Bienvenue dans cette édition spéciale élections législatives.
Aujourd'hui, près de 22 millions de citoyens sont appelés aux urnes, pour élire leurs 267 députés.
L'actuelle majorité sera-t-elle renouvelée ?
L'URF connaître-t-elle enfin le succès ?
Combien de sièges pour les listes dissidentes à gauche que sont la troisième voix et le front populaire des baléares ?
Quel poids les patriotes et la Ligue Masculine auront-ils ?
C'est les réponses que nous vous donnerons aujourd'hui des 18 heures.
Mais avant celà nous receverons sur notre plateau plusieurs candidats.
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Merci à tous les trois d'avoir accepté de venir débattre ici.
Avant de commencer, pouvez vous, chacun votre tour, présenter en quelques phrase les raisons de votre candidature.
Si votre liste arrive majoritaire ce dimanche, quelles seront vos trois priorités ?
Bastien Pommier :
Bonsoir Madame Schaft,
Je souhaite tout d'abord saluer mes adversaires en espérant que ce débat se fera dans le respect et de manière courtoise. L'Alliance Démocrate Frôceux que je représente propose une liste axée sur l'idée de Progrès, sur l'idée de développement de notre pays dans tous les domaines. Notre parti a décidé de se porter candidat pour une simple raison : permettre aux Frôceuses et aux Frôceux de comprendre notre positionnement, de leur proposer un véritable contrat entre eux et nous axé sur la mise en place de nouvelles réformes courageuses et ambitieuses leur permettant d'avoir les meilleurs conditions de vie possible. Notre liste est une liste de combat face aux défis mondiaux et nationaux qui nous attendent : je pense notamment, sans entrer dans les détails, à la question du terrorisme, du développement durable, de la question des migrants et des questions sociales. Nous proposons dans ces domaines et dans d'autres des réformes ambitieuses et courageuses, des réformes concrètes, des réformes de progrès, des réformes pour nos concitoyens.
Florian Bach :
Bonjour Madame Schaft,
et bonjour à Monsieur Pommier et Madame Von Bertha.
Si Les Patriotes ont décidé de se présenter à nouveau à ces élections législatives, c'est que nous considérons que la politique mise en place jusqu'à aujourd'hui n'est pas la bonne. Nous prônons une idée majeure: le patriotisme. Contrairement à certains, je ne pense pas que ce que nous défendons soit contraire aux valeurs de la République. Dans des périodes difficiles comme la notre, les citoyens ont besoin de repères. Et le repère que nous leur offrons, c'est de se rassembler derrière la Frôce! Nous ne serons pas langue de bois, nous prendrons nos responsabilités. Depuis la création de ce parti, nous nous battons, chaque jour, chaque minute, chaque secondes pour améliorer la vie quotidienne des Frôceux et des Frôceuses. Nous continuerons ce travail si nous sommes élus.
Nous continuons donc sans Madame Von Bertha, qui ne peut pas venir sur notre plateau en raison d'un empêchement
La sécurité sociale a été lancée il y a plus d'un an, et a été depuis laissée à l'abandon par les différents gouvernements.
Elle n'a pourtant pas été au cœur de cette campagne.
Quel est selon vous le modèle idéal ? Quels sont vos propositions concernant le niveau de prise en charge ?
Bastien Pommier :
Permettez-moi tout d'abord de dire qu'il est regrettable que Madame Von Bertha n'ait pas souhaité débattre. Cela prouve le peu d'intérêt qu'elle a pour les Frôceuses et les Frôceux qui nous regardent. Cela témoigne aussi de sa volonté d'ajouter une ligne à son CV, plutôt que de servir l'intérêt de nos concitoyens.
Notre système de sécurité sociale a été installé depuis peu et il nécessaire déjà des modifications pour le rendre le plus juste et le plus transparent possible. Pour un système juste, il est nécessaire de prendre en compte les revenues et les conditions de vie des assurés. En Froce, tout le monde doit avoir le droit à la protection sociale, mais tous n'ont pas les mêmes besoins. Il est nécessaire de réfléchir à un système progressif qui permettait aux plus démunis d'avoir une véritable aide et une véritable sociale. Est-il nécessaire que l'accès est un santé est un droit ? Nous devrions en faire un devoir.
La transparence passe par la mise en place d'un contrôle plus étroit. Est-il normal aujourd'hui que des personnes arrivent à déjouer l'ensemble des moyens mis en place pour frauder ? Nous devons désormais renforcement les luttes contre toutes les fraudes sociales, et notamment celle qui touche la sécurité sociale. Cela peut notamment passer par la naissance d'une instance chargée de lutter contre ces fraudes.
Dans tous les cas, cette sécurité sociale doit être le cœur de la mission du futur ministre de la santé et des affaires sociales. Nous devons en faire une priorité.
Merci Messieurs pour vos réponses
Nous recevons maintenant Edouard de Trance. Pouez vous nous présenter en quelques phrases les raisons de votre candidature. Quelles seront vos priorités si vous arrivez en tête ce soir ?
Merci Edouard de Trance.Edouard de Trance :
Bonsoir à vous madame Schaft,
Les raisons qui me poussent à me présenter, et plus encore qui poussent l'UCP à se présenter sont très claires : l'envie et la possibilité. L'envie d'une frôce plus belle encore qu'elle ne l'est, l'envie d'une frôce progressiste, l'envie d'une frôce UCP, et la possibilité car l'UCP peut se présenter. Elle le peut car nous l'avons constaté nous avons des militants extraordinaires et un bureau politique actif et préparé. C'est ce mélange qui pousse l'UCP à la candidature.
Si notre liste est majoritaire ce dimanche, eh bien les trois priorités seront de, former un gouvernement, lancer une action internationale contre Daech en protégeant leurs cibles et légiférer le plus rapidement possible et le mieux possible sur la situation des réfugiés.
Nous accueillons maintenant Urumi Nakamura et Housni Nkouildor.
Quelles sont les raisons de vos candidatures ?
Urumi Nakamura :
Bonsoir Madame Schaft, Merci pour cette invitation et merci à monsieur Nkoulidor pour sa participation à ce débat.
Le Front Populaire des Baléares a trois objectifs que je vais exposer :
- Le premier est de servir de relais entre notre action à la tête des Baléares et le pouvoir central, en étant sans députés, nous serions en position de faiblesse face au pouvoir central, contrairement aux autre gouverneurs qui pourront compter sur l'aide de leurs partis.
- Le deuxième est d'élargir le spectre de l'offre politique à gauche, nous serions bien mal embarqués avec un Rassemblement Démocrate qui hésite parfois à se dire de gauche comme seul représentant de cette mouvance politique qui a tant contribué au développement de la Frôce. La gauche a besoin d'une voix, et nous cherchons à l'incarner.
- Le troisième est de chercher à susciter des vocations dans les autres provinces, afin d'aboutir à un modèle fédéral, de par leur proximité, les provinces seront plus aptes à gérer les besoins spécifiques à leur territoire, les Baléares sont principalement connues pour leur concentration inégale de night clubs par habitant, je doute qu'un piémontais ait grand intérêt à axer une politique sur les forces et faiblesses apportées par cette économie si particulière.
Housni Nkouildor :
Bonsoir Mesdames, et merci à vous 2 pour ce débat, qui, bien que m'opposant à une femme est nécessaire.
Avant de commencer je voulais vous dire Madame Nakamura que n'ai rien contre vous en particulier, au contraire même, j'ai de la sympathie voir de l'admiration pour vous. Je pense simplement que comme toute femme, vous devriez songer à un autre métier que la politique. Le mannequinat par exemple vous correspondrait très bien.
Venons en au sujet. Les raisons de ma candidature ? C'est simple, il s'agit de démontrer aux bien pensants féministes et mysandres que l'association que je représente n'est ni misogyne ni néfaste, et constitue une vraie alternative pour la Froce. Les sondages nous prêtent 6% d'intentions de vote. Ce ne sont que des sondages, mais peut on raisonnablement affirmer que les Frôceux souhaitant voter pour notre liste sont misogynes ? Je ne crois pas.
Merci à vous deux. Quelles seront vos priorités si vous arrivez en tête ce soir ?
Urumi Nakamura :
Il ne faut pas se faire d'illusions, ni la Ligue Masculine ni le Front Populaire des Baléares seront majoritaires dimanche.
Je ne connais pas les objectifs de monsieur Nkoulidor et de ses troupes, mais de notre côté, nous sabrerions déjà le champagne à 10 sièges obtenus, nous sommes une liste avec peu de moyens humains, et qui est centrée sur une province relativement peu peuplée.
Selon les résultats il est possible que nous soyons amenés à soutenir un Gouvernement, à condition que celui-ci n'inclue pas les "Patriotes" bien sûr. Nous discuterons au cas par cas, mais les trois objectifs qui nous sembleraient prioritaires sont :
- La convocation d'une consultation institutionnelle afin d'aboutir à la mise en place d'un système fédéral en Frôce, comme je l'ai déjà dit, chaque province a des besoins spécifiques, et nous comblerons au mieux ces besoins en accordant des prérogatives plus larges aux provinces.
- L'établissement immédiat d'une allocation pour les personnes invalides et d'une retraite minimale, j'ai rédigé un projet mettant en place une assurance invalidité obligatoire il y a plus de dix ans, lorsque j'étais membre du Gouvernement, il est toujours resté dans les cartons, il est temps de corriger cette terrible injustice envers les personnes les plus vulnérables de notre pays.
- La mise en place d'un large plan visant à rendre les transports en commun gratuits, afin d'encourager leur usage au détriment des transports individuels plus polluants.
Housni Nkouildor :
Nous n'ambitionnons pas non plus n'arrivons en tête dimanche. Vu l'acharnement médiatique et politique contre notre liste, 5 députés constitueraient déjà une victoire, et 10 un plébiscite.
Nous ne soutiendrons le gouvernement que s'il n'est constitué que d'hommes, et ne compte pas dans ses membres ni Florian Bach, ni Charles Lubenac.
Notre première priorité sera de peser dans le débat à l'Assemblée Nationale pour bloquer aux maximum les projets de loi féministes qui, nous persistons, constituent un grand danger pour les femmes de notre pays.
Nous militerons également pour une meilleure protection, notamment médicale et sécuritaire, des femmes, trop souvent laissés de côté par les différents gouvernements.
Enfin, une réforme du statut de la femme, notamment concernant le droit de vote et de conduite, sera proposée. Même si elle a peu de chance d'être adoptée, nous le ferons par principe et loyauté vis à vis de nos électeurs et des Frôceux en général.
Je n'ai rien à redire concernant les propositions de Madame Nakamura, tout cela part d'une bonne intention et c'est remarquable. Je suis ravi de constater que nous sommes plus en moins en phase sur les transports puisque nous souhaitons nous aussi réduire le trafic routier, même si nos propositions ne sont pas tout à fait les mêmes. Nous souhaitons de notre côté là gratuité des transports en commun pour les mineurs, et réduire le nombre de conductrices.
Merci à vous deux.
La sécurité sociale a été lancée il y a plus d'un an, et a été depuis laissée à l'abandon par les différents gouvernements.
Elle n'a pourtant pas été au cœur de cette campagne.
Quel est selon vous le modèle idéal ? Quels sont vos propositions concernant le niveau de prise en charge ?
Urumi Nakamura :
Il est vrai que la Sécurité Sociale n'a pas été le thème le plus captivant de cette campagne, le ministre de la santé a aussi sous sa responsabilité les affaires sociales, et dans ce domaine, l'affaire des logements a bien plus défrayé l'opinion publique que l'avenir de la Sécurité Sociale.
Mais notre devoir envers les frôceux est d'aborder tous les thèmes, et c'est donc une très bonne question que vous posez là.
En premier lieu, je pense que la sécurité sociale doit demeurer une prérogative de l'Etat, il est hors de question de la privatiser partiellement ou d'en faire une compétence des provinces si la fédéralisation se fait. Il est du devoir de l'Etat de s'assurer que chacun puisse avoir des conditions de soin décentes.
L'Etat providence ne doit pas être un gros mot, car en plus d'être profondément humain, il aide notre économie, pour prendre un exemple, la Chine, malgré un accroissement net des revenus des salariés a du mal à relancer la consommation, pour la bonne et simple raison que ceux-ci préfèrent épargner en cas de coup dur, car il n'y a aucun mécanisme permettant d'absorber un évènement extérieur les mettant dans une situation délicate.
En second lieu, je pense que nous devons adopter un modèle dégressif, il n'est par exemple par utile que l'Etat rembourse mes visites chez le généraliste, ceux qui ont lu La Croissance savent que j'ai environ 400 millions de plz de patrimoine, je ne vais pas pleurer pour 20 plz, en revanche il est nécessaire que les plus démunis soient couverts à 100 %, sinon ils n'iront pas voir le médecin et prendront le risque d'aggraver leur cas.
Housni Kknouildor :
Concernant la sécurité sociale, je suis également favorable à des remboursements selon les revenus, mais sans outefois exlcure les classes les plus aisés.
Par ailleurs, je souhaite que les femmes soient mieux indemnisées que les hommes. Au risque de paraître de nouveau colporteur de cliché, je ne suis plus à ça près, leur santé est plus fragile, et elles sont amenées plus souvent à consulter des médecins spécialistes, notamment en dermatologie, gynécologie, voir en psychiatrie dans le cas de dépressions.
Concernant la retraire, car n'oublions pas que cela fait partie intégrante de la sécurité sociale, je propose un départ anticipé sans pénalité pour les femmes, afin de les mettre au repos plus tôt, tout simplement car elles en ont besoin. Cela désengorgera également le marché du travail.
Enfin, pour la protection chômage, je ne considère pas l'inactivité des femmes comme une fatalité mais comme une chance, pour leur famille notamment. Les femmes inactives ne doivent donc pas selon moi percevoir d'allocations chômage, mais une aie de l'état en tant que femme au foyer, d'un montant fixe et garantie tant qu'elles conservent cette activité.
Urumi Nakamura :
Oui, il ne faut pas totalement exclure les classes aisées, certains traitements restent extrêmement coûteux, et nul ne devrait avoir à dépenser tant pour sa santé.
Concernant les aides aux femmes au foyer, il ne faut pas oublier que le RMG est garanti sans nécessité de rechercher un emploi pour les parents au foyer et qu'il va croissant selon le nombre d'enfants à charge, donc d'un certain point de vue une aide proche de celle que décrit monsieur Nkoulidor existe déjà.
Concernant les déséquilibres homme/femme, nous préférons traiter de cas individuels, même s'il est vrai que les hommes n'ont pas franchement besoin de consulter un gynécologue, la majorité des autres besoins est conditionnée par l'individu et non par le genre, et pour plus d'efficacité, il est bon d'adapter la couverture à chaque individu, par exemple en accordant un remboursement à 100 % pour les pathologies à longue durée.
Housni Nkouildor :
Effectivement le RMG existe déjà mais l'indemnité des femmes au foyer devra être plus attractive, pour réellement inciter les femmes à rester à la maison.
Madame Nakamura, je dois avouer que vous me dêcevez. Vous me semblez pourtant dotée d'un certain niveau d'intelligence, comment pouvez donc raisonnablement affirmer que le genre ne prédispose pas à certaines maladies ? La notion de sexe faible ne fait pas seulement référence à une faiblesse physique mais également à une faiblesse face à la maladie. Les femmes sont par exemple plus souvent victimes de rhumes, de maux de ventres, d'otites, d'infections urinaires...
Elles sont également moins résistantes à la douleur. C'est pour cette raison que les médicaments comme les antalgiques doivent être gratuits pour ces dernières.
Il y a également une faiblesse psychologique. L'hospitalisation de Mara Galante n'est pas un hasard. Nous savons que ce n'est pas un sujet de plaisanterie, nous avons de la compassion voir de la peine pour elle. Mais le fait est qu'elle a simplement fait un malaise en raison de la pression que lui faisait subir son métier, pression devenue intenable.
Les femmes sont plus émotives et moins stables psychologiquement que les femmes.
Pourquoi croyez vous que les jeunes femmes gardent plus longtemps les objets les rattachant à leur enfance, en premier lieu leur peluche ? C'est un repere dont elles ont besoin, tout somplement.
Pourquoi croyez vous que les femmes pleurent plus que les hommes ? Elles sont moins aptes à prendre sur elle certaines difficultés.
Urumi Nakamura :
C'est sans doute parce que les femmes ont une moindre tolérance à la douleur qu'il est écrit dans la Bible "Tu enfanteras avec douleur". Chose qui n'empêche pas des millions de femmes de vouloir plusieurs enfants.
La différence homme/femme n'est pas dans la tolérance à la douleur, mais dans la tolérance à l'exposition de la douleur. Un homme qui expose sa douleur sera souvent rabaissé, une femme qui expose sa douleur sera souvent réconfortée.
Il n'y a pas une seule bonne approche du rapport à la douleur, il ne faut pas chercher à pousser les femmes à avoir des réactions typées comme étant masculines ni l'inverse, chacun doit avant tout être soi-même. Le cas par cas a toujours été plus efficace que les généralités.
De nombreuses fois, le code pénal a été modifié compte tenu de l’actualité au cours de la dernière législature.
Quelle doit être la priorité du prochain ministre de la justice ?
Urumi Nakamura :
Puisque vous parlez du Code Pénal, affirmer l'exclusivité de celui-ci pour déterminer les peines applicables à chaque infraction doit être la première priorité du futur ministre de la justice. Le mauvais sketch de la loi sur le harcèlement sexuel qui a allégé les sanctions pour une telle infraction en plus de rompre avec le principe de proportionnalité des amendes a bien démontré les dérives des lois spécifiques en matière pénale.
Concernant les autres chantiers de ce ministère, je pense qu'il serait également souhaitable de rétablir les lois sur l'octroi de l'immunité, ces lois nous permettaient de mettre à mal des figures du grand banditisme en l'échange d'une immunité pour les auteurs de délits mineurs susceptibles de donner des informations de qualité. En Italie, les repentis ont été nécessaires pour mettre à mal la mafia et nous devons en tirer des leçons.
Nous souhaitons également créer un service militaire adapté en tant qu'alternative à la prison pour les jeunes délinquants, qui auraient donc le choix entre la prison ou le bracelet électronique selon le type de la sanction et ce service adapté. Le but serait d'offrir une chance de réhabilitation à ces jeunes, tout en les poussant à être plus disciplinés et en espérant éveiller des vocations. Ce serait une univers beaucoup plus sain pour des jeunes un peu égarés qui sont prêts à réparer leurs erreurs.
Effectivement je suis en phase avec Urumi Nakamura quand au fait que le code pénall doit reconcer l'ensemble des peines qui ne doivent pas être éparpillées de partout.
A force d'être en phase je vais d'ailleurs croire qu'à part notre sexe il n'y a pas de différence majeure entre nous. Ah si, je suis noir (rires)
Pour le projet de loi sur le harcèlement sexuel, nous avons effectivement assisté à un amateurisme total, c'est déplorable.
Surtout que ce projet de loi, on s'en prend aux coupables, ce qui est un bon début, mais sans agir à la source du problème. Je ne dis pas que les victimes sont responsable du fait de s'être fait harceler, mais il faut savoir faire preuve d'un minimum de pudeur quand on sait le nombre de pervers sexuels qui trainent en ville. Trouvez vous normal que des féministes extrémistes se promènent nues en toute impunité ?
C'est comme si j'allais me balladais déguisé en flic dans les quartiers nord d'Aspen, ou en supporter de l'AS Tosla les Bains dans une cité de Chouchenn, c'est à la limite des tendances suicidaires.
Et bien merci à vous deux.
Passons maintenant en revue les moments forts de cette campagne législative.
