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Philippe de Kervern

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Message par Philippe de Kervern »

Le syndrome CAR, illustration parfaite du mal identitaire qui touche les Frôceux
Le Cercle des "Amis" de la Révolution qui valide son ticket pour le second tour de notre élection présidentielle... Est-ce vraiment une surprise comment se complaisent à le faire croire certains médias ? Je ne puis le concevoir. En dépit de l'expérience personnelle de Monsieur Daniel Gallon, j'estime que les Frôceux ont cru, par le biais de leur vote en faveur de ce dernier, punir un système corrompu jusqu'aux plus profondes de ses entrailles et inopérant depuis la nuit des temps quand il s'agit de l'intérêt général et populaire. Le travail que je m'attacherai à accomplir est celui d'informer le peuple, et de bien l'informer, à propos de cette oligarchie dominante dont Monsieur Gallon n'est qu'un pantin.

Les Frôceux doivent prendre conscience que le CAR n'est qu'une fausse dissidence créée de toute pièce par le système dans le seul et unique but de maintenir l'un de ses représentants à la tête de notre nation. Au cours des précédentes décennies, cet ordre dirigeant illégitime, dont nous connaissons tous le dessein, nous a joué un excellent - mais pervers - spectacle théâtral, faisant de chaque Frôceux sa marionnette. Évidemment, ce ne fut pas compliqué pour eux de simuler des désaccords entre partis pseudo opposés mais défendant secrètement la même toute-puissance, ni de provoquer des conflits sociaux et culturels, une fois de plus au détriment de la population.

Cette synarchie faisandée nous a, cette fois-ci, imposé la présence de Daniel Gallon au second tour. Ce personnage est particulièrement pervers, car il joue sur l'attachement très prononcé que portent les Frôceux à notre révolution (la leur avant tout) en leur augurant un prolongement de son effet social et de la bonne dynamique morale qu'elle a suscité. Cette instrumentalisation de la révolution des Frôceux est particulièrement abjecte, car elle cache, derrière, un programme beaucoup plus froid et funeste. Avec Gallon, fini les libertés individuelles, fini le droit de propriété, fini la république, en somme... Je vais évoquer, à nouveau, un exemple que j'avais déjà mis en avant lors de ma dernière conférence de presse, prouvant que Monsieur Gallon manie bien mal la langue de bois. Ce dernier a affirmé, dans l'émission "politique" de Dany Giard, que s'il était élu président, il ne perpétuerait pas une chasse aux sorcières envers ses opposants et les anciens acteurs de la monarchie. Or, dans le programme du CAR, il est bel et bien inscrit que ces derniers seront traqués et durement punis. Est-ce là, vraiment, une optique de progrès pour notre société que de faire régner la terreur et de s'acharner à se venger de ceux qui nous ont fait du mal, plutôt que d'agir en faveur de notre peuple et de notre identité ?

Le syndrome CAR représente à merveille le mal identitaire qui ronge une partie de la société frôceuse. Entre les déçus de l'épisode royaliste et ceux dont le quotidien a été le plus ardemment impacté par les échecs politiques successifs, il y a beaucoup d'individus susceptibles de se tourner vers ce très inquiétant extrémisme bolchévique d'un ancien temps. Loin de moi l'envie de faire une autopsie détaillée du "programme" de ce CAR comme certains opposants ont pu le faire avec celui du MNF... Mais toutes les personnes l'ayant lu, ne serait-ce qu'en partie, comprendront la raison pour laquelle je parle, à juste titre, d'extrémisme d'un ancien temps. Daniel Gallon, par le biais des médias corrompus, a été désigné et imposé aux Frôceux comme la tête d'affiche d'une alternative crédible et du renouveau. Je n'en veux pas à ceux qui se sont laissés escamoter par ce CAR montant. Il est vrai que la démarche de ce néo-PCUS a été plus qu'habile : faire croire aux Frôceux que le parti défend l'ensemble des libertés individuelles, et de quelle manière ! En mettant en avant des personnalités issues de l'immigration comme Mademoiselle Nakamura, jeune et dynamique également (aussi jolie puisse-t-elle être malgré tout), et, de même, des homosexuels tout juste sortis de leur coming-out comme Joan Soliguer ou Alexis Vertin. Mais la réalité est bien différente, soyez-en sûrs. Comme un vieux proverbe le dit si bien, "Hitler avait son bon juif". La présence desdits personnages "politiques" ne sert qu'à alimenter la stigmatisation envers l'opposant que constitue le MNF, permettant ainsi de crier à la xénophobie ou à l'homophobie dès que la moindre critique est émise par son représentant à l'encontre de ceux-ci.

L'immonde tactique politique du CAR est donc mise à la lumière du jour. J'espère que les Frôceux prendront conscience du risque qu'ils encourent en permettant la continuité du système par le biais de l'élection de Monsieur Gallon. Certains ont osé affirmer que mon soutien à Monsieur McGregor est intéressé, et qu'il m'a rétribué pour ce dernier. Je ne répondrai qu'une chose : j'ai soutenu McGregor par conviction républicaine et par rejet de toute forme de totalitarisme... Soit la ligne politique pleinement défendue par le MNF (n'en déplaise à certains balourds qui n'ont jamais réussi, non sans envie, à prouver le contraire). Évidemment, McGregor et Gallon appartiennent tous deux à cette fameuse oligarchie puante. Mais quitte à subir le système, je préfère que nous le subissions sans avoir à faire face aux affres de l'absolutisme improductif. Qui, de fait, voudrait d'un nouveau URSS ? Nous devons indéniablement rejeter ce type de régime à vocation perdante. Nous n'avons pas besoin de la mise en place d'une pensée unique établie en perspective de seulement servir les intérêts de ces apparatchiks. Nous n'avons pas besoin d'une propagande stakhanoviste poussant les travailleurs au-delà des limites de la dignité humaine. Nous n'avons pas besoin de la régularisation massive d'une main d’œuvre étrangère appelée simplement dans l'objectif de faire du chantage aux ouvrier frôceux par rapport à leurs prétentions en termes de salaire et de conditions de travail. Nous n'avons pas besoin d'une politique centrée sur les conflits d'intérêts internationaux et obligeant les citoyens à partir au front pour se battre en faveur d'une cause qui n'est pas la leur. Nous n'avons pas besoin de perdre notre identité nationale et notre culture au profit d'une identité hybride et d'une culture qui n'est pas la nôtre. En somme, nous avons besoin de vivre pour nous et pour notre entité nationale, pas pour eux et leur ordre dirigeant pitoyable.

Le MNF est le seul antidote à ce syndrome CAR, le seul parti à vouloir réellement tendre la main aux Frôceux perdus pour les rassembler autour d'un objectif commun et centré sur l'intérêt général. Immigrés, homosexuels, jeunes, adultes, personnes âgées, travailleurs, cadres, dirigeants, ancien communistes repentis, nationalistes, simples patriotes, républicains, conservateurs etc. Autant de membres qui font du MNF un parti hétéroclite, ce qui symbolise sa grande représentativité sur le plan populaire et national. Notre avenir promet d'être fort et radieux, car la prise de conscience générale est en bonne voie. Ce ne sera pas pour cette élection, certes. Mais si nous travaillons tous ensemble d'arrache-pied, nous finirons par leur imposer notre modèle de société ainsi que notre principe de souveraineté et de représentativité. Les heures de l'ordre oligarchique mondial sont comptées sur notre territoire. Nous réussirons à leur imposer un ordre populaire national, j'en suis certain !
~ Publié le 21-01-14 à 20:50 - Commenter - Partager ~
Philippe de Kervern

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Message par Philippe de Kervern »

Lancement d'une pétition pour l'expulsion de Monsieur Alexis VERTIN du gouvernement
A l'initiative de certains anciens militants du MNF, une pétition a effectivement été lancée pour demander la révocation de Monsieur VERTIN de son poste de ministre de l'environnement.

Pour rappeler brièvement le motif de cette demande populaire, Monsieur Alexis VERTIN s'était tristement illustré, le soir de l'énorme mobilisation anti-réforme des jours fériés et contre la politique permissive du gouvernement envers la paraphilie pédophile, par une immonde remarque ironique sur son compte Twitter, sous-entendant que l'ensemble des curés seraient touchés par ce trouble psychologique. Ceci a été vécu par les millions de Frôceux catholiques comme une injure suprême et gratuite envers leur propre personne, la religion constituant une partie d'eux-même. Mais ce n'est pas tout. L'ensemble des participants de la manifestation de Dimanche, même non catholiques, ont été outrés par cette mesquinerie d'une bassesse remarquable, voulant à la fois nier l'ampleur de la mobilisation du jour, et insultant donc le patrimoine religieux majoritaire de notre pays.

Le désaveu envers ce ministre et plus généralement envers le gouvernement est de plus en plus marqué. Après moins d'un mois de gouvernance, le FDF prouve clairement qu'il n'est pas à la hauteur des ambitions du peuple. Le fait que des ministres se permettent régulièrement de tels outrages en est la preuve la plus irréfutable.

J'aimerais donc rappeler à ce cher Monsieur VERTIN, membre du CAR qui pourtant se proclame grand défenseur de la République et des fondamentaux acquis par la Révolution de Décembre, que la liberté de culte et de religion est l'un des grands principes des Droits de l'Homme. Dans une République démocratique telle que la notre, chaque citoyen est donc libre d'exercer sa religion sans être inquiété, tant qu'il ne porte pas atteinte à l'ordre public. L'argument de la laïcité n'est pas acceptable et ne vous autorise en rien à insulter une religion de manière délibérée, surtout en faisant le rapprochement avec un fait aussi grave. En injuriant ainsi de manière particulièrement abjecte l'église catholique, le Ministre de l'environnement a donc porté atteinte à la liberté de religion des millions de Frôceux catholiques en la stigmatisant et la tournant en dérision, se servant au passage de sa notoriété (due à son titre de ministre et non pas à la pertinence de son idéologie, bien entendu) pour s'assurer de la large diffusion de ses propos insultants.

Un ministre se doit d'être irréprochable et doit avant tout traiter publiquement des sujets qui concernent directement son poste. VERTIN a dérogé à cette règle, le peuple demande donc sa révocation. Oust !
~ Publié le 11-02-14 à 23:29 - Commenter - Partager ~
Philippe de Kervern

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Message par Philippe de Kervern »

Un président désœuvré face à la ripoublique qu'il a engendrée
J'ai bien regardé, non sans amusement mais aussi avec beaucoup d'inquiétude, l'allocution télévisée du président benjamin McGregor avant le journal de 20 Heures. Qu'en retenir donc ? Au niveau du contenu, absolument rien, mais en ce qui concerne le contexte, de nombreuses choses ressortent.

Nous avons eu droit à un président beaucoup moins vindicatif qu'habituellement, tentant bien mal de masquer une gêne certaine par un faux air détendu et souriant. Il faut dire que ce dernier est un peu, moins d'un mois après son élection, face à un mur infranchissable qui s'est rapidement bâti du fait de son incapacité à fédérer et encadrer ses ministres. Le gouvernement fait l'objet d'un désaveu total de la part du peuple frôceux, et se cristallise de jour en jour, affaiblissant d'autant plus la position de l'exécutif.

Effectivement, le président McGregor voulait, et de façon réellement sincère selon moi, mettre en place une politique de rassemblement et de réconciliation de l'ensemble des forces républicaines nationales. Cette visée a été anéantie dès lors que le gouvernement François fut formé. La nomination de ministres d'extrême-gauche très controversés, à savoir Urumi Nakamura et Alexis Vertin, est l'essence-même de cet échec le plus total. En effet, ce sont ces derniers qui ont profité de leur fauteuil doré pour proposer et légitimer des lois aberrantes à l'origine de l'énorme manifestation de Dimanche dernier. Ce sont également eux, mais surtout Alexis Vertin, qui se sont distingués par des incartades répétées, gratuites et insultantes envers le peuple frôceux ainsi que sa culture.

Face à cela, le président de la République ne pouvait qu'apporter son soutien à ses deux ministres illégitimes et controversés, justement pour masquer la carence gouvernementale évidente dont le dessein se précise de jour en jour. D'un autre côté, son premier ministre enfonce le clou de l'incompétence et de la ripoulitique en organisant une table ronde avec l'entreprise mafieuse, dont je tairai le nom, qui a gravement mis en péril la sécurité de nos enfants en milieu scolaire. Ces petites manigances avec la pègre sont indignes de la part d'un gouvernement dont le principal leitmotiv annoncé fut de rassembler et de réconcilier l'ensemble des mouvances républicaines frôceuses.

Dans un sens, je comprends ce soutien - extrêmement timide bien-sûr - de Benjamin McGregor à l'ensemble des membres du gouvernement François II, y compris à ceux qui trainent dans de sombres affaires comme Alexis Vertin et maintenant le premier ministre lui-même. Laisser ses ministres se mettre en avant de bien mauvaise manière lui permet de fait de ne pas être le bouc-émissaire direct du peuple. Une position confortable qui ne saura être durable, car le peuple frôceux n'est pas dupe, et finira par comprendre que le principal instigateur et responsable de cette ripoublique incompétente et incohérente est le président de la République en personne. Un président est un exécutif. A l'instar d'un chef d'entreprise, il se doit de prendre les bonnes décisions, au bon moment, dans le bon sens.

Face à cette mascarade gouvernementale, j'appelle à la fédération d'un large consensus républicain d'opposition en vue des prochaines échéances électorales. Chaque élection a son importance, et se doit d'être gagnée afin de faire porter correctement la voix d'une opposition républicaine crédible et populaire. Chaque entité, allant du libertarianisme de Deschanel et Gilbert, au conservatisme républicain que je prône, en passant par le libéral-conservatisme de Salcedo doit pouvoir constituer cette première force populaire contestatrice.

Retenons quand-même un bon point de l'allocution présidentielle : l'hommage à Antoine Jacquet qui fut émouvant et totalement bien venu.
~ Publié le 14-02-14 à 15:05 - Commenter - Partager ~
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Thomas François
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Message par Thomas François »

Droit de réponse du Premier ministre :
D'un autre côté, son premier ministre enfonce le clou de l'incompétence et de la ripoulitique en organisant une table ronde avec l'entreprise mafieuse, dont je tairai le nom, qui a gravement mis en péril la sécurité de nos enfants en milieu scolaire.
La table ronde organisée, contrairement à ce qui est dit par Monsieur de Kervern et par la même Monsieur Salcedo, ne s'est pas faite avec l'entreprise German Fahrstuhl, et n'y a jamais été convié.
Thomas FRANCOIS
Ancien Maire de Tosla-Les-Bains, Ancien Premier Ministre

Médaillé culturel de la République
Philippe de Kervern

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Message par Philippe de Kervern »

Confessions et retour
Voilà bien longtemps que je n'avais honoré ce blog d'un nouveau billet. La dernière fois que ce fut le cas, notre pays traversait une grave crise économique, sociale et identitaire, rejaillissement direct de la révolution de 2013. Dire que c'était là le bon temps est un euphémisme mais pourtant... Si j'avais su, en cette époque, quel serait alors le futur de notre pays, je pense que j'aurais reconsidéré certaines de mes prises de position. J'ai moi aussi longtemps cru en la République, la belle, l'unique. La période de retraité de la vie politique que j'ai passée après mon retrait de cette dernière m'a pourtant permis de me rendre compte que je m'engageais dans la mauvaise pente. Comme la plupart d'entre vous, comme eux.

Je le confesse, j'ai passé une bien trop grande période de ma vie avec pour obnubilation ma carrière. Le carriérisme est bien le danger le plus menaçant qui puisse toucher un homme politique. Nous le constatons tous les jours, en observant le marasme ambiant qui secoue les bancs de notre Assemblée. Cette période de retraite, je l'ai occupée à réfléchir, à me plonger dans mes recherches, à écrire mon essai. Beaucoup de rencontres ont émaillé cette prolifique période, sûrement la plus accomplie de ma vie, parmi lesquelles celle d'Isabelle de Trastamara, sur son lieu de détention. Je garderai le souvenir d'une personne courageuse et pleine de bon sens. Je fus l'un des grands artisans de la Révolution de 2013 et désormais, je le regrette. Au fond, j'ai été aussi naïf que la grande majorité du peuple frôceux : la machine républicaine mondialisée a pu faire de moi un vulgaire pion de son jeu, sur le plateau révolutionnaire.

Il est dramatique pour moi de m'apercevoir à mon âge que j'ai cru toute ma vie en un idéal qui n'en est réellement pas un, mais bien le contraire. Aujourd'hui, je suis de retour et j'ai des choses à proposer, un modèle bien différent de celui qui accumule les échecs. Contre vents et marées, je m'engage à le promouvoir et à apporter une bonne dose de réflexion au débat public, pollué par les carriéristes de l'empire que sont les dirigeants qui se partagent le mille-feuille politique grassement offert par la République.
~ Publié le 09-12-2015 à 21:02 - Commenter - Partager ~
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