Débats
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Re: Débats
Tout d'abord, je vous remercie, monsieur Flotain d'organiser ce débat. L'économie est un enjeu majeur et moi, concrètement, je veux une meilleure répartition du budget de l'Etat.
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Re: Débats
Bonsoir Monsieur Flotain et merci pour votre invitation.
Au PPL, nous avons travaillé tous ensemble et tout au long du mois de septembre sur l'élaboration de notre projet politique. Il sera rendu public ce vendredi, en fin de journée. Je peux dors et déjà vous dire qu'il sera ambitieux.
Notre mouvement politique est en faveur d'un désengagement de l'Etat dans le domaine de l'économie. Je suis un admirateur de Frédéric Bastiat, économiste libéral français du 19e siècle. J'aime particulièrement ses mots : "N'attendre de l’État que deux choses : liberté, sécurité, et bien voir qu'on ne saurait, au risque de les perdre toutes deux, en demander une troisième."
Voilà qui résume à la perfection la philosophie de notre jeune formation politique.
Au PPL, nous avons travaillé tous ensemble et tout au long du mois de septembre sur l'élaboration de notre projet politique. Il sera rendu public ce vendredi, en fin de journée. Je peux dors et déjà vous dire qu'il sera ambitieux.
Notre mouvement politique est en faveur d'un désengagement de l'Etat dans le domaine de l'économie. Je suis un admirateur de Frédéric Bastiat, économiste libéral français du 19e siècle. J'aime particulièrement ses mots : "N'attendre de l’État que deux choses : liberté, sécurité, et bien voir qu'on ne saurait, au risque de les perdre toutes deux, en demander une troisième."
Voilà qui résume à la perfection la philosophie de notre jeune formation politique.
Chef de l'Opposition
Maire d'Aspen
Député, étiqueté PPL
Fondateur et Président du Parti pour la Liberté
«Je n'ai jamais oublié que l'objectif inavoué du socialisme - municipal ou national - était d'accroître la dépendance. La pauvreté n'était pas seulement le sol nourricier du socialisme : elle en était l'effet délibérément recherché.» - Margaret Thatcher
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Re: Débats
Bonsoir Monsieur Flotain et merci pour votre invitation.
Bonsoir Messieurs, je suis ravi de poivoir débattre à vos cotés.
De mon point de vue, Il faut un nouvel équilibre entre l'Etat et le marché, alors que partout dans le monde les pouvoirs publics sont obligés d'intervenir pour sauver le système bancaire de l'effondrement.
Un nouveau rapport doit s'instaurer entre l'économie et la politique à travers la mise en chantier de nouvelles réglementations
Si l'on veut reconstruire un système financier viable, la moralisation du capitalisme financier demeure la priorité.
Je n'hésite pas à dire que les modes de rémunération des dirigeants et des opérateurs doivent être encadrés. Il y a eu trop d'abus, trop de scandales.
Les dirigeants ne doivent pas avoir le statut de mandataire social et bénéficier en même temps des garanties liées à un contrat de travail. Ils ne doivent pas recevoir d'actions gratuites. Leur rémunération doit être indexée sur les performances économiques réelles de l'entreprise. Ils ne doivent pas pouvoir prétendre à un parachute doré lorsqu'ils ont commis des fautes ou mis leur entreprise en difficulté. Et si les dirigeants sont intéressés au résultat, les autres salariés doivent l'être aussi. S'ils ont des stocks options, les autres salariés doivent en avoir aussi ou à défaut bénéficier d'un système d'intéressement.
Voilà quelques principes simples qui relèvent du bon sens et de la morale élémentaire sur lesquels je ne céderai pas.
Les dirigeants perçoivent des rémunérations élevées parce qu'ils ont de lourdes responsabilités. Mais on ne peut pas vouloir être très bien payé et ne pas vouloir assumer ses responsabilités.
C'est encore plus vrai dans la finance que partout ailleurs. Comment admettre que tant d'opérateurs financiers s'en tirent à bon compte alors que pendant des années ils se sont enrichis en menant tout le système financier à la faillite ?
Les responsabilités doivent être recherchées et les responsables de ce naufrage au moins sanctionnés financièrement. L'impunité serait immorale. On ne peut pas se contenter de faire payer les actionnaires, les clients et les salariés les plus modestes en exonérant les principaux responsables. Qui pourrait accepter une telle injustice ?
Il faut ensuite réglementer les banques pour réguler le système. Car les banques sont au cœur du système.
Il faut cesser d'imposer aux banques des règles de prudence qui sont d'abord une incitation à la créativité comptable plutôt qu'à une gestion rigoureuse des risques. Ce qu'il faudra dans l'avenir, c'est contrôler beaucoup mieux la façon dont elles font leur métier, la manière dont elles évaluent et dont elles gèrent leurs risques, l'efficacité de leurs contrôles internes…
Il faudra imposer aux banques de financer le développement économique plutôt que la spéculation.
Il va falloir s'attaquer au problème de la complexité des produits d'épargne et de l'opacité des transactions de façon à ce que chacun soit en mesure d'évaluer réellement les risques qu'il prend.
Mais il faudra bien aussi se poser des questions qui fâchent comme celle des paradis fiscaux, celle des conditions dans lesquelles s'effectuent les ventes à découvert qui permettent de spéculer en vendant des titres que l'on ne possède pas ou celle de la cotation en continu qui permet d'acheter et de vendre à tout moment des actifs et dont on sait le rôle qu'elle joue dans les emballements du marché et les bulles spéculatives.
Bonsoir Messieurs, je suis ravi de poivoir débattre à vos cotés.
De mon point de vue, Il faut un nouvel équilibre entre l'Etat et le marché, alors que partout dans le monde les pouvoirs publics sont obligés d'intervenir pour sauver le système bancaire de l'effondrement.
Un nouveau rapport doit s'instaurer entre l'économie et la politique à travers la mise en chantier de nouvelles réglementations
Si l'on veut reconstruire un système financier viable, la moralisation du capitalisme financier demeure la priorité.
Je n'hésite pas à dire que les modes de rémunération des dirigeants et des opérateurs doivent être encadrés. Il y a eu trop d'abus, trop de scandales.
Les dirigeants ne doivent pas avoir le statut de mandataire social et bénéficier en même temps des garanties liées à un contrat de travail. Ils ne doivent pas recevoir d'actions gratuites. Leur rémunération doit être indexée sur les performances économiques réelles de l'entreprise. Ils ne doivent pas pouvoir prétendre à un parachute doré lorsqu'ils ont commis des fautes ou mis leur entreprise en difficulté. Et si les dirigeants sont intéressés au résultat, les autres salariés doivent l'être aussi. S'ils ont des stocks options, les autres salariés doivent en avoir aussi ou à défaut bénéficier d'un système d'intéressement.
Voilà quelques principes simples qui relèvent du bon sens et de la morale élémentaire sur lesquels je ne céderai pas.
Les dirigeants perçoivent des rémunérations élevées parce qu'ils ont de lourdes responsabilités. Mais on ne peut pas vouloir être très bien payé et ne pas vouloir assumer ses responsabilités.
C'est encore plus vrai dans la finance que partout ailleurs. Comment admettre que tant d'opérateurs financiers s'en tirent à bon compte alors que pendant des années ils se sont enrichis en menant tout le système financier à la faillite ?
Les responsabilités doivent être recherchées et les responsables de ce naufrage au moins sanctionnés financièrement. L'impunité serait immorale. On ne peut pas se contenter de faire payer les actionnaires, les clients et les salariés les plus modestes en exonérant les principaux responsables. Qui pourrait accepter une telle injustice ?
Il faut ensuite réglementer les banques pour réguler le système. Car les banques sont au cœur du système.
Il faut cesser d'imposer aux banques des règles de prudence qui sont d'abord une incitation à la créativité comptable plutôt qu'à une gestion rigoureuse des risques. Ce qu'il faudra dans l'avenir, c'est contrôler beaucoup mieux la façon dont elles font leur métier, la manière dont elles évaluent et dont elles gèrent leurs risques, l'efficacité de leurs contrôles internes…
Il faudra imposer aux banques de financer le développement économique plutôt que la spéculation.
Il va falloir s'attaquer au problème de la complexité des produits d'épargne et de l'opacité des transactions de façon à ce que chacun soit en mesure d'évaluer réellement les risques qu'il prend.
Mais il faudra bien aussi se poser des questions qui fâchent comme celle des paradis fiscaux, celle des conditions dans lesquelles s'effectuent les ventes à découvert qui permettent de spéculer en vendant des titres que l'on ne possède pas ou celle de la cotation en continu qui permet d'acheter et de vendre à tout moment des actifs et dont on sait le rôle qu'elle joue dans les emballements du marché et les bulles spéculatives.
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Re: Débats
Je pense que les "grosses entreprises" n'ont pas besoin ou ne doivent pas recevoir d'aide financière de l'Etat. Maintenant, les PME, qui créent des emplois et des richesses doivent avoir des aides pour pouvoir plus embaucher. Ceci étant, je vais bientôt proposer un projet de loi visant à réformer le CIP. Je vais déposer ce texte dans les heures ou les jours qui arrivent.
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Re: Débats
Je suis en parti d'accord, Paul Richard.
Mais je dirai petite, moyenne ou grande ne doivent pas bénéficier d'aide financières.
Mais des aides Pour l'embauche, simplement.
Mais je dirai petite, moyenne ou grande ne doivent pas bénéficier d'aide financières.
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Re: Débats
Si on aide les entreprises à l'embauche et qu'on les laisse tomber après, les entreprises vont s'endetter, licencier et le chômage va considérablement augmenter. Si il y a un suivi financier de l'entreprise, on évite les licenciements ou du moins, on les limite.
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Re: Débats
Monsieur Minckes,
Quelle mémoire ! Vous semblez connaître mots pour mots le livre "ABCD'R du Sarkozysme: Nicolas Sarkozy en 26 discours". C'est presque troublant.
La dernière fois que j'ai vu autant de justesse dans la récitation d'un texte, il s'agissait de mon fils pour sa poésie de l'école.
Quelle mémoire ! Vous semblez connaître mots pour mots le livre "ABCD'R du Sarkozysme: Nicolas Sarkozy en 26 discours". C'est presque troublant.
La dernière fois que j'ai vu autant de justesse dans la récitation d'un texte, il s'agissait de mon fils pour sa poésie de l'école.
Paul ne pu s'empêcher de dissimuler un sourire narquois suite à sa remarque.
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«Je n'ai jamais oublié que l'objectif inavoué du socialisme - municipal ou national - était d'accroître la dépendance. La pauvreté n'était pas seulement le sol nourricier du socialisme : elle en était l'effet délibérément recherché.» - Margaret Thatcher
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Re: Débats
Effectivement je suis sarkozysme. La froce à besoin d'un politicien de cette envergure.
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Re: Débats
Sarkozyste vous voulez dire ?
En tout cas, que l'on ait besoin d'un homme de cette envergure, je ne sais pas, mais d'un plagieur, j'en suis encore moins convaincu.
En tout cas, que l'on ait besoin d'un homme de cette envergure, je ne sais pas, mais d'un plagieur, j'en suis encore moins convaincu.
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Re: Débats
En tous cas les grandes idées ils sont. Plagier comme vous dites est une chose, mais le faire c'est différent.
Si j'étais president, je les appliquerai sans demi-mesure.
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Re: Débats
Plagier un discours en entier ne démontre pas de grandes convictions de votre part. Les frôceux ne pourront donc que douter de vos propos tenus ici ce soir.
Or, pour agir efficacement, il faut avoir de réelles convictions.
Enfin, sachez que si vous deviez être président, l'économie ne serait pas un domaine dans lequel vous pourriez intervenir. Relisez la Constitution, Monsieur Minckes.
Or, pour agir efficacement, il faut avoir de réelles convictions.
Enfin, sachez que si vous deviez être président, l'économie ne serait pas un domaine dans lequel vous pourriez intervenir. Relisez la Constitution, Monsieur Minckes.
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Re: Débats
Je vous remercie, nous allons débattre maintenant sur l'écologie et l'agriculture.
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Re: Débats
Avez-vous une question en particulier dans le domaine de l'environnement et/ou de l'agriculture, Monsieur Flotain ?
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