Fabrice Ressol, président du Rassemblement National des Patriotes et maire de la ville proche de Saint-Frôçois se rendit ce jour à Nobles.
Il rencontra les habitants, les commerçants, se rendit sur les lieux des affrontements. Il déjeuna avec une centaine de sympathisants dans un restaurant de centre-ville face à l’éphémère Palais Princier.
Avant de partir, il se rendit sur la première barricade, celle où l'assaut fut lancé. Il prit la parole :
Mes chers Concitoyens,
Je m'incline ici à la mémoire des 23 innocents qui ont péri lors des terribles affrontements qu'a connu votre commune. Nobles-des-Prigors restera définitivement une souffrance pour tous les Frôceux. Souffrance pour les Patriotes car ici, un illuminé décida de tenter la division de notre pays ! Souffrance pour les vrais Frôceux car ici 23 des nôtres ont été assassinés ! Souffrance pour les vrais Frôceux enfin car ici, c'est entre Frôceux que nous nous sommes combattus. Jamais, je dis bien jamais, les armes frôceuses doivent se retourner contre leurs frères !
Tout aurait dû être fait pour éviter ce carnage, malheureusement, drogué par les westerns et les jeux vidéos, nos dirigeants ont sonné l'assaut, laissant aucune chance à la négociation.
Certains prendront mes paroles pour de la provocation. Mais je ne dis que la vérité, cela me fait mal, à moi Patriote, de le dire. Je préférerai ne pas pleurer la mort de 23 des nôtres !
Certains prendront ma venue pour de la provocation. Mais c'est en voisin que je viens ; mais aussi en tant que président du RNP. J'aurai préféré que le Président, le Premier Ministre ou le fameux ministre de la Défense viennent ici à ma place. Ils doivent être trop occupés à sabrer le champagne de ce qu'ils considèrent comme une victoire de leur autorité, alors que moi, ici, je pleure avec vous !
Puisse Dieu avoir pitié de nous ! Merci.
Il rencontra les habitants, les commerçants, se rendit sur les lieux des affrontements. Il déjeuna avec une centaine de sympathisants dans un restaurant de centre-ville face à l’éphémère Palais Princier.
Avant de partir, il se rendit sur la première barricade, celle où l'assaut fut lancé. Il prit la parole :
Mes chers Concitoyens,
Je m'incline ici à la mémoire des 23 innocents qui ont péri lors des terribles affrontements qu'a connu votre commune. Nobles-des-Prigors restera définitivement une souffrance pour tous les Frôceux. Souffrance pour les Patriotes car ici, un illuminé décida de tenter la division de notre pays ! Souffrance pour les vrais Frôceux car ici 23 des nôtres ont été assassinés ! Souffrance pour les vrais Frôceux enfin car ici, c'est entre Frôceux que nous nous sommes combattus. Jamais, je dis bien jamais, les armes frôceuses doivent se retourner contre leurs frères !
Tout aurait dû être fait pour éviter ce carnage, malheureusement, drogué par les westerns et les jeux vidéos, nos dirigeants ont sonné l'assaut, laissant aucune chance à la négociation.
Certains prendront mes paroles pour de la provocation. Mais je ne dis que la vérité, cela me fait mal, à moi Patriote, de le dire. Je préférerai ne pas pleurer la mort de 23 des nôtres !
Certains prendront ma venue pour de la provocation. Mais c'est en voisin que je viens ; mais aussi en tant que président du RNP. J'aurai préféré que le Président, le Premier Ministre ou le fameux ministre de la Défense viennent ici à ma place. Ils doivent être trop occupés à sabrer le champagne de ce qu'ils considèrent comme une victoire de leur autorité, alors que moi, ici, je pleure avec vous !
Puisse Dieu avoir pitié de nous ! Merci.