Nouvelle version du scénario, en mode "romancée".
Le 25 juillet 2013, George Montgomery devient le 38ème Président de la République Frôceuse. Il commence à opérer des réformes sociales avec l'aide de son Premier Ministre, Léon Boniface. Malgré la période estivale, Montgomery est assez actif. Le 11 septembre 2013, en déplacement à Vauxin, la voiture présidentielle sera percutée par un camion. Le choc sera si violent que la berline présidentielle ne mesurera 2 mètres 50 de moins que normalement. Tous les occupants de cette voiture dont le Président seront tués sur le coup, alors que le conducteur sera blessé, jambes cassées. Dès l'annonce de la mort de Montgomery, les autorités suspectent l'extrême-droite, car le conducteur « kamikaze » avait une sorte d'ordre de mission sur lui, lui ordonnant de tuer le « Président communiste. Pour le bien de la Frôce chrétienne et blanche. » Ce papier avait comme en-tête le logo du groupuscule néo-nazi, l'« Action Frôceuse ». Une heure après, selon la Constitution, la Présidente de l'Assemblée Nationale, Isabel de Trastamara (descendante du dernier Roi de Frôce, et héritière du Trône) sera nommée de fait Présidente par Intérim.
Le 30 septembre, le Premier Ministre, Léon Boniface sera retrouvé dans un parking de la banlieue de Aspen, mort. Tué par une dizaine de balles de AK-47. L'enquête n'a toujours pas dévoilée les responsables de ce meurtre mais il se pourrait que la mafia russe serait derrière cet acte. Dans la journée, de Trastamara nomme Marc de St-Imberb, Premier Ministre. Malgré la dissolution de l'« Action Frôceuse » au lendemain de l'assassinat du Président Montgomery, et craignant pour sa sécurité, la Présidente proclame via un décret, la Loi Martiale, le 2 octobre. Tous les partis politiques sont purement et simplement dissous laissant simplement que 2 partis, ultra-favorables à un retour de la Monarchie, après d'un siècle de République et un intermède dictatorial. Dans les semaines qui suivirent, les mesures autoritaires se multiplièrent sous l'impulsion de de Trastamara...
Le 21 octobre, ont lieu les toutes premières élections législatives depuis la mort du Président Montgomery et de l'ancien Premier Ministre, Boniface. En toute logique après ces derniers événements, les deux partis « pantins » sont les seuls présents. 4 jours plus tard, Alessandra Gasparini est nommée Premier Ministre, après suite aux nombreux conflits plus ou moins publics entre la Présidente et l'ancien Premier Ministre, St-Imberb.
L'ancien Président et accessoirement petit-fils de l'ancien dictateur, Lacroix de Beaufoy, Louis Lacroix et sa femme, Hélène Le Menn (fille d'anciens résistants lors de la Dictature) lancent un appel au peuple afin qu'il demande des comptes sur les dérives dictatoriales entreprises par de Trastamara... Le 29 octobre 2013 sera considéré comme le début de l'« Automne Frôceux », période révolutionnaire. C'est à Vauxin, toujours, quelques jours après (le 3 novembre 2013) qu'un collectif de citoyen-ne-s, crée à la suite de cet appel, organisa une manifestation réunissant 15.000 personnes. A la fin de celle-ci quelques manifestants voulurent bloquer l'accès à la gare annulant ainsi un déplacement provoquant de la Présidente. Action pacifique mais durement réprimée par les forces de l'ordre. L'on dénombra quelques 12 blessés dont 5 graves chez les manifestants, complètement surpris par cet assaut alors qu'ils n'étaient pas du tout menaçants. Dès le soir même des milliers de personnes descendirent subitement dans les rues de Aspen (10.000), Casarastra (15.000 à 20.000 personnes) ou encore à Chouchenn (10.000) en plus de Vauxin (15.000). Et pendant 4 mois non stop, des manifestations dans tous les plus grandes villes du pays étaient organisées quotidiennement réunissant en moyenne 100.000 à 400.000 personnes dans tout le pays.
Le 4 novembre, l'Assemblée Nationale vote la restauration de la monarchie à compter du 1er janvier 2014, de nombreuses manifestations éclatent.
Le point d'orgue arriva avec la mort d'un jeune étudiant, tué par un tir de flash-ball venant de la police, le 7 novembre 2013, à Kervern, ville natale de Hélène Le Menn. Ce fut la « goutte d'eau qui fit déborder le vase » ! Dès les minutes qui suivirent, selon les sources, 100.000 à 700.000 personnes convergeaient vers le Palais d'Anthelme afin d'obliger la Présidente et son Gouvernement à démissionner le soir même... Les forces de l'ordre étaient partagées entre ceux qui voulaient rejoindre le peuple et ceux qui se montraient fidèles au pouvoir. Après plus d'un mois de présence continue des manifestants sur la Place Thomas-Rolland (héros de la Révolution entraînant la fin de la Dictature), malgré plusieurs assauts des forces de l'ordre et de l'armée (malgré que seulement quelques centaines de policiers et militaires aient rejoints les manifestants).
Le 10 décembre 2013, après un assaut d'un commando de révolutionnaires dirigés par Daniel Gallon (et ? À choisir ! Patrick Pélisson ?), les « tuniques rouges » investissent contre toute attente le Palais d'Anthelme. Ils placent en détention provisoire Isabel de Trastamara et installent (sous pression de personnalités politiques les plus influentes du pays) Hélène Le Menn à la tête d'un Gouvernement de Transition. Une semaine plus tard après la publication de décrets visant à autoriser la création de partis politiques, sauf ceux arborant l'idéologie fasciste et nazie, Hélène Le Menn nomme François Bertrand, le 16 décembre, comme « chef du Comité de Rédaction de la Constitution de la République. La majorité du peuple saluera cette décision comme un signe de rapprochement du pays dans cette période troublée et instable. Au cours de cette allocution officielle de Hélène Le Menn, celle-ci annonce qu'une Élection Présidentielle sera organisée entre la mi-janvier et la fin février 2014. Elle annonce même qu'elle pense ne pas briguer de mandat officiel. Renforçant ainsi sa popularité.