Terrain vague municipal - Quartier Technopôle

Population : 54.162 habitants (1er janvier 2014)
Ville IRL : Sienne (Italie)
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Philippe de Kervern

Terrain vague municipal - Quartier Technopôle

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Il existait encore, dans le quartier Technopôle, certains terrains municipaux encore vierges de tout projet. Celui-ci était le plus imposant, et la mairie prévoyait d'y créer une nouvelle pépinière d'entreprises. Il était occupé illégalement depuis près de dix ans par des immigrés en situation irrégulière, principalement issus de Bulgarie et de Roumanie. Philippe de Kervern avait décidé de mettre fin à cette occupation inacceptable d'un terrain appartenant à l'Hôtel de Ville. Il espérait ainsi réduire l'afflux en centre-ville de bandes de pickpockets clandestins qui sévissaient en permanence, et dont les commanditaires résidaient sur ce camp.

Il était 11H00 du matin quand les forces urbaines arrivèrent sur place. Pour l'occasion, 35 agents avaient été mobilisés par le maire. Une délégation d'une dizaine de membres de la Brigade Collaborative du Voisinage était également présente sur les lieux, afin d'assister à l'évacuation du camp. Une fois tous rassemblés, les policiers intervinrent sans sommation, afin de ne pas laisser le temps aux tziganes de s'organiser pour riposter. Ces derniers pénétrèrent en priorité dans les caravanes, et en extirpèrent impitoyablement leurs occupants, avant de leur demander de se rassembler au centre du camp. Ils s'attaquèrent ensuite aux tentes, démontant ces dernières avant même que ceux qui y dormaient en soient sortis. Toutes les personnes qui opposèrent résistance furent menottées et entreposées avec les autres au centre du camp.

Une fois que tous les clandestins furent sortis de leurs habitations, un tractopelle et un camion benne firent leur entrée sur le terrain. Le tractopelle détruisit les caravanes à coups de pelles puis en roulant dessus, sous les yeux médusés des tziganes et sous les cris des femmes et même les pleurs des enfants. Ensuite, toutes les tentes ainsi que le textile qui se trouvait dans les caravanes furent rassemblés devant les clandestins, avant que les policiers n'y mettent le feu avec des bidons d'essence et des allumettes.

Une fois les opérations terminées, l'ensemble des débris de tôle, de bois et des affaires personnes - et souvent volées - des tziganes furent chargés dans le camion benne qui quitta rapidement les lieux. Les clandestins, eux, furent tous embarqués au poste de police le plus proche.

Opération réussie !
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