse crée la surprise en s'imposant comme la première formation politique du pays. Avec 25,80% des suffrages exprimés, la FDF (70 sièges) devance d'une courte tête l'UGR (24,46% - 66 sièges) et le PRF (21,26% - 57 sièges). Noah Gayet (11,02% - 30 députés), les communistes (9,82% - 26 sièges) et les centristes (6,70% - 18 députés) forment le reste de l'hémicycle.

Le 21 octobre 2011, Benjamin McGregor entre dans l'histoire en devenant le premier Premier ministre élu par les députés de l'Assemblée nationale. Avec 189 voix (60 Arthur De Milon, 18 blancs/abstentions). En remportant une victoire écrasante face à la majorité sortante, Benjamin McGregor renoue avec la tradition des gouvernements de la grande union de la gauche en associant les communistes, les socialistes et les démocrates au sein de sa majorité gouvernementale.

Le 11 décembre 2011, le Gouvernement McGregor I (FDF-RDS-GPC) s'essoufle aux élections législatives. La FDF (18,29% - 54 députés) perd sa position de premier parti du pays aux dépends du PRF ( 19,64% - 58 députés) emmené par Vera Kalachnikova. Malgré cette défaite d'une courte tête, le PRF est affaibli par l'entrée des libéraux conservateurs de Zénodore Du Plessis ( 15,55% - 46 députés) et la présence du réformateur Yevgheni Makhno (6,43 - 19 députés). A contrario, malgré l'effondrement total des centristes (4,44% - 0 député), les socialistes d'Hugo Salinovitch qui divisent leur score par deux (12,57% - 37 députés), le bloc de gauche peut respirer grâce à l'entrée au parlement des écologistes de Stefano Peruzzi qui talonnent la FDF de très près (18,25% - 53 députés). Après un vote serré jusqu'à ce que les députés socialistes s'expriment un à un, Benjamin McGregor est reconduit dans ses fonctions de Premier ministre par l'Assemblée nationale avec 146 voix (Vera Kalachnikova 102 - Yevgheni Makhno 19).

Le 21 janvier 2012, suite à de profonds désaccords et des incompatibilités incontournables avec le RDS et Hugo Salinovitch, après 4 ans au poste de Premier ministre, Benjamin McGregor démissionne de l'Hôtel Bellay. Cet épisode douloureux dans l'histoire de la Frôce marquera à jamais les inimitiés profondes entre la gauche socialiste et la gauche démocrate. Même si ces tensions ce sont fortement apaisées avec les années, aujourd'hui encore, le souvenir de Benjamin McGregor ne suscite pas que des sourires à gauche.

Le 29 janvier 2012, Benjamin McGregor soutient Henri Quinault à la Présidence de la République. (53,33% / Arthur de Milon 46,67%).

Le 4 mars 2012 marque la fin du règne de la FDF. Après 6 ans (RP) à la tête de l'État, elle enregistre son score le plus bas de son histoire avec seulement 7,10% et n'envoie à l'Assemblée nationale que 19 députés représenté par Joseph Vossen, passé de l'USD à la FDF.

Après 6 années de domination Démocrate sur la scène politique, Benjamin McGregor, toujours à la tête du parti, tire les leçons du scrutin du 4 mars 2012 et il est à la base de la mutation de la FDF en un grand Parti Social Démocrate (PSD). Fini le rose magenta, voici le mauve fushia. Un petit coup de barre du centre-centre-gauche au centre-gauche.

Le 09 mai 2012, avec Maxime Dellas, nouveau meneur du PSD et poulain du président sortant, c'est un pari gagné pour Benjamin McGregor. On le croyait mort, il renaît et "son" parti avec lui. Le PSD s'impose en première formation politique du pays devant les socialistes et les écologistes ayant fusionné entre temps (23,50% - 112 députés), les centristes ressuscités du PDF (17,46 - 60 sièges). Les sociaux-démocrates de l'ère McGregor réalisent leur meilleur score électorale depuis l'existence de la FDF avec 23,75% et 114 députés. Benjamin McGregor qui poussait la liste en dernière position est élu avec le meilleur score de la liste PSD. Il est désigné Représentant Parlementaire de 44 députés.
Malgré l'écrasant retour des sociaux-démocrates, c'est Hugo Salinovitch (Salinovitch II - PSD/RSE/APC), président du nouveau RSE, qui évincera Maxime Dellas de la course à la nomination au poste de Premier ministre.

[imageadroite=http://img11.hostingpics.net/pics/47882 ... lthumb.jpg][/imageadroite]Le 08 juillet 2012, Maxime Dellas et Benjamin McGregor emmènent à nouveau les sociaux-démocrates dans la course des élections législatives. Les premières élections législatives sous une configuration fédérale. Le nombre de député est ramené initialement à 267 députés. C'est une nouvelle victoire du PSD (25,32% - 70 députés) devant le RPR de Vincent Valbonesi et de Sébastien Capell (23,54% - 64 députés) et le RSE emmené par Alessandra Gasparini (12,68% - 35 députés). Dans les rangs du PSD, c'est l'éclatement de joie: le PSD, relèguant le RSE à une piètre 4è place sur 5 partis, est premier dans les trois circonscriptions électorales en Lombardie, en Septmanie et dans les îles. Les mauvaises langues diront que le RSE a payé cher le prix d'un Premier ministre pour un second parti de la coalition gouvernementale. Benjamin McGregor est réélu député et désigné une nouvelle fois Représentant Parlementaire pour 23 députés. Comme ultime pied de nez aux socialistes, Maxime Dellas est consacré Premier ministre d'une coalition centriste alliant le PSD et le RPR qui tiendra 3 et demi. Au milieu du mandat, la majorité vote une ultime motion de méfiance vis-à-vis de Maxime Dellas pour placer Georges Montgommery à la tête du gouvernement.

Le 07 août 2012, il gagne les élections municipales à Chouchenn avec 30,6% des votes au premier tour.

Le 09 septembre 2012, seconde élection au format fédéral, le Parti Social Démocrate frôle de près l'exploit. La machine de guerre du centre-gauche est à 1.066 voix de remporter pour la troisième fois consécutive une élection nationale. C'est le Parti Démocrate Frôçeux de Gavroche Finacci qui lui vole la vedette en devançant la rose de quelques centaines de voix. Divisée en 4 circonscriptions cette fois-ci, le PSD emporte la Septimanie, les îles et le Piemont. Le PDF emporte d'une courte tête la circonscription capitale de Vauxin-Aspen-Chouchenn. Gavroche Finacci est nommé Premier ministre. Benjamin McGregor qui poussait la liste n'était pas à une position éligible et n'est pas réélu.

Le 11 novembre 2012, le PSD réalise le meilleur score de son histoire (31,59% des voix et 83 sièges) devant le RSE (22,29% - 59 sièges). Benjamin McGregor n'est pas candidat. Joseph Vossen, tête de liste PSD, est nommé Premier ministre. (Vossen I - PSD/RSE)

Le 20 janvier 2013, le PSD s'écroule à 12,91% et 35 députés. Nettement devancé par le RSE qui tient sa revanche. (21,59% - 58 députés). Benjamin McGregor est élu député et désigné Représentant Parlementaire de 5 députés. Valentino Borgia (libéral) est nommé Premier ministre. (Borgia I - ADL/AN/ADF).

Le 21 janvier 2013, Benjamin McGregor est ré-élu à la mairie de Chouchenn avec 38,8% des voix au premier tour.

Le 24 février 2013, Benjamin McGregor convoque la presse à l'Hôtel de ville de Chouchenn et annonce son retrait du Parti Social Démocrate et son recul par rapport à la politique nationale.

En mars 2013, le PSD stagne et reste à 12,64% et perd 1 député. Benjamin McGregor ne se représentait pas. Après ces mauvais résultats, Luca Pappa reprend la barre du parti. Il est à l'impulsion de la nouvelle transformation du PSD en Nouveau Parti Socialiste.

Aux élections de juin 2013, c'est encore un parti gagné puisque le NPS redevient le premier parti de Frôce (17,01% - 47 députés) devant le RSE (15,26% - 42 députés).

Le 31 mai 2013, Benjamin McGregor est ré-élu pour la troisième fois Maire de Chouchenn avec 74,4% des voix au premier tour. (Liste commune SD & Socialistes).

En juillet 2013, son compatriote politique et ami, Georges Montgommery est élu Président de la République.

Le 11 septembre 2013, Benjamin McGregor apprend avec effroi le décès du Président de la République. S'en suivent les événements difficiles qui ont noircis une nouvelle fois l'Histoire de la République. Benjamin McGregor quitte Chouchenn pour Rome d'où il tentera d'aider la résistance avec une écrasante majorité des mandataires politiques démocrates du pays.

Après la révolution et l'Automne Frôçeux, Benjamin McGregor revient à Chouchenn. Il fonde à nouveau la Fédération Démocrate Frôçeuse avec l'ancien Président de la République Marc de Saint Imberb et François Limbort. Il redevient Président du parti.

Le 2 janvier 2014, Benjamin McGregor est rappelé aux affaires politiques par Hélène Le Menn et Sandrine Bétieu, respectivement Présidente de la République et Première ministre. Nommé au Ministère de la Justice et des Institutions, fonction qu'il occupera pendant un peu moins d'un an, il est réputé à la base des rétablissements des fondements de la démocratie et fera adopté par la majorité la Déclaration de la Démocratie Frôçeuse.
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Le 13 janvier 2014 marque le début de la campagne électorale pour l'élection présidentielle. Outre Benjamin McGregor, Daniel Gallon, Gaspard Salcedo et Philippe de Kervern sont candidats. Du côté Démocrate, Benjamin McGregor marque le coup avec un meeting géant à Casarastra. Les rues de la capitale septimane sont noires de monde. C'est lors de ce meeting que le futur Président de la République à reçu un soutien de poids en la personne de Louis-Damien Lacroix de Beaufoys. Benjamin McGregor y a prononcé le discours le plus important de sa vie.

[imageagauche=http://img15.hostingpics.net/pics/57720 ... 80x150.jpg][/imageagauche] " Le monde dans lequel nous vivons est instable. Hier encore, la République, la grande, la belle, a dû se battre pour votre vie, votre survie, votre existence alors que nous pensions que c’en était terminé des époques sombres, noires, nauséabondes. (...) Merci aux révolutionnaires et aux défenseurs de la liberté qui ont œuvré au retour de la démocratie, parfois tiraillés par la peur, l'angoisse et la terreur, souvent au péril de leur vie, merci, mille fois merci. (...) Je veux profiter de cette tribune pour exprimer mon envie de voir s’arrêter ce climat de détestation qui s’installe dans notre belle République. Je souhaite par-dessus tout que les amalgames maladroits entre l’extrême-gauche et l’extrême-droite s’arrêtent, je les déplore, que des alliances entre des soutiens à une institution monarchique et le fascisme ne deviennent pas automatiques, je les regrette, et que la délation, la vengeance ou l’incrimination politique ne soient pas la norme. Je veux que cela cesse, nous n’avons rien à y gagner, rien du tout ! (...) Durant toute cette pré-campagne, j’ai défendu la Justice et la nécessité, l’impératif même, de réconcilier la nation. Ce sera mon objectif, ce devrait être le vôtre aussi, tous et toutes. Et ensemble, de toutes nos forces, nous devrons nous poser la question simple mais tellement importante de savoir comment, oui comment, dans ces périodes où l’émotion nous prend toujours aux tripes, pourrions-nous réconcilier le pays et si cela est vraiment nécessaire ? Je le pense, et j’y crois. (...) « Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé. » (...) Nous devons faire la paix avec nos ennemis d’hier. Pas avec ceux qui ont conduit les actes ignobles et terribles dont nous devons aujourd’hui panser les plaies, mais avec ceux que nous jugions ennemis hier, ceux qui étaient comme nous, terrorisés, mais plus fragiles que nous, moins sûrs d’eux, pas assez confiants pour risquer leur vie dans la défense de la démocratie. A ceux-là, je ne jette pas la pierre, je les appelle la main tendue et je leurs dis : venez, gens d’une même famille déchirée, personnes voisines qui vous êtes épiés et surveillés mutuellement, collègues de travail qui vous dévisagiez les uns et les autres, venez, prenez-vous la main, parlez-vous, dialoguez et respectez-vous, la République est votre point commun, ce qui vous unit, ce qui vous rassemble! (...) Vive la République, vive la Frôce ! "

Le 19 janvier 2014 a lieu le premier tour de l'élection présidentielle. Benjamin McGregor (Fédération Démocrate Frôceuse) remporte 46.67% des voix, devant Daniel Gallon (Cercle des Amis de la Révolution - 33.33 %), Gaspard Salcedo (Parti d'Unité Républicaine - 13.33%) et Philippe de Kervern (Indépendant - 6.67 %). Il est contraint à un second tour.

Le 23 janvier 2014, Benjamin McGregor (FDF) est élu Président de la République avec 53,00% des votes exprimés, devançant Daniel Gallon (CAR - 47,00%). C'est un moment d'émotion intense pour Benjamin McGregor qui remporte la plus haute fonction du pays au moment où son pays a besoin de lui, et après échoué deux fois déjà par le passé. Il est élu 39ème Président de la République Frôceuse après avoir prêté serment.


[imageadroite=http://img15.hostingpics.net/pics/44893 ... M88824.jpg][/imageadroite]
Le 25 mars 2014, Benjamin McGregor décède d'une crise cardiaque au Palais d'Anthelme à 23h52. Il venait d'avoir 51 ans. Le 30 mars 2014, Benjamin McGregor fût inhumé au cimetière municipal de Chouchenn. La cérémonie s'est déroulée en présence d'un grand nombre de personnalité politique.

Théo McGregor : "Papa, mon petit papa... Tu étais un géant pour tous ceux qui ont croisé ton chemin, ton humilité, ton cœur immense et ton envie de penser aux autres sans cesse me resteront à jamais dans les choses que tu m’as apprises... Je me souviens quand tu parlais aux chevaux pour nous faire rire en nous attendant à la sortie de l’école, Belinda et moi. Je me souviens aussi qu'on mettaient une heure pour faire une rue au marché parce que les ambulants te reconnaissaient tous et tellement tu t’arrêtais partout pour parler à tout le monde... Je n’oublierai jamais ta fierté de pouvoir afficher sur le frigo le petit article du journal de l'école qui parlait de moi quand je suis devenu délégué de mon année... Mais maintenant, tu es parti... Je me souviens de tellement de beaux moments avec toi, j’aurais voulu que tu restes encore plus longtemps... tu étais le géant de la famille, tu étais un homme en or pour ceux qui t’ont connu, tu étais simplement mon petit papa ! [Cris de douleur et de pleurs au moment où il tente de s'enrouler autour du cercueil...] Au revoir papa! Tu seras toujours dans mon coeur ! … "

Benjamin McGregor repose en paix Allée 4, carré E, Cimetière Municipal de Chouchenn.
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