[EDUCATION] Rapport sur les avaries d'ascenseurs

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Luigi Trentini
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[EDUCATION] Rapport sur les avaries d'ascenseurs

Message par Luigi Trentini »

RAPPORT D'ENQUÊTE SUR LE DYSFONCTIONNEMENT DES ASCENSEURS
SECRET D'ETAT
Monsieur le Ministre,

Après une enquête diligentée par mes services, il apparait que le contrat signé avec la société German Fahrstuhl présente d'importantes anomalies susceptibles de provoquer un scandale d'état. D'après notre analyse, il apparait que ce contrat ne permettra pas à l'Etat Frôceux de récupérer le moindre remboursement ou la moindre indemnité suite au non-respect des objectifs par l'entreprise gérant les ascenseurs. Pire, la rupture de contrat impliquerait le règlement de frais de pénalité à German Fahrstuhl.

Pour rappel, German Fahrstuhl est chargée d'assurer l'entretien et la réparation des ascenseurs dans les établissements scolaires depuis le 16 octobre 2013. Il apparait que depuis la signature du contrat presque aucun technicien ne s'est déplacé malgré les appels répétés des chefs d'établissement. De plus, d'après un rapport complémentaire, les techniciens envoyés sur place se sont visiblement livré à des actes de sabotage sur les appareils fonctionnels pour faire grimper la facture finale.

Le contrat a été signé par l'ancien Ministre de l'Education Nationale, du Gouvernement Gasparini, lors de la dictature Trastamara, Monsieur Bernard Verdier, hélas décédé depuis un mois. Il apparait qu'Isabel de Trastamara était parfaitement au courant de l'arnaque qui a consisté à verser 23 millions de pluzins aux deux protagonistes en échange de la validation du contrat. Les preuves dont nous disposons nous permettent d'innocenter Alessandra Gasparini contrainte de signer le contrat sous peine de mort.

Je suis également au regret de vous informer que malgré tous nos efforts, les 23 millions de pluzins détournés sont introuvables et qu'il y a fort peu de chances que l'Etat Frôceux puisse remettre la main dessus. Par coutume et nécessité, nous avons placé cette information sous secret d'état.

Croyez bien que je suis désolé de vous apprendre d'aussi mauvaises nouvelles. Je vous prie d'accepter mes plus cordiales salutations.
L. Trentini,
Président de la Cour des Comptes.
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