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Julian Rodriguez
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[police=Impact]CANAL Z - L'INFORMATION DE TEMPS À AUTRE[/police][/color]
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Julian Rodriguez a écrit :
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[police=Impact]CANAL Z - 10/10 AVEC BALDOMERO RUIZ, CANDIDAT OURS[/police][/color]
Bienvenue chers internautes dans ce nouveau format de communication politique. Bienvenue dans le 10 sur 10. Le concept est simple, 10 questions sont posées et nous attendons 10 réponses. L'intervention est directe, je n'exprime pas de contre-réponse. A la fin de l'interview, je vous dévoilerai un hashtag que vous pourrez utiliser pour donner une notation sur l'interview à travers PluzIn ! Tout de suite, retrouvons une étoile montante de la politique frôçeuse. Souverainiste, keynésien, entrepreneur génialissime de par la fondation de PluzIn, j'ai posé 10 questions à Baldomero Ruiz !

Comment se passe votre campagne ?


Ma campagne personnelle ? Plutôt bien, il me semble. Je suis assez satisfait des deux débats télévisés auxquels j'ai participé, et pour lesquels j'ai eu la sensation de représenter convenablement les idées de mon parti. Je suis également heureux de la manière dont cela se déroule pour l'ensemble de mes confrères de l'OURS. Nous représentons avec justesse notre jeune mouvement.

Êtes-vous pleinement satisfait de votre bilan en tant que porte parole de l'opposition officielle ?

Être "satisfait" est malheureusement un mot que j'emploie assez peu, du fait de sa polysémie. On qualifie parfois de satisfait celui qui se contente d'une situation. Or je ne peux être contenté par une situation. Je suis plutôt du genre éternel insatisfait. Mais je suis heureux de mon bilan. J'ai notamment eu l'occasion d'initier la mise en œuvre de la réforme de l'Opposition officielle, qui a finalement été adoptée. Après, je regrette bien entendu, de n'avoir pu développer plus de propositions.

Pourquoi avoir adhéré à l'OURS et pas autre part ?

L'OURS était le seul mouvement non-étiqueté, prônant à la fois une solidarité en guise de projet économique, et la souveraineté en guise de projet politique. Cela correspond à mes idées. Je suis originaire d'Amérique centrale et des Caraïbes ... Là-bas, la culture d'un élan national va aisément de paire avec la notion d'entre-aide. Je me reconnais donc bien dans les thèses défendues par l'OURS.

C'est quoi le souverainisme ? N'est-ce pas étrange d'être de gauche et souverainiste, n'y-a-t-il pas une opposition entre l'internationalisme traditionnel des rouges ?

Le souverainisme, c'est la doctrine consistant à penser que déléguer des pouvoirs à un niveau supranational, est une aberration pour la Nation. Pour l'OURS, cette aberration est particulièrement vraie, tant par la carence démocratique, que par l'amputation des institutions républicaines qu'un tel dispositif implique. La République doit être un territoire institutionnel protégé à nos yeux. Et cela justement pour servir le peuple, à la fois contre l'internationalisme rouge, et contre l'ultramondialisation capitaliste. Nous ne nous réclamons aucunement de la gauche traditionnelle. Nous ne sommes pas des défenseurs du socialisme, ni même des héritiers. Nous pensons simplement que l'action économique de la main invisible, doit favoriser la consommation en empruntant le chemin de la solidarité et en favorisant un protectionnisme dans le contexte de globalisation des échanges. C'est un impératif moral et économique. Cela explique que nous défendions une vision keynésienne de la société. Et cela peut faire voir en nous des partisans de la gauche. Mais je le redis, nous ne sommes pas de gauche.

Si vous étiez amené à choisir un poste gouvernemental, pour lequel opteriez-vous ? Et pourquoi ?

Sans langue de bois, je ne suis pas certain d'avoir envie d'entrer au gouvernement. De nombreux domaines emportent mon intérêt. Mais il n'en est pas un dans lequel je me sache suffisamment compétent pour accepter une charge ministérielle.

Quel(le)s personnalité(s) politique(s) ou de la société civile vous inspire-t-elle le plus depuis l'avènement de notre République ? Et aujourd'hui ?

Je vais me permette de vous citer trois noms, qui ont emporté mon adhésion au point d'être devenus des modèles d'inspiration, du plus ancien au plus récent. Et je commencerai tout d'abord par Ellion Kayerd. Homme d'état au charisme fort, il est pour moi la personnification de la fonction. Ensuite Luis Alves m'inspire également, par sa capacité à trancher juste dans les grands moments. Enfin, Gavroche Finacci, que les gens connaissent bien. C'est justement parce qu'il reste encore aujourd'hui, l'un des piliers de notre République, malgré son absence des institutions démocratiques d'ailleurs, qu'il est pour moi l'un des modèles à suivre pour les jeunes générations d'hommes politiques, dont je suis.

Je vous donne 4 personnes, établissez un podium et dites-moi pourquoi à telle place: Dimitri Fevernov, Bastien Pommier, Frédéric Lollichon, Gaspard Salcedo.

1. Dimitri Fevernov, parce que j'aime la passion avec laquelle il se fait défenseur du Peuple. Il reste uniquement un idéaliste, mais je lui prête un engagement sincère qui lui vaut d'être celui pour lequel j'ai le plus de respect parmi les 4.
2. Frédéric Lollichon, parce que j'admire sa combativité. La société qu'il prône est encore plus utopique que celle de Fevernov, mais je lui reconnais une véritable rage d'action, fécondée par un profond sentiment d'injustice qui n'est pas feint. J'aime beaucoup.
3. Gaspard Salcedo, parce que j'apprécie quelques traits de sa personnalité. En revanche, je ne sais jamais vraiment sur quel pied danser avec de monsieur. Tantôt protectionniste, tantôt atlantiste, il me semble en proie à une inconstance idéologique qui peut être inquiétante.
4. Bastien Pommier. Je lui reconnais une indéniable volonté de bien faire. Mais j'abhorre tout ce qui peut être de ses motivations. Il incarne le multilibéralisme contre lequel nous nous battons. Et son agir politique est détestable, en ce qu'il ne semble qu'agiter les défaillances des autres, comme pour mieux dire "Je suis le moins pire".

Si vous deviez expliquer un moment coup de coeur de votre vie politique aux Frôçeux, ca serait quoi ?

Ma vie politique est malheureusement très récente. Je n'ai donc que peu d'éléments à apporter sur le sujet. J'ai beaucoup apprécié le moment où j'ai pu être intégré au nombre des députés de l'UGF, puis suis devenu Représentant Parlementaire. C'était ma première fonction politique réelle, et ce fut une expérience enrichissante.

Et un bémol ?

Être maire d'Etchegorda a aussi été une expérience incomparable, que j'ai appréciée. Mais malheureusement, je n'ai pu honorer la fonction à sa juste valeur. Je ne sais pas comment font les cumulards, mais il est clair que j'ai pour ma part, été contraint de faire un choix, et que celui-ci n'a pas été fait dans l'allégresse la plus totale.

Vous allez gagner dimanche ?

Ma considération personnelle est que nous gagnerons dimanche, si nous atteignons un objectif de 40 sièges. En deçà, je me réserve le droit de parler de "défaite".

Merci Baldomero Ruiz ! Comme je vous l'ai expliqué au début de cette interview, vous pouvez désormais noter Baldomero Ruiz sur PluzIn en référançant le hashtag #CanalZRuiz et la note que vous lui attribuez sur 10 ! Par exemple : #CanalZRodriguez10/10 !
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Julian Rodriguez a écrit :
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[police=Impact]CANAL Z - 10/10 AVEC ERCE WASHINGTON, CANDIDAT LA FORCE CITOYENNE[/police][/color]
Bienvenue chers internautes dans ce nouveau format de communication politique. Bienvenue dans le 10 sur 10. Le concept est simple, 10 questions sont posées et nous attendons 10 réponses. L'intervention est directe, je n'exprime pas de contre-réponse. A la fin de l'interview, je vous dévoilerai un hashtag que vous pourrez utiliser pour donner une notation sur l'interview à travers PluzIn ! Tout de suite, retrouvons une étoile montante de la droite frôçeuse. J'ai posé 10 questions à Erce Washington !

1. Comment se passe votre campagne jusqu'à présent ?

Bonsoir à toute la population frôçeuse! Alors oui notre campagne se déroule à merveille, car il ne se passe pas un jour où nous sommes aux côtés de nos concitoyens afin de les écouter donc leur prêter l'oreille, mais aussi nous sommes très proche des « oubliés » des gouvernements comme les personnes âgées, nos agriculteurs, les familles monoparentales, mais aussi les frôceux qui n'ont plus de toit et sont contraint de dormir dans la rue et depuis les dernières élections législatives notre politique est axé sur cela en menant une politique égalitaire, juste et efficace ou tous les frôceux pourront se reconnaître et nous avons vu en accédant au gouvernement que cette politique a fait ses preuves et c'est pour cela, que nous nous sommes relancé à ces élections législatives en faisant une union avec l'ADF afin d'unifier nos forces pour continuer notre action que bon nombre de frôceux juge bonne et intéressante. Mais nous ne devons pas nous voiler la face, actuellement la liste « La Force Citoyenne » connaît quelques bouleversements, car Miha Risafrindia s'est retirée pour des raisons qu'elle juge personnelle après la publication d'une affiche par le RPF et de plus, un de nos collègues M. Alka Sheltzer est toujours dans le coma, mais le reste des membres de la liste reste sur le pied de guerre afin de gérer cela donc je peux affirmer à ce jour que notre campagne se déroule très bien.


2. Êtes-vous pleinement satisfait de votre bilan au gouvernement Pommier I et II ?


Très satisfait de mon bilan en tant que ministre de l'Agriculture, de l'Environnement, des Transports et de la Ville au sein du gouvernement Pommier I et II. J'ai été très à l'écoute de nos concitoyens durant mes deux mandats consécutifs et cela leur a fait plaisir. Et par ces nombreuses visites, j'ai pu dénombrer de nombreux problèmes que nous avaient laissés les gouvernements précédents. Mais il faut savoir que j'ai fait partie d'un gouvernement qui était très bien administré: l'opinion de chaque personne a compté et je remercie vivement M. Pommier pour son travail. En tant que Ministre, j'ai davantage favorisé l'opinion publique au lieu de pomper des projets de loi sans savoir ce que pensait notre population. Si je devais à l'avenir être reconduit dans mes fonctions, je continuerais le travail entamé avec motivation, et rigueur.

3. Pourquoi avoir adhéré au RLPN et pas autre part ?

Vous savez le RLPN m'a formé, m'a donné ma chance et me voilà sur la scène politique afin de représenter la droite. Mais revenons à votre question afin que j'y réponde: « Pourquoi avoir adhérer au RLPN ?». Parce-que tout simplement on m'a appelé à rejoindre ce parti et que je voulais à tout prix devenir membre mais il faut savoir que je partage les même valeurs que sont le libéralisme, les valeurs républicaines et l'humanisme. Ce sont des valeurs que les frôceux partagent et je voulais moi aussi les partager afin de pouvoir travailler pour mes concitoyens.

4. Les problématiques d'environnement et de lutte pour un développement durable sont souvent des préoccupations de gauche, vous avez des convictions ancrées à droite, qu'est-ce qui est de droite dans vos actions ministérielles ? Qu'est-ce qui vous différencie d'un ministre de gauche à ce poste ?

Très bonne question « Qu'est-ce qui est de droite dans vos actions ministérielles », c'est premièrement l'humanisme, valeur que prône chaque jour la droite, car cette valeur m'a permis d'aller me confronter aux problèmes, à notre population qui devient de plus en plus craintive des hommes politiques et je pense qu'après mes visites et mes déplacements bons nombre de préjugés ont changé et notre population a recommencer à nous faire confiance, mais il faut savoir que ces préjugés sont le résultat d'une politique longtemps enclavée et tout le monde rester à l'écart des personnes qui le sont élues et ça s'est les valeurs républicaines que la droite partage de même et que de nombreux politiciens sont passé outre et donc mon action ministérielle n'était pas de rester sur une chaise à l'ombre dans un bureau, mais de se déplacer pour veiller au bon fonctionnement de notre politique.

« Ce qui me différencie d'un ministre de gauche » alors pour ma part un ministre de gauche ferait la même chose que moi, mais différemment avec un rythme moins soutenu, car tout simplement, j'étais dévouée à ma fonction et mes concitoyens comme je le dis souvent. (rires)

5. Si vous étiez amené à choisir un poste gouvernemental dans le prochain exécutif, pour lequel opteriez-vous ? Et pourquoi ?

J'opterai pour la même fonction que j'occupe actuellement qui est celui du ministère de l'Agriculture, de l'Environnement, des Transport et de la Ville, car tout simplement, je m'habitue. Mais j'opterai aussi pour un deuxième poste qui est celui de la Culture car, jusqu'à maintenant, nous n'avons pas d'avancée concernant la culture de notre pays et j'aimerais beaucoup à l'avenir permettre à mon pays de se remettre vers le droit chemin.

6. Quel(le)s personnalité(s) politique(s) ou de la société civile vous inspire-t-elle le plus depuis l'avènement de notre République ? Et aujourd'hui ?

Il faut savoir que ça fait 6 ans que je suis en Frôce et je ne me suis pas très intéressé à ces grandes personnalités qui ont incarné la politique frôceuse. J'ai entendu parler d'un certain M. Valbonesi qui était de droite à l'époque. Mais aujourd'hui les personnalités qui m'inspirent sont M. de Kervern, M. Bertrand, M. Finacci et M. Buster qui, chaque jour, consacrent leurs expériences au Conseil de la République. Il y a aussi M. Pommier, M. Salcedo ou encore Mdes. Von Bertha et Galante qui sont des politiciens et politiciennes qui servent leur population. Il y a aussi M. Lacroix de Beaufoy qui a rempli des fonctions très lourdes et qui a aussi travaillé pour la nation tout entière.


7. Je vous donne 4 personnes, établissez un podium et dites-moi pourquoi à telle place: Gaspard Salcedo, Mara Galante, Marc Schaft et Hilary Milton.

En première position, je placerais M. Salcedo car c'est un homme cultivée qui a lui aussi rempli de hautes fonctions au sein de notre République. Viendrait en seconde position M. Schaft, une figure politique qui a longtemps œuvré à l'économie. Lui aussi a rempli des fonctions ministérielles. En troisième position arriverait Mme. Galante, c'est une femme que je ne connais pas trop bien, mais qui a tout de même travaillé pour les frôçeux à différents postes. Arriverait en dernière position Mme. Hilton qui a du mal encore à se faire voir même si elle est devenue dernièrement Présidente de la République par intérim et cela l'a vraiment relancé sur la scène politique de notre pays.

8. Si vous deviez expliquer un moment coup de cœur de votre vie politique aux Frôçeux, ça serait quoi ?

C’est surtout lorsque j’ai été nommé Ministre sur le gouvernement Pommier I et reconduit à ces mêmes fonctions sur le gouvernement Pommier II. Cela m’a permis de m’étendre et de me faire connaitre par les frôçeux.

9. Et un bémol ?

Le 4 janvier 2015, les administrés de Casarastra m'ont élu Maire de la ville avec plus de 62 % de voix exprimées. Ce fut ma première vraie expérience politique au sein d'une ville qui contient plus d'un million d'habitants où il fallait tout le temps être attentif de la bonne gestion des comptes publics, mais aussi répondre à nos concitoyens. Il faut savoir que cette fonction m'a ouvert beaucoup de portes au niveau national.

10. Vous allez gagner dimanche ?
Bien sûr que nous allons gagner comme les précédentes élections législatives. Merci de m’avoir invité!

Merci Erce Washington ! Comme je vous l'ai expliqué au début de cette interview, vous pouvez désormais noter Erce Washington sur PluzIn en référançant le hashtag #CanalZWashington et la note que vous lui attribuez sur 10 ! Par exemple : #CanalZRodriguez10/10 !
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Julian Rodriguez a écrit :
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[police=Impact]CANAL Z - 10/10 AVEC FRÉDÉRIC LOLLICHON, CANDIDAT MOUVEMENT ANTICAPITALISTE[/police][/color]
Vu la campagne électorale, les interviews s'enchaînent ! Bienvenue dans le 10 sur 10. Le concept est simple, 10 questions sont posées et nous attendons 10 réponses. L'intervention est directe, je n'exprime pas de contre-réponse. A la fin de l'interview, je vous dévoilerai un hashtag que vous pourrez utiliser pour donner une notation sur l'interview à travers PluzIn ! Tout de suite, retrouvons une personnalité que les travailleurs connaissent bien, toujours aux côtés des militants, sans langue de bois vis-à-vis des grands partis de la gauche vendue au libéralisme. J'ai posé 10 questions à Frédéric Lollichon !

1. Comment se passe votre campagne ?

Comme n'importe quelle période de ma vie de militant engagé : le terrain, le terrain et encore le terrain ! De la proximité avec les ouvriers et les classes populaires comme au quotidien, avec les meetings à tenir un peu partout en même temps. Pas évident pour un non politicien de métier comme moi.

2. Quel est votre sentiment par rapport au gouvernement et à l'opposition ?

Si vous parlez de l'opposition dite "officielle" au parlement, c'est blanc bonnet-bonnet blanc entre les partis qui la composent et le gouvernement de droite. Pommier et sa bande appliquent leur politique d'austérité et de libéralisme destructeur, et se contentent de lisser avec le dos de la cuillère de bien piètres opposants qui semblent bien plus intéressés par leur indemnité parlementaire que par la représentation qu'ils sont censés honorer... Encore là l'éternel problème des politiciens de métier qui n'ont pas conscience de la réalité du quotidien de millions de Frôceux, ni des galères qu'ils vivent pour la majorité. En même temps, tous les partis politique hormis le MA sont capitalistes. Comment voulez-vous que des capitalistes s'opposent réellement à d'autres capitalistes, si ce n'est pour des questions d'ego et d'influence ?

3. Pourquoi avoir créer le MA et pas gardé le PAF ?

Comme nous l'avons expliqué dans notre communiqué fondateur, la gauche radicale avait besoin d'un nouveau souffle et donc d'un parti plus apte à rassembler. Le Mouvement Anticapitaliste est né de la volonté de s'unir, de la part de différentes sensibilités de la gauche radicale, ayant toutes en commun ce rejet du capitalisme et de l'exploitation de l'homme par la finance. Si le PAF était un parti avant tout trotskiste, le cheval de bataille du MA est, de son côté, l'opposition à l'appareil d'État tel qu'il est désormais. Nous avons besoin d'une réelle opposition au système actuel, une vraie opposition de gauche radicale, une opposition militante engagée et bénévole, et non pas une opposition théâtrale comme celle du MS qui joue dans la même équipe que le RLPN ou le RPF.

4. C'est quoi être anti-capitaliste aujourd'hui ? Un NPA frôçeux, autrement dit, un échec ?

N'inversons pas les rôles. L'échec politique et dogmatique qui nous a plongés dans la situation telle que nous la connaissons actuellement est à imputer aux capitalistes, qui ont toujours détenu les mannes du pouvoir depuis plusieurs décennies. Il est assez culotté de présenter l'anticapitalisme comme un échec alors qu'il n'a jamais gouverné ! L'anticapitalisme résulte d'une convergence de mouvements visant à lutter contre la dictature des profits, la spéculation, l'exploitation de l'homme par l'homme pour des motifs pécuniaires et les inégalités sociales, symptômes caractéristiques d'une société plongée malgré elle dans la fosse du capitalisme.

5. Si vous étiez amené à choisir un poste gouvernemental, pour lequel opteriez-vous ? Et pourquoi ?

Aucun en l'état actuel. Je ne suis pas un politicien de métier, et ne fais pas, contrairement aux autres partis, de la politique pour de l'argent ou du pouvoir. Le MA est un mouvement militant terrain, pas un parti électoraliste comme le MS ou le RD.

6. Quel(le)s personnalité(s) politique(s) ou de la société civile vous inspire-t-elle le plus depuis l'avènement de notre République ? Et aujourd'hui ?

Je me réclame volontiers de Yannig Le Menn, un révolutionnaire courageux et sincère, mort dans sa lutte contre l'absolutisme dégénéré. Aujourd'hui, j'ai un certain respect pour Daniel Gallon qui fut pendant longtemps un militant anticapitaliste respectable, malgré les dérives durant la dernière partie de sa carrière qui l'ont amené vers l'électoralisme du CAR puis du PEPS.

7. Je vous donne 4 personnes, établissez un podium et dites-moi pourquoi à telle place: Dimitri Fevernov, Bastien Pommier, Gavroche Finacci, feu Benjamin McGregor.

Ils sont tous au même niveau, c'est à dire celui du capitalisme assassin que je combats nuit et jour. La prochaine fois, demandez-moi d'établir un classement entre Hitler, Mussolini et Franco tant que vous y êtes...

8. Si vous deviez expliquer un moment coup de coeur de votre vie politique aux Frôçeux, ca serait quoi ?

Rien, car je suis un militant et non pas un politicien. La vie de militant est donc ma vie réelle, ma vie du quotidien.

9. Et un bémol ?

Pareil.

10. Vous allez gagner dimanche ?

Non, un parti comme le nôtre est bien trop désavantagé par le système électoral. Mais dans la rue, nous serons gagnants haut la main.

Merci Frédéric Lollichon ! Comme je vous l'ai expliqué au début de cette interview, vous pouvez désormais noter Frédéric Lollichon sur PluzIn en référançant le hashtag #CanalZLollichon et la note que vous lui attribuez sur 10 ! Par exemple : #CanalZRodriguez10/10 !
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Julian Rodriguez a écrit :
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[police=Impact]CANAL Z - 10/10 AVEC MACKENZIE CALLOWAY, CANDIDATE RASSEMBLE[/police][/color]
Vu la campagne électorale, les interviews s'enchaînent ! Bienvenue dans le 10 sur 10. Le concept est simple, 10 questions sont posées et nous attendons 10 réponses. L'intervention est directe, je n'exprime pas de contre-réponse. A la fin de l'interview, je vous dévoilerai un hashtag que vous pourrez utiliser pour donner une notation sur l'interview à travers PluzIn ! Tout de suite, retrouvons une personnalité que de centre-gauche, qualifiée de sociale-libérale à sa gauche, de pasionaria trop engagée à sa droite, elle a été balayée par celui qu'elle qualifie d'ami aux dernières élections présidentielles. J'ai posé 10 questions à Mackenzie Calloway !
1. Comment se passe votre campagne ?
Bonjour Monsieur Rodriguez. Pour ma part je mène une campagne de terrain, accés sur le porte à porte, les réunions publiques et je multiplie les rencontres avec les concitoyens. Quant à mes colistiers, ils ont beaucoup travaillé pour les débats chez vos confrères, et sur la communication des réseaux sociaux. J'ai voulu laisser le nouvelles génération prendre leurs marques dans la campagne, j'avoue qu'ils m'ont tous les deux surprit par leurs originalités, leurs volontarismes.
2. Êtes-vous pleinement satisfait de votre bilan en tant que porte parole de l'opposition officielle ?
On ne peut jamais être satisfait mais j'ai souhaité agir en tant que force de proposition. Je suis une personne ouverte aux débats. Je pense que notre devoir d'élu de la République est de représenter nos concitoyens, dans une majorité ou alors dans une opposition constructive.
3. Pourquoi avoir relancé la FDF aujourd'hui RD et pas adhéré à un mouvement de gauche déjà existant ?
J'ai toujours assumé pleinement mon parcours politique, j'ai été membre de la Fédération des Démocrates Frôceux pendant un long moment, de centre-gauche. La constance en politique est très importante, lors des élections de mars, je me suis considéré comme indépendante, c'est qu'aucun parti politique ne me correspondait. C'est naturellement que j'ai repris le flambeau de la FDF. Avec les militants, nous avons entamé une rénovation à la Fédération, il était important de montrer une nouvelle image, plus dynamique. Tout en concevant, les valeurs et les grandes lignes de la FDF.
4. Vous êtes plutôt rouge ou rose ? Avec qui gouverneriez-vous si vous étiez en mesure de mener les tractations ?
Je suis sans aucune hésitation rose ! ( rire de Mackenzie)
Je me sens prête à gouverner avec toutes les bonnes volontés. Et j'appellerai toute la gauche à se rassembler. Et si la gauche devait s'unir pour gouverner en alternative à la droite, nous négocierons un programme de majorité commun de manière constructive et nous, nous nous y tiendrons.
Le Rassemblement Démocrate souhaite un rassemblement des forces de gauche où nous pourrions apprendre de nos différences dans le plus grand des respects. J'aimerais que d'une seule voix, les sociaux-démocrates, les indépendants, les socialistes, les écologistes et tous ceux qui voudront créer une réelle dynamique pour notre pays se constituent en une majorité claire à l'Assemblée nationale.
5. Si vous étiez amené à choisir un poste gouvernemental, pour lequel opteriez-vous ? Et pourquoi ?
Mon ambition est de rassembler une majorité de gauche à l'assemblée nationale dans le but de constituer un gouvernement de combat, pour notre pays. Lors de ma défaite aux élections présidentielles, je me suis engagée auprès des Frôceux à poursuivre mon combat politique.
6. Quel(le)s personnalité(s) politique(s) ou de la société civile vous inspire-t-elle le plus depuis l'avènement de notre République ?
J'ai un profond respect pour notre ancien président Benjamin McGregor, je l'ai toujours admiré, il a été un véritable soutien dans ma vie politique et personnelle. Il a toujours su trouver les mots. Il nous a donné la force de nous dépasser dans nos combats. Il a été un homme intègre, dynamique et il a su, par son vécu, montrer les forces qui l'animaient, celles de la justice sociale et de l'égalité !
7. Je vous donne 4 personnes, établissez un podium et dites-moi pourquoi à telle place:
En premier, je place Frédéric Lollichon, malgré le fait que nos convictions politiques sont différentes, il a soutenu ma candidature lors des élections présidentielles, un homme de grande qualité.
En deuxième place, je place Louis Damien Lacroix de Beaufoys, un ami, nous avons fait nos débuts en politique ensemble. J'ai toute confiance en lui et sa vision de la société. Même si je ne partage pas toujours ses convictions.
En troisième place, Dimitri Fevernov, est un homme politique de conviction, il sait ce qu'il veut, et il a les mots justes.
En quatrième place,Gaspard Salcedo, je ne ferai aucun commentaire.
8. Si vous deviez expliquer un moment coup de cœur de votre vie politique aux Frôçeux, ca serait quoi ?
Lorsque j'ai défendu mon projet de loi sur la participation citoyenne à l'Assemblée Nationale et 2 jours plus tard lors de son adoption par les députés. J'ai l'ultime conviction que nos compatriotes ont besoin de retrouver une certaine confiance dans la politique, avec du contact humain ou à travers les nouvelles technologies notamment. Je remercie l'ensemble des députés qui ont considéré cette proposition de vision pour la République.
9. Et un bémol ?
Ma défaite aux élections présidentielles, durant ma carrière politique, c'est beaucoup de choses données, qui émane d'un long parcours politique, beaucoup de déception pour tous ceux qui m'ont toujours soutenue, il y a eu des coups, des coups violents, mais je m'en suis toujours remise.
10. Vous allez gagner dimanche ?
Je souhaite une victoire de la gauche !
Merci Mackenzie ! Comme je vous l'ai expliqué au début de cette interview, vous pouvez désormais noter Mackenzie sur PluzIn en référançant le hashtag #CanalZCalloway et la note que vous lui attribuez sur 10 ! Par exemple : #CanalZRodriguez10/10 !
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Message par Julian Rodriguez »

Julian Rodriguez a écrit :
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[police=Impact]CANAL Z - 10/10 AVEC URUMI NAKAMURA, CANDIDATE MOUVEMENT SOCIALISTE[/police][/color]
Vu la campagne électorale, les interviews s'enchaînent ! Aujourd'hui avec la représentante du MS choisie par notre canal. Bienvenue dans le 10 sur 10. Le concept est simple, 10 questions sont posées et nous attendons 10 réponses. L'intervention est directe, je n'exprime pas de contre-réponse. A la fin de l'interview, je vous dévoilerai un hashtag que vous pourrez utiliser pour donner une notation sur l'interview à travers PluzIn ! Tout de suite, retrouvons une personnalité que de gauche, bien socialiste, issue d'une famille historiquement ancrée dans l'histoire politique de notre pays depuis les cinq dernière décennies, elle marche dans l'ombre de Gavroche Finacci et d'Asuka Finacci. J'ai posé 10 questions à Urumi Nakamura !

1. Comment se passe votre campagne ?

La campagne se passe bien, l'équipe est beaucoup plus présente qu'en mars, c'est beaucoup plus sain de pouvoir enfin travailler en équipe. Je tiens en particulier à remercier Hillary Milton pour sa très bonne gestion des réseaux sociaux et Dimitri Fevernov qui est un excellent leader pour notre parti et que j'ai trouvé très convaincant lors des débats, on avait besoin d'un leader de sa trempe pour se remettre de l'échec des dernières élections.

2. Êtes-vous pleinement satisfait de votre bilan d'opposition ? Qu'attendez-vous du gouvernement de demain?

Le chef du gouvernement sortant parle souvent du prétendu fait que l'opposition n'a pas été constructive, je crois que plus d'un chef de gouvernement rêverait d'avoir une opposition qui n'obstrue pas 90 % de ses textes et qui propose des compromis raisonnables le reste du temps comme je l'ai fait avec la PES et les bourses.

Concernant la satisfaction, on ne peut jamais être totalement satisfaite d'être dans l'opposition, mais nous avons montré que le MS n'était pas une force d'obstruction et obtenu deux avancées sociales significatives avec la PES et la bourses, c'est un bilan très correct pour un parti qui n'avait plus que 17 députés.

Le gouvernement de demain devra avant tout s'attacher à maintenir le climat de croissance, l'échec de la loi TEPA, que le MS avait annoncé depuis longtemps, montre bien à quel point ce climat est fragile, nous avons avant tout besoin d'action sur le plan économique en faveur des classes populaires.

3. Pourquoi avoir adhéré au MS et pas autre part ?

Le MS est le fruit de la fusion entre le PEPS et le RS. Le PEPS était l'héritier du CAR, le premier parti auquel j'ai adhéré, j'ai adhéré au CAR étant donné qu'il était le seul parti à ne pas nous servir la soupe bien-pensante de réconciliation nationale, sans jouer les vengeurs, nous sommes dans un pays où on sait que les traîtres doivent être sanctionnés avec la plus grande dureté. Nous avons atteint ce but avec le tribunal spécial qui a condamné Isabel de Trastamara.

La vraie question, c'est pourquoi être restée au MS après ces fusions ? Si je suis restée au MS c'est parce que des millions de frôceux sont dans le besoin et que j'ai l'impression qu'ils sont loin d'être la priorité de la droite qui préfère préserver le statut des exilés fiscaux en faisant rejeter l'impôt citoyen et à faire plaisir à ses amis du CREPF en rejetant une hausse du SMC et en proposant en douce la taille de la tranche à 32 % d'imposition des plus grandes entreprises.

4. Ca fait quoi d'avoir été une des femmes les plus puissantes d'Europe et du monde et de pousser une liste d'un parti qui peine à rassembler le pays ?

La puissance n'est que très peu de choses face au poids de l'idéologie. Le pouvoir ne dure que 2 ans, l'idéologie est éternelle.
Si vous vous battez avec la puissance en tête vous vous démotiverez bien vite, seule l'idéologie peut forger les longues carrières, qu'on parle de triomphes ou de traversées du désert.
Mon poids est égal à celui de mes colistiers avec pour seul objectif d'améliorer au maximum notre résultat.

5. D'habitude, je vous demande quel poste gouvernemental vous souhaiteriez, mais j'aimerai vous demander autre chose: avez-vous des anecdotes sur vos mandats au gouvernement ? Quel(s) chef(s) d'état vous a particulièrement marqué ?

Toute dépend de quelle coalition nous parlons et des nécessités du futur Premier ministre. J'ai beaucoup de travaux inachevés à l'économie, mais si la majorité est trop étroite, il faudrait un nom beaucoup plus consensuel que le mien, l'éducation et la sécurité pourraient également me convenir, j'ai déjà montré mes capacités dans ces deux domaines.

Concernant les chefs d'état frôceux, je peine à admirer totalement les Présidents récents, même si le début de mandat de François Bertrand était très encourageant beaucoup de choses se sont dégradées à la fin. En règle générale, la malédiction d'Anthelme frappe, une fois arrivés à la présidence, les politiciens ont l'impression d'avoir réalisé le plus beau.

Je préfère retenir les chefs de gouvernement, récemment j'ai beaucoup aimé travailler avec Marc Schaft, malgré les critiques de mon camp, c'est un grand humaniste et un économiste de grande qualité. J'ai bien sur aimé travailler avec Alex Crawford, c'est plus agréable d'avoir un chef issu de son parti.

6. Quel(le)s personnalité(s) politique(s) ou de la société civile vous inspire-t-elle le plus depuis l'avènement de notre République ? Et aujourd'hui ?

J'ai toujours aimé le style de communication de mon oncle Gavroche et l'idéologie de ma tante Asuka, ce sont forcément les deux principales inspirations de mon début de carrière.
Récemment, je ne vais pas cacher que de notre côté de l'échiquier politique, j'apprécie beaucoup le leadership de Dimitri Fevernov et que de l'autre côté, j'ai toujours aimé débattre avec Thomas de Kervern, mais il est probablement plus heureux à Norijo.

7. Je vous donne 4 personnes, établissez un podium et dites-moi pourquoi à telle place: Mackenzie Calloway, Erce Washington, Alexandre Vailland de Chirey, Pierre Lazaridis.

Idéologiquement, le podium ne serait pas dur à faire : Lazaridis - Calloway - Vailland.

Les syndicats sont les principaux défenseurs des classes populaires, en tant que femme de gauche je ne peux que me réjouir de leur montée en influence et Pierre Lazaridis a par son charisme réussi à faire monter la FNT à un niveau supérieur.
J'aurais pu mettre Mackenzie Calloway devant, mais je dois reconnaître que la longue période d'indépendance durant laquelle elle n'a pas rejoint la Fédération Progressiste alors en débandade totale me pousse encore à une certaine méfiance.
Alexandre Vailland de Chirey a une politique diplomatique de qualité, il a su préserver l'héritage d'une Frôce indépendante, je dois cependant mettre un bémol sur son alliance avec le RLPN et sur le traité sur la coopération méditerranéenne.

Sur la compétence, je n'ai pas assez vu Mackenzie Calloway et Pierre Lazaridis à des hautes responsabilités pour me prononcer.

8. Si vous deviez expliquer un moment coup de coeur de votre vie politique aux Frôçeux, ca serait quoi ?

Le meilleur moment, c'est sans doute quand j'ai obtenu du conseil des ministres la signature de l'ordonnance créant un tribunal spécial. C'est le moment où j'ai su que les crimes de la dictature Trastamara ne resteraient pas impunis, ça a été un immense soulagement que j'ai partagé avec toutes les familles des victimes et ça a été l'aboutissement d'années de combat.

9. Et un bémol ?

Quand le centre a fait capoter l'impôt citoyen, c'est un projet qui a pris de longues heures aux services du ministère, nous avons tenté de négocier, mais nous nous heurtés à des positions sectaires, allant jusqu'à feindre qu'ils ne comprennent pas le principe d'une imposition par tranche. En faisant capoter ce vote, le centre a ouvertement soutenu l'exil fiscal et reflété l'attitude générale du centre et de la droite sur le dossier.

10. Vous allez gagner dimanche ?

Tout dépend ce qu'on appelle gagner. Nous avons bon espoir d'au moins doubler notre nombre de sièges, mais il est évident que nous n'avons pas les moyens de finir en tête. En ce qui concerne le gouvernement, advienne que pourra.

Merci Urumi Nakamura ! Comme je vous l'ai expliqué au début de cette interview, vous pouvez désormais noter Urumi Nakamura sur PluzIn en référançant le hashtag #CanalZNakamura et la note que vous lui attribuez sur 10 ! Par exemple : #CanalZRodriguez10/10 !
Julian Rodriguez
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Re: [Canal Z * Julian Rodriguez]

Message par Julian Rodriguez »

Julian Rodriguez a écrit :
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[police=Impact]CANAL Z - 10/10 AVEC GASPARD SALCEDO, CANDIDAT RPF[/police][/color]
Vu la campagne électorale, les interviews s'enchaînent ! Aujourd'hui avec le représentant du RPF choisie par notre canal. Bienvenue dans le 10 sur 10. Le concept est simple, 10 questions sont posées et nous attendons 10 réponses. L'intervention est directe, je n'exprime pas de contre-réponse. A la fin de l'interview, je vous dévoilerai un hashtag que vous pourrez utiliser pour donner une notation sur l'interview à travers PluzIn ! Tout de suite, retrouvons une personnalité bien à droite, ennemi politique public numéro un pour les nombreux partis de gauche, en froid avec le Premier ministre, il est depuis des décennies la figure emblématique de la droite. J'ai posé 10 questions à Gaspard Salcedo !

1. Comment se passe votre campagne ?

A merveille. Nous avons vraiment le sentiment d'apporter quelque chose que les frôceux attendent, et c'est extraordinaire. Les frôceux comment à tous penser que la gauche, comme le centre, font de la politique mollassonne. De notre côté, nous sommes à droite, et droits dans nos bottes. Nous portons des valeurs qui parlent à tous, dès lors que l'on veut regarder la réalité politique de notre pays en face et que l'on désire avancer.
L'équipe militante est d'une grande qualité, c'est un vrai plaisir de la diriger. Les membres du RPF sont vraiment unis par l'idée de faire avancer notre pays, et dans ces conditions, faire une campagne est quelque chose d'exceptionnel.

2. Êtes-vous pleinement satisfait de votre bilan au gouvernement avant votre ostracisation ?

Vous savez, quand on est un politique aussi exigeant que moi, on n'est jamais vraiment satisfait. J'ai fait une bonne loi sur la lutte juridique contre le terrorisme, mais il y avait encore beaucoup à faire. La réforme de l'action publique a été écartée par le médiocre chef de gouvernement qu'était Bastien Pommier, je ne reviendrai pas là-dessus. Mais il y avait également beaucoup d'autre choses à faire, notamment au niveau des peines-planchers, du Sénat, ou de la justice des mineurs. Je suis donc navré de ne pas avoir fini mon mandat, non pas par carriérisme, mais par souci de l'intérêt général. Mais la médiocrité politique aura eu raison du courage politique.

3. Pourquoi avoir baroudé à droite et avoir souvent été à la création de mouvement et ne pas avoir posé vos valises définitivement dans un parti ?

Mes valises, je viens de les poser au RPF et je ne les bougerai plus. Auparavant, c'était une période compliquée pour la droite : j'avais créé un mouvement politique avec François Bertrand avant que celui-ci ne me lâche par opportunisme pour rejoindre le centre, j'avais créé un mouvement avec Vincent Valbonesi avant que celui-ci ne doive faire face à des problèmes personnels, puis avec Thomas de Kervern avant qu'il ne préfère rejoindre le RLPN... Finalement, j'ai beaucoup erré en cherchant, non pas mon idéologie, mais la forme de mouvement politique la plus rassembleuse possible. Puis je me suis dit que j'allais définitivement faire un travail stable, quitte à ce que cela ne fonctionne pas, au moins je serais posé. C'est ce que j'ai fait en créant le RPF. Le RLPN m'a tourné le dos, mais au moins j'avais les coudées franches. Et le résultat est que ça a fini par payer, puisqu'en nombre de militants, nous sommes le second parti de Frôce.

4. Si on peut vous caractériser par une posture, c'est la haine des rouges ? Êtes-vous atlantiste ou protectionniste?

Je ne hais personne. J'ai même plus de sympathie pour un Fevernov ou un Salinovitch, qui eux ont des convictions, que pour des Rasafindria ou des Pommier, qui louvoient pour des bulletins électoraux. Donc non, me caractériser par la haine est la dernière des choses à faire.
Au niveau diplomatiques, notre but est la promotion de la démocratie, du libéralisme et des droits de l'homme. Je défend la souveraineté frôceuse, tout en sachant très bien qu'il faudra être amené à lutter contre le terrorisme avec ceux qui partagent les mêmes vues que nous.
Protectionniste... Dès qu'on dit ce mot, on pense directement à la fermeture de l'ouverture sur le monde. Ce n'est pas ça. Je me considère davantage protectionniste que l'OURS, en considérant qu'il faut rendre notre pays le plus compétitif et attractif possible ! On n'envisage pas l'économie comme un repli sur soi, mais comme une saisie d'opportunités dans le monde entier. Protéger notre économie, c'est l'ouvrir et la rendre efficace.
Je suis donc un libéral, conservateur, patriote, humaniste.

5. Si vous étiez amené à choisir un poste gouvernemental, pour lequel opteriez-vous ? Et pourquoi ?

Ministre de la rupture, pour une politique franche !

6. Quel(le)s personnalité(s) politique(s) ou de la société civile vous inspire-t-elle le plus depuis l'avènement de notre République ? Et aujourd'hui ?

Vincent Valbonesi. Personne n'arrive à sa cheville, et ceux qui se réclament aujourd'hui du centre-droit devraient fortement s'en inspirer.

7. Je vous donne 4 personnes, établissez un podium et dites-moi pourquoi à telle place: Dimitri Fevernov, Mara Galante, Marc Schaft, Gavroche Finacci.

En premier lieu, Gavroche Finacci. Quelqu'un qui a la Frôce en très haute estime, et sans qui notre pays s'écroulerait.
Ensuite, Marc Schaft. Un bon économiste, mais cependant peut être pas assez courageux pour réformer notre pays.
Ensuite, Dimitri Fevernov, il a une idéologie passéiste et nauséabonde, mais il a le mérite d'avoir du charisme.
Enfin, Mara Galante, qui elle n'a ni idéologie ni charisme.

8. Si vous deviez expliquer un moment coup de coeur de votre vie politique aux Frôçeux, ca serait quoi ?

C'est difficile. Je dirais quand j'ai été élu Maire d'Aspen, c'était ma première élection et c'était un moment magique.

9. Et un bémol ?

Quand j'ai fait un saut par erreur de justice par la case "prison", et que j'ai vu tous mes projets s'envoler. Ce fut un choc terrible.

10. Vous allez gagner dimanche ?

Chaque bulletin RPF mis dans une urne est une victoire !

Merci Gaspard Salcedo ! Comme je vous l'ai expliqué au début de cette interview, vous pouvez désormais noter Gaspard Salcedo sur PluzIn en référançant le hashtag #CanalZSalcedo et la note que vous lui attribuez sur 10 ! Par exemple : #CanalZRodriguez10/10 !
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Message par Julian Rodriguez »

Julian Rodriguez a écrit :
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[police=Impact]CANAL Z - 10/10 AVEC FRANCIS MAROIS, CITOYEN ORDINAIRE[/police][/color]
Vu la campagne électorale, les interviews s'enchaînent ! Aujourd'hui avec Francis Marois, universitaire reconnu à Aspen II et citoyen apolitique. Bienvenue dans le 10 sur 10. Le concept est simple, 10 questions sont posées et nous attendons 10 réponses. L'intervention est directe, je n'exprime pas de contre-réponse. A la fin de l'interview, je vous dévoilerai un hashtag que vous pourrez utiliser pour donner une notation sur l'interview à travers PluzIn ! J'ai posé 10 questions à Francis Marois !

Comment se passe la campagne vue d'un citoyen ?
C'est intéressant, très intéressant. Pouvoir revenir à la maison, le soir des débats, et syntoniser la télévision sur le poste, c'est pour moi un véritable bonheur. C'est fascinant, parce qu'évidemment, avec la profession que j'ai, c'est un domaine qui me passionne. On a tendance à croire que parce que nous enseignons la politique, parce qu'on nage dans cette eau tous les jours, nous comprenons tout et nous avons opinion sur tout, mais ce n'est pas le cas pour tout le monde, pour tous les citoyens de la Frôce. Prenons les débats, parce que je crois que c'est ce qui est le plus accessible pour monsieur et madame Tout-le-Monde. Lorsque je regarde les débats, et je ne suis pas le seul à constater le problème, mes étudiants m'en ayant fait part, j'ai tendance à croire que les représentants des listes ne s'adressent pas directement au peuple, mais aux autres représentants des listes présentes. Je comprends, d'un sens, l'aspect pratique de la formulation, mais je me questionne encore sur l'efficacité d'une telle pratique. Qui tentons-nous de convaincre? L'électorat ou les candidats des autres listes? Il serait bon de ne pas oublier que l'exercice des débats sert avant tout à clarifier la position du parti sur les différents enjeux pour l'électorat qui, intéressé à faire son devoir de citoyen, s'y perd un peu entre les différentes formations politiques du pays. Je ne peux que féliciter ceux qui s'y prêtent et tous ceux qui prennent le temps de répondre aux citoyens qui se questionnent. Pour moi, il s'agit là d'une des plus grandes forces de notre pays : celle d'être au service du citoyen. Encore faut-il que le citoyen cesse d'assister à des attaques sans contenu ni respect qui désolent de tous les côtés.


Êtes-vous pleinement satisfait du bilan du gouvernement ?
J'aime le détournement de votre question, comme si elle impliquait que, nécessairement, je devais satisfait du bilan de notre gouvernement. Je ne discuterai pas de ma satisfaction, mais du bilan en général. Une fois de plus, la Frôce s'est attribué un gouvernement mettant de l'avant le terrorisme et l'aviation, en oubliant évidemment l'éducation. Bien sûr, il y a la Bourse au mérite à la sortie du lycée, mais est-ce la seule action que la Frôce peut entreprendre? L'accès universitaire est-il moins important que la pseudo lutte au terrorisme? Suis-je satisfait de ce gouvernement? Non, tout comme les autres gouvernements précédents. Les gouvernements de la Frôce s'enlisent de plus en plus dans le cratère de l'aide à l'éducation bâclée, et si nous ne remontons pas le plus vite possible, notre élite s'exilera là où les conditions seront propices. Ou bien, ils finiront sur l'assistance sociale.


Vous n'êtes pas encore militant dans un parti politique existant en Frôce, qu'attendez-vous du prochain gouvernement pour le pays ?
Si vous me le permettez, je vais avant tout rectifier le commentaire qui précède votre question. Il y a à mon sens plusieurs phases au militantisme. Là où je vous donne raison, c'est qu'en effet, je ne milite publiquement pour aucune formation politique. Pourquoi? Parce que je crois qu'à l'heure actuelle, avec la fonction que j'occupe, ce ne serait pas opportun. Je crois que je dois afficher une impartialité totale quant à mes opinions politiques, car jamais je n'ai été propulsé par l'essence de la propagande quelconque. Lorsque j'enseignais, ma mission était d'extérioriser les convictions et les valeurs de mes étudiants, sans les diriger d'une quelconque manière vers mes propres valeurs et convictions. Donc, oui, je milite, mais à ma façon, le jour du scrutin. Maintenant, si je devais attendre quelque chose du prochain gouvernement, ce serait bien entendu la hausse des budgets pour nos chaires de recherche et une reconnaissance plus étalée de nos diplômes sur la scène internationale. Bien entendu, il faut tenter de contrer le fléau où nos diplômés quittent le pays pour faire usage de leur diplomation dans des pays où la condition des travailleurs est meilleure, mais je crois qu'il n'est pas plus intelligent de laisser nos ressortissants sans aide quelconque lorsqu'ils se heurtent à des pays où leurs diplômes de valent rien. Je m'estime très heureux que mes diplômes soient reconnus en Frôce, alors qu'ils ont été obtenus aux États-Unis, et j'espère que je ne ferai pas partie de la minorité des gens dont leurs diplômes sont reconnus. Je crois que notre prochain gouvernement devrait également en faire davantage pour appuyer ceux qui se cherchent un emploi et qui ne demandent qu'à participer à notre système économique. Le prochain gouvernement devrait également revoir le taux d'imposition sur le revenu. Oui, il y a de l'argent à faire là, mais il faut cesser de continuellement s'attaquer à la classe moyenne, sans pour autant créer des clivages sociaux. Je m'attends à ce que notre prochain gouvernement puisse mettre des conditions favorables pour l'éducation, notamment en améliorant l'accès aux programmes universitaires. Une nation riche débute avant tout par un peuple à la culture riche, et actuellement, bon nombre de jeunes aimeraient accéder à l'Université, mais prennent cette volonté pour un rêve inaccessible. Je m'attends à ce que notre prochain gouvernement dépasse les frontières des communications entre l'Exécutif et le peuple de la République frôceuse. Je m'attends à beaucoup de choses (rire), mais essentiellement, je m'attends à ce que ce gouvernement améliore la Frôce et la qualité de vie de son peuple. Comme je viens de vous le dire, je veux beaucoup de choses. (rire) Peut-être devrais-je parler d'agriculture, de justice sociale... mais l'enseignement supérieur représente à mon sens le plus grand investissement.


Vous occupez un poste important à l'Université d'Aspen II, quels sont les constats que vous faites par rapport à la jeunesse d'aujourd'hui ?
Je suis choyé de côtoyer l'élite future de notre pays, je le rappelle à chaque fois qu'il m'est possible de le faire. Si je devais me baser sur les étudiants qui passent par mon département pour faire un constat sur la jeunesse d'aujourd'hui, l'analyse serait subjective et biaisée. Le département des Sciences politiques est peuplé de jeunes avides de savoir et ils veulent tous changer le monde. Je compare souvent la Faculté de Science politique avec un pommier. Dans l'arbre, il y a des centaines et des centaines de pommes. Certaines sont rondes, d'autres difformes. Certaines sont rouges, d'autres pas tout à fait mûres. Certaines sont belles, d'autres ont été envahies par des vers de terre... Ce n'est pas au pomiculteur à décider quel arbre fera mûrir quelle pomme. Le pomiculteur n'a également pas de réel contrôle sur ce que deviendront ses pommes. Nous exerçons le même métier : nous pouvons les cueillir, leur offrir tous les engrais et produits nécessaires à leur bon développement, tout en restant eux-mêmes, les seuls qui puissent changer leur façon de voir la vie, c'est l'expérience et la vie elle-même. Je crois que c'est cette jeunesse qui est présente, aujourd'hui, dans notre société. Une jeunesse forte et indépendante qui s'inspire du jour et de la nuit pour forger ce qu'ils sont. De pouvoir être un de ceux qui répond à leurs questionnements, c'est tout un honneur. Oui, une jeunesse active, politisée et consciencieuse. C'est celle-là que je côtoie. J'espère que le constat est pareil à l'extérieur de la Faculté.


Si vous étiez amené à choisir un poste gouvernemental, pour lequel opteriez-vous ? Et pourquoi ?
Ce n'est pas quelque chose dont j'ai déjà réfléchi, parce que pour ma part, mon implication politique, je la fais auprès de nos futurs hommes et femmes d'État. Côtoyer les forces politiques de demain, c'est un peu s’imprégner de l'avenir qu'aura notre pays. Je sais reconnaître ceux qui seront bons et ceux qui le seront moins pour notre pays... Je suis heureux quand les deux entrent en politique, mais moins lorsque le deuxième obtient un poste important, si vous me suivez... Si je devais absolument choisir, j'opterais pour un poste qui touche à l'éducation, bien entendu. J'ai déjà été approché, pas en Frôce bien sûr, pour un poste de conseiller auprès d'un gouvernement que je ne nommerai pas dans le domaine de l'éducation, mais le poste que j'occupe à Aspen II était beaucoup plus intéressant sur tous les aspects. Je ne me vois pas quitter une fonction que j'aime pour un poste éphémère. Sans avoir, également, si j'ai les compétences requises pour quelque fonction qui soit. Donc, allons-y avec un poste qui touche à l'éducation, pourquoi pas, même si tout dépendamment du contexte, une bonne discussion pourrait ouvrir de nouveaux horizons.


Quel(le)s personnalité(s) politique(s) ou de la société civile vous inspire-t-elle le plus depuis l'avènement de notre République ? Et aujourd'hui ?
Je ne réponds jamais à ces questions, parce que les réponses doivent généralement être teintées de ce que nous sommes et de ce que nous appuyons politiquement parlant. Je ne suis pas encore prêt à afficher mes couleurs politiques, ce qui fait qu'en répondant à cette question, les étudiants qui fréquentent mon département pourraient être tentés de faire des liens entre ce que j'ai dit dans le passé et mes affiliations politiques présumées. Je n'en suis pas à ce stade encore. Certains nous inspireront de par leurs mauvaises actions en nous poussant à devenir de meilleures personnes, mais généralement, peu importe le motif, ce choix sera perçu de la mauvaise manière et amènera douze questions supplémentaires. Non, je ne réponds jamais à ces questions.


Je vous donne 4 personnes, établissez un podium et dites-moi pourquoi à telle place: Frédéric Lollichon, Alexandre Vailland de Chirey, Asuka Finacci, Gaspard Salcedo.
C'est un exercice intéressant. D'entrée de jeu, je mettrais en première position Monsieur Vailland de Chirey. Un homme extrêmement compétent dont j'ai eu la chance de rencontrer à quelques reprises, lorsqu'il était maître de conférence en géopolitique à Aspen II. Sa compétence en géopolitique n'est plus contestable, et j'admire la grande culture de l'homme. Bien qu'il ait été confronté à la justice récemment, sans remettre en cause ni les motifs ni le jugement, je ne crois pas que cela alternera la vision que j'ai de cet homme. Je crois que le tribunal pénal devrait plutôt être utilisé à des fins plus... concrètes. Les contribuables n'ont pas à débourser pour des insignifiances. J'irais, en deuxième position, avec Monsieur Salcedo. Non pas principalement pour ses valeurs, mais pour son large curriculum vitae. C'est un homme politique et un homme d'affaires qui a beaucoup fait pour la Frôce. Son obsession pour l'amélioration militaire du pays est peut-être un bémol à sa deuxième position. Je le mets en seconde position parce que, dans un sens, il le mérite. Ce qui s'est passé en 2014 pour monsieur Salcedo en 2014 est une preuve flagrante qu'il existe une faille immonde dans les techniques d'interrogatoires et d'enquêtes de la police au pays. Sa nomination, à la suite de l'annulation du jugement de la Cour Suprême, au ministère de la Justice est un beau retour d’ascenseur à un homme qui, hors de tout doute, connaît désormais les failles de notre système. Oui, voilà, je lui accorde ma seconde position. En troisième place, j'irais avec Monsieur Lollichon. Je n'irai pas dans les grandes explications, mais j'affirmerai avec certitude que sa passion et son dévouement pour les causes qu'il jugeait dignes d'intérêt sont rafraîchissants pour un pays qui, hors de tout doute, permet à un vaste éventail d'idéologies de cohabiter et de travailler ensemble sur la solidification de nos bases sociales. En quatrième position, j'irais donc avec Madame Finacci, même si elle peut également être sur la troisième marche du podium. Je n'ai pas d'explication publique à donner, et malgré tout le respect que je dois à Madame Finacci, je suis comme beaucoup d'autres arrivé à m'intégrer dans la société sans l'aide de l'argent, mais évidemment, cela ne tient qu'à moi. Il y a les riches et les autres, et je ne figure pas dans la première catégorie.


Si vous deviez expliquer un moment coup de coeur dans la vie politique du pays aux Frôçeux, ça serait quoi ?
Je l'ai expliqué plus d'une fois en cours, et si j'avais encore à le faire, je n'hésiterais pas à parler du retour de la démocratie dans notre pays. Il n'y a rien de plus vital pour une société comme la nôtre que la possibilité de cheminer politiquement par la voix de la discussion et du débat. De là à réexpliquer cette histoire, vous me permettrez de garder une petite gêne.


Et un bémol ?
Très honnêtement, je crois que chaque épopée, qu'elle soit positive ou négative, permet à la société d'évoluer sur le bon chemin. Je crois que même la dictature a magistralement amélioré notre relation avec la liberté, c'est donc dire. Donc non, je ne répondrai pas au niveau d'un quelconque bémol.


Qui va gagner dimanche ?
Les sondages semblent prioriser un camp plus que l'autre, mais tant que les études supérieures ne seront pas accessibles à un plus large éventail d'étudiants, personne ne gagnera. Ni vous, ni moi, ni les candidats, ni les étudiants, ni la Frôce. Les plus grands génies de ce monde n'ont jamais été acceptés dans une Université. Imaginez si cela avait été le cas.

Merci Francis Marois ! Comme je vous l'ai expliqué au début de cette interview, vous pouvez désormais noter Francis Marois sur PluzIn en référançant le hashtag #CanalZMarois et la note que vous lui attribuez sur 10 ! Par exemple : #CanalZRodriguez10/10 !
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