L'investigation du mois

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Antonio Alves
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St-Imberb : la fin logique d'une vie de débauche
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Marc de St-Imberb, le 15 Février 2014 au Palais d'Anthelme © Frôce People Archives
[justifier]Ça y est, le légendaire dinosaure de la politique frôceuse s'en est allé. "Une immense tristesse", prétendront publiquement ses amis, "c'est pas trop tôt" vous diront-ils dans le cadre privé. St-Imberb, l'expérimenté et éternel revenant est mort hier, Dimanche 29 Mars 2015. C'est toute une page qui se tourne avec la disparition de ce "cadavre sur pattes", comme s'aimait à le surnommer Urumi Nakamura, un temps camarade de combat politique à l'époque où la gauche était capable de s'unir lors des grands scrutins nationaux. Une disparition marquante pour la politique, certes... Mais surtout la disparition d'un homme qui menait une vie atypique et plutôt débraillée. Notre investigation porte sur cette dernière.

Vous ignorez sans doute une facette plutôt sombre de ce qu'à été la vie du vieux St-Imberb. Durant sa jeunesse et son apprentissage de la politique - car oui, St-Imberb a été jeune, comme tout le monde, mais malheureusement il ne reste que très peu de monde encore en vie pour en témoigner -, le jeune père de la sulfureuse Julie d'alors, s'était enlisé dans un alcoolisme notoire. St-Imberb collectionnait les grandes bouteilles de bourbon, et pouvait s'enfiler jusqu'à 2 litres de whisky par jour sans que cela se voie publiquement. Son rapport à l'alcool lui permettait d'oublier qu'il était malheureux dans sa vie : marié à une femme fort peu fidèle, et père d'une fille à laquelle il avait donné naissance par erreur, la politique n'était pas réellement une passion pour lui. Non, la politique était surtout une occasion de se remplir le compte pour pouvoir s'acheter toutes sortes de substances, l'occasion également d'approcher de jolies jeunes femmes qui auraient logiquement refusé ne serait-ce que de lui adresser la parole dans le cadre privé.

Cette attirance à la limite de la perversion obsessionnelle pour la femme se symbolise par le tableau de chasse de St-Imberb durant toute sa vie. Et paradoxalement, c'est dans la dernière période de celle-ci qu'il a le plus connu de relations sexuelles. Au rayon des femmes politiques, il aurait notamment été le sex friend d'Urumi Nakamura, avec laquelle il entretenait de sulfureux rapports chaque Samedi soir à l'hôtel Akkuas de Norijo entre Janvier et Mai 2014. Dans les derniers instants de sa vie, il vivait également une histoire charnelle avec Mackenzie Calloway, cette dernière l'ayant quasiment accompagné jusque dans son cercueil, puisque tous deux auraient fait l'amour deux heures avant la mort de St-Imberb. Calloway serait d'ailleurs en instance de séparation avec son mari Owen, la revancharde Julie ayant eu vent de l'histoire et l'ayant rapport de suite à Owen Calloway, avide de revanche envers son père qui l'a toujours rejetée. Plus surprenant encore : Marc de St-Imberb a tenté l'expérience homosexuelle auprès de François Bertrand, à l'époque où ce dernier officiait à Anthelme. Ils auraient ainsi eu un rapport complet dans le bureau présidentiel, selon la secrétaire de l'époque de Bertrand. Cette relation aurait été très éprouvante pour le vieux Marc, peinant à y trouver son compte. Une expérience qui aurait conforté le dinosaure dans son goût pour la femme, et seulement la femme... Et serait également à l'origine de la séparation de François Bertrand et Jessica Vespucci. Mais comment St-Imberb arrivait-il encore à être performant à un âge aussi avancé ? Selon son médecin personnel, le suivant depuis près de 40 ans, St-Imberb se voyait prescrire du viagra en permanence depuis une vingtaine d'années. Ceci explique donc cela...

Outre son goût prononcé pour les femmes et la bouteille, St-Imberb était particulièrement friand de drogues en tout genre. Pendant l'ensemble du déroulé de sa vie, il aurait en effet expérimenté tous les types de drogues. Mais sa préférence allait à la cocaïne, qu'il avait pris l'habitude de sniffer dans les toilettes en plein Conseil des Ministres quand il occupait encore une fonction gouvernementale. Cette addiction remonterait à loin : "Durant ma jeunesse, ça lui arrivait de sniffer des rails devant maman et moi en plein milieu des repas", confiait récemment Julie Lison à une amie. Mais ce n'est pas tout : St-Imberb était un consommateur régulier de tabac depuis l'âge de 10 ans, de cannabis et de morphine à la fin de sa vie. "Il se piquait trois fois par jour dans les dernières semaines de sa vie", nous confiait un proche. "C'était moi qui commandais la morphine sur un site Internet polonais, il en consommait une quantité hallucinante. Il était vraiment mal en point et savait que ses jours étaient comptés, donc il faisait ça pour s'évader et oublier tous les maux qui frappaient son corps déjà en décomposition", ajoutait-il.

Dans son testament, St-Imberb a bien pris soin de ne pas léguer quoi que ce soit à sa fille biologique, Julie Lison, qu'il considérait comme "une gamine capricieuse qui renie son père et passe son temps à coucher avec des pauvres types sur l'île de Norijo". Il n'avait guère plus d'admiration pour l'activité politique de cette dernière : "Julie, une bonne femme politique ? Vous voulez rire. Depuis quand une femme peut faire de la politique ? Une femme peut être bonne, mais certainement pas faire de la politique. Surtout Julie, cette faiblarde empreinte d'une idéologie sociale-démocrate totalement incohérente, à des années lumières de mon propre patrimoine politique. Julie est bonne, mais certainement pas une bonne politicienne.", disait St-Imberb à son autobiographe une semaine avant sa mort. Durant les derniers jours de sa vie, Marc aurait tenté de contacter Julie, en vain. Cette dernière ne lui a jamais pardonné sa radicalisation politique à la fin, car ladite radicalisation de son père aurait pu flinguer le peu d'espoir qu'elle avait déjà de mener une carrière politique brillante. Quelques secondes avant de mourir, St-Imberb aurait prononcé les mots suivants : "Julie... J'espère qu'elle ne vivra pas aussi longtemps que moi..."

Si la classe politique est unanime aujourd'hui pour rendre hommage à Marc de St-Imberb, il n'est pas possible pour elle de nier son côté malsain qui a pourtant prédominé dans sa vie. Le dinosaure s'en est allé, mais peu de chances que ce soit au septième ciel, étant donné qu'il fut un pêcheur absolu.[/justifier]
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