[Mairie] Office du Tourisme

Population : 1.650.120 habitants (1er janvier 2014)
Ville IRL : Barcelone (Espagne)
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Vincent Valbonesi

[Mairie] Office du Tourisme

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Office du Tourisme de Casarastra


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Armoiries de la ville de Casarastra
1. Urbanisme

Logement

La ville connaît une situation tendue sur le plan du logement. En 2010, elle comptait 217 955 logements, dont 76,2 % de résidences principales, 12,1 % de résidences secondaires et 11,7 % de logements vacants. 91,4 % des logements sont des appartements et 7,4 % des maisons. Les constructions neuves sont peu nombreuses. En effet, 7,9 % seulement des résidences principales sont des logements construits en 1990 ou après, 19,8 % sont des logements construits entre 1975 et 1989, 43,8 % des logements construits entre 1949 et 1974, et 28,5 % des logements construits avant 1949. L'essentiel du parc immobilier date donc d'avant 1975.

La plupart (35,2 %) de ces logements sont des trois pièces. La ville compte ensuite 26 % de deux pièces, 17,7 % de quatre pièces et plus, et 13,2 % de une pièce. Les logements sont donc, en général, plutôt de petites tailles.

L'offre locative est insuffisante. 48,6 % des habitants sont propriétaires, tandis que 47,5 % sont locataires. Parmi les locataires, 9,3 % habitent un logement social loué vide. 98,1 % des logements possèdent le chauffage et 96,1 % une salle de bain. Les ménages sont en outre 48,2 % à bénéficier d'un emplacement réservé au stationnement. Les logements sont chers. Les loyers atteignent en moyenne 13,57 pz par m² et par mois, contre 12,22 pz par m² en moyenne nationale. Le prix à l'achat se situe à 3 636 pz par m² contre 3 197 en moyenne nationale. La ville dispose de 9,4% de logements sociaux.

Arrondissements

Les arrondissements de la ville sont assez fortement différenciés. Globalement, la ville est assez clairement divisée en deux : le secteur nord, plus ancien, est caractérisé par un urbanisme proche de celui des grandes cités espagnoles. Le sud plus récent et plus « français », présente un style beaucoup plus haussmannien.
  • Ier arrondissement (Quartier du Vieux-Port)
    IIème arrondissement (Quartier de l’Hôtel de Ville)
    IIIème arrondissement (Quartier de Mazarin)
    IVème arrondissement (Quartier de Bellegarde)
    Vème arrondissement (Quartier de Saint Sauveur)
    VIème arrondissement (Quartier de Villeneuve)
    VIIème arrondissement (Quartier de Gambetta)
    VIIIème arrondissement (Quartier de Vaugirard)
    IXème arrondissement (Quartier de Saint-Louis)
    Xème arrondissement (Quartier de Malpassé)
    XIème arrondissement (Quartier de Longchamp)
    XIIème arrondissement (Quartier de Saint-Victor)

Architecture

L'architecture de la ville souligne l'évolution particulière de son histoire. La vieille ville est caractéristique de l'urbanisme d'une ville fortifiée à l'époque moderne. Les rues sont très étroites et tortueuses, les immeubles sont recouverts d'enduits de couleurs chaudes (ocre ou rouge). Les nombreuses églises sont de style baroque. Les quartiers construits à la fin de l'époque moderne et au début du XIX siècle reflètent l'influence de l'urbanisme d'alors : les rues sont plus larges et rectilignes, les immeubles sont colorés.

Les quartiers construits vers la fin du XVIII siècle sont quant à eux d'un style beaucoup plus austère et haussmannien : les rues sont larges et rectilignes, mais la pierre apparente remplace les façades colorées. Ces quartiers sont d'un aspect beaucoup plus « français » que les autres, qui demeurent esthétiquement très « baroque ». La ville compte par ailleurs de nombreux immeubles construits à la Belle Époque et dans les années 1930. Enfin, une particularité de la ville est le grand nombre de bâtiments et d'immeubles qualifiés de « palais » : ils sont de toutes époques et de qualité toute aussi variée.

2. Politique et administration

Organisation administrative

La ville de Casarastra est la capitale administrative de la région de Septimanie et de la province de Catalogne. Elle est divisée en douze arrondissements.

Intercommunalité

Un projet d’intercommunalité est en cours d’étude avec les maires des communes voisines. En effet, à l’initiative du maire Vincent Valbonesi, des concertations autour de la création d’une Communauté d’Agglomération Casarastra-Catalogne, fixée essentiellement autour de la ville de Casarastra (1,6 million d'habitants) a vu le jour. Si le projet venait à se concrétiser, celui-ci permettrait le rassemblement de près de 2 millions d'habitants. On ignore encore pour l’instant si les communes voisines souhaiteraient rejoindre le projet. Incontestablement, une telle union politique des principales villes de la province de Catalogne permettrait ainsi une prise d’influence supérieure dans les décisions de l’Etat central sur la politique territoriale de celui-ci qui a bien souvent ignoré et méprisé cette partie du territoire.

Liste des maires

La ville de est historiquement une ville dont la tendance politique est plutôt du côté des conservateurs. En effet, la droite a été au pouvoir dans la ville pendant près de 44 ans sur les 68 dernières années. La ville est ainsi une des rares villes dont le vote électoral est aussi marqué, la plupart des autres villes ayant connues des périodes d’alternances fréquentes ainsi que des coalitions politiques au pouvoir. L’électeur ici ne connaît que deux options (à l'exception des mandats de Henri Pinta et Paul Signac) : la droite ou la gauche, et lorsque son vote est fait, généralement, le vainqueur l’emporte largement sur le vaincu. L'hégémonie du maire actuel, Vincent Valbonesi, sur la ville de Casarastra est totale et ne semble pas être remise en cause depuis sa première élection à la tête de la première ville du pays, en 1996. Il fut d'ailleurs le plus jeune maire élu de toute l'histoire récente de la République.
  • Henri Pinta (extrême-gauche, 1945 - 1948)
    Louis-Philippe Marti (droite, 1948 - 1951)
    Paul Signac (extrême-droite, 1954 - 1960)
    Charles Sanchez (droite, 1960 - 1975)
    Gustave Guétant (gauche, 1975 - 1981)
    Pierre Granier (gauche, 1981 - 1987)
    François Garibaldi (droite, 1987 - 1996)
    Vincent Valbonesi (droite, depuis 1996)
Budget et fiscalité

La ville connaît une maitrise des comptes excellents. En effet, la ville a connu une période d’endettement à partir du milieu des années 70 jusqu’au début des années 1990. Les plus pointilleux diront qu’il s’agit là d’une preuve de l’irresponsabilité des socialistes quand ils sont au pouvoir. Mais effectivement, on ne peut nier un taux d’endettement de près de 19% par rapport au budget de la ville pendant un peu moins d’une vingtaine d’années. On notera les efforts mis en place par le socialiste Pierre Granier lorsqu’il fut au pouvoir pendant six ans pour tenter d’enrayer cette spirale négative. Il permettra à la ville de connaître une relative stagnation dans l’évolution de son endettement. Après ses efforts, viendra le temps des résultats avec le mandat du maire conservateur François Garibaldi qui mettra lui aussi en place plusieurs plans d’austérité pour le bienêtre économique de la ville. La popularité de celui-ci ne chutera pas malgré les coupes drastiques qu’il effectuera dans les dépenses publiques au cours des neuf années de mandature à la tête de la ville. L’endettement de la ville disparaitra vers la fin de son mandat. Ce qui facilitera l’accession à la mairie du conservateur et très médiatique Vincent Valbonesi en 1996 qui apportera avec lui des réseaux, des ambitions et des projets d’envergures pour la capitale régionale. Le budget primitif de la ville s’élèvera à 4,5 milliards de plz dont près de la moitié provient de la fiscalité locale. Les taux de prélèvements sont parmi les plus bas du pays.

Jumelage

Depuis très longtemps, la ville a mené une politique de jumelage particulièrement active en raison de l’importance du tourisme pour son économie. Il s’agit là d’une question sur laquelle l’ensemble des maires, de gauche comme de droite ont eu une décision unanime et identique. La ville dispose donc de multiples accords internationaux sur la plupart des continents.
  • Genève (Suisse) depuis 1947
    Saint-Pétersbourg (Russie) depuis 1949
    Milan (Italie) depuis 1949
    Edimbourg (Ecosse) depuis 1949
    Gdansk (Pologne) depuis 1954
    Hangzhou (Chine) depuis 1954
    Montréal (Canada) depuis 1954
    Nuremberg (Allemagne) depuis 1959
    Thessalonique (Grèce) depuis 1960
    Yalta (Ukraine) depuis 1961
    Szeged (Hongrie) depuis 1966
    Rabat (Maroc) depuis 1968
    Erevan (Arménie) depuis 1975
    Rome (Italie) depuis 1979
    Houston (Etats-Unis) depuis 1985
    Libreville (Gabon) depuis 1988
    Manille (Philippines) depuis 1988
    Sao Paulo (Brésil) depuis 1999
    Bamako (Mali) depuis 1999
    Porto (Portugal) depuis 2001
    Beyrouth (Liban) depuis 2006

Actuellement, plusieurs projets de jumelages sont en études, le maire Vincent Valbonesi souhaiterait un rapprochement avec les nouvelles démocraties du « Printemps Arabe » comme la Tunisie, la Libye ou encore l’Egypte. Un projet de partenariat est fortement avancée, il s’agit de celui avec la ville de Dubaï qui s’intéresserait grandement à la richesse culturelle de la ville et désirerait y investir, ce qui ne pourrait effectivement que rendre encore plus attractive la ville dans le Moyen-Orient. Enfin, plusieurs villes d’Amérique du Sud seraient candidates pour signer des partenariats avec la ville. Cependant, le précédent maire, François Garibaldi avait parfaitement résumé la situation en expliquant que « notre ville ne devait pas être dans un rapport conflictuel avec une quelconque autre ville de la planète et qu’un partenariat politique n’était pas une idée, fusse-t-elle d’un esprit éminemment reconnu, la meilleure qui soit. L’objectif culturel et le rapprochement des peuples doivent être les principaux moteurs de la politique internationale d’une ville comme la nôtre ».

3. Population et société

Démographie et immigration

Selon les estimations de l'Inseef, la population de la ville était de 1 620 943 habitants en 2013 : la ville est ainsi la première ville de Frôce, devant Anglès et Aspen. La superficie de la ville est de 100,4 km². La densité est de 16 145 habitants au km². Le taux de variation de la population est positif : entre 1999 et 2007, la variation due au solde naturel et celle due au solde migratoire sont toutes deux de + 1,1 %.

La ville a connu une forte hausse démographique dans la deuxième moitié du XIX siècle, période où la population a fait plus que doubler, principalement grâce à l'immigration espagnole. Au début du XX siècle, cette hausse s'intensifia avec l'arrivée de populations venues des communes de l'arrière-pays. Après la Première Guerre mondiale, la ville retrouva un fort accroissement démographique. C'est à nouveau l'immigration qui constituait l'essentiel de cette croissance. L'activité hôtelière et celle des constructions, en plein essor dans les années 1920, attiraient de plus en plus de monde et ont permis ainsi à la ville de devenir une ville d'importance nationale. En 1921, la ville devint alors la quatrième ville de Frôce, puis en 1931, la troisième, avant de se classer au deuxième rang après 1946.

Au cours des années 1940, commença l'immigration depuis l'Espagne (20 000 à 30 000 personnes) et le Portugal (aujourd'hui, environ 30 000 personnes). Avec la Guerre d'Algérie française et les guerres d'indépendance, ce sont les populations maghrébines d'Algérie, de Tunisie et du Maroc qui s'installent dans l'agglomération. Aujourd'hui, l'ensemble de la communauté juive comprend entre 5 000 et 10 000 personnes. Depuis les années 1970, les immigrants sont surtout originaires de l'Afrique subsaharienne (environ 20 000 personnes), de Turquie (environ 10 000 personnes), d'Asie (Chine principalement mais aussi du Laos, du Cambodge, du Vietnam) et d'Europe de l'Est. Enfin, une forte communauté sud-américaine est présente depuis les années 1980. Les différentes autorités religieuses notamment catholiques, juives et musulmanes, soulignent régulièrement la qualité du dialogue interreligieux existant dans la ville.

Enseignement

Les établissements d’enseignement de la ville relèvent de l’académie de Casarastra, qui regroupe les établissements présents dans la province de Catalogne. Le rectorat de Casarastra est le plus grand du pays.

La ville possède 162 écoles élémentaires publiques, accueillant 28 000 élèves, dont 71 écoles maternelles, 87 écoles élémentaires et 2 écoles spécialisées. La ville compte également 15 établissements élémentaires d'enseignement privé sous contrat d'association, 29 collèges (19 publics et 10 privés), 12 lycées d'enseignement général ou technologique (6 publics et 6 privés) et 10 lycées professionnels (7 publics et 3 privés).

L'Université Pierre d’Aragon existe depuis 1905. Elle compte près de 36 000 étudiants, ce qui en fait l’un des premiers pôles universitaires de Frôce. Elle est découpée en trois facultés. La faculté de Droit et de Science politique est la plus connues des trois facultés, elle bénéficie d’une reconnaissance internationale par l’enseignement et les moyens qui sont mis à sa disposition. Elle est la référence dans le pays, devançant les autres facultés du pays dans la matière. L'université Pierre d'Aragon accueille 3 UFR : UFR de Lettres, Langues et Sciences humaines, UFR de Médecine, d’Odontologie et Pharmacie et UFR de Droit et Science politique.

La ville possède aussi plusieurs classes préparatoires dans deux lycées de la ville, ainsi qu'une école d'orthophonie. La ville accueille différentes écoles supérieures de commerce. À proximité du centre-ville, est installée deux grandes écoles de commerce qui sont des antennes européennes pour les prestigieuses universités américaines. La ville héberge également un grand nombre de grandes écoles et établissement spécialisées : l’Ecole centrale, l’Institut d’études politiques, l’Ecole normale supérieure, Ecole nationale supérieure de la police, le Conservatoire national supérieur musique et danse, l'Ecole nationale des beaux-arts, l’Institut régional d’administration etc. Cette forte présence du cycle supérieur permet à la ville de connaître une forte attractivité internationale pour les étudiants étrangers qui, en plus de profiter d’un cadre de vie optimal peuvent bénéficier d’une formation supérieure parmi les meilleures du pays et d’Europe.

Santé

Les établissements publics relèvent de l'AP-HC, Assistance publique - Hôpitaux de Casarastra, qui est un établissement public de santé. La Direction Générale AP-HC a pour missions, la stratégie, le pilotage et le contrôle, l'expertise et l'appui, ainsi que le développement des ressources humaines de l'AP-HC. Il conserve les missions de gestion nécessitant un suivi centralisé du fait de leur nature ou de leur caractère réglementaire (par exemple les commissions administratives paritaires). Le pilotage de l’institution est assuré, sous l’autorité du directeur général, par un comité de direction resserré. Le maire de la ville est membre de droit du Comité de direction.

Les missions de ce CHU sont le soin, la formation, la recherche ainsi que la prévention et l’éducation à la santé. Les différents hôpitaux offrent toute la gamme des spécialités, du soin de proximité aux traitements de pointe de pathologies complexes et rares, pour adultes et enfants. En quelques chiffres, l’AP-HC c’est : 3 500 lits, 82 salles d’opération, 2 unités Gamma kniffe, 2 PET scans, près de 50 000 interventions chirurgicales, près de 700 000 consultations et près de 110 000 personnes reçues aux urgences. Elle exerce le rôle de Centre hospitalier régional pour la ville et la région de l’Archipel Cofonoria et emploie 6 200 personnes dont 900 médecins.
Ces établissements publics sont au nombre de quatre et forme le Centre Hospitalier Universitaire de Casarastra :
- l’Hôpital Soranos (1 000 lits)
- l’Hôpital Galien (900 lits)
- l’Hôpital Sainte-Sophie (1 000 lits)
- l'Hôpital Villaseca (600 lits)

On peut également citer parmi les institutions hospitalières privées :
- l'Institut Hippocrate (Centre régional de lutte contre le cancer de 300 lits)
- l'Hôpital Alexander Fleming (hôpital frôco-anglais de 250 lits)
- l'Hôpital Rudolf Müller (hôpital frôco-suisse de 200 lits)
- l'Hôpital Saint Martin (clinique de 100 lits)

La ville possède le 1er CHU de Frôce devant celui d’Aspen, et le siège de la Sécurité sociale de la région de Septimanie. La ville est bien pourvue au niveau médical, tant au niveau des places en milieu hospitalier que de la démographie médicale. La ville possède une concentration supérieure à la moyenne nationale de médecins avec 11 généralistes et 18 spécialistes pour 10 000 habitants. Ces moyennes recouvrent néanmoins des disparités très importantes suivant les quartiers de la ville ainsi que les petites communes à proximité.

Sports

La ville compte 102 courts de tennis, 20 gymnases municipaux, 11 piscines, 31 stades municipaux, 30 clubs de tennis, 2 terrains de golf, 3 bases nautiques, 8 dojos, 3 rampes de skate board, 3 stands de tir, 1 hippodrome, 5 centres équestres, 2 murs d'escalade et un fronton de pelote basque. Casarastra, qui compte cinquante sites de plongée, est un haut-lieu de la plongée sous-marine en Méditerranée.

Les principaux clubs de sport de Casarastra sont le Casarastra Football Culb (football) et le Casarastra Rugby Olympique Club (rugby).

La Casa Arena est un stade édifié en 1912 dans le nord de la ville, pouvant accueillir 98 000 spectateurs. Son club résident actuel est le Casarastra Football Club. Le Palais des sports de Casarastra, inauguré en 1989, est une salle omnisports située à proximité de la Casa Arena ayant une capacité de 14 500 places, où chaque année se disputent le Trophée Cofonoria en gymnastique ou encore une épreuve de la Coupe du monde de fleuret dames.

De plus, le Semi-marathon de Casarastra, le World Series Casarastra-Cofonoria de Beach-volley organisé sur la Plage des Catalans, le Triathlon international de Casarastra sont organisés annuellement dans la cité. Casarastra a également accueillie le Tour de Frôce dans son ancienne version et plus récemment la ville accueille chaque année le Tour de Frôce à la voile. La ville est, depuis juillet 2010 une des premières villes hors du Brésil à avoir accueilli la Coupe du monde de Beach Soccer, après Marseille, sur la très célèbre Plage des Catalans. La ville possède également un complexe de tennis comprenant 25 courts en terre-battue, le court central dispose d’une capacité d’accueil de près de 15 000 places. Chaque année s’y dispute le plus grand tournoi de tennis du pays, le Classic de Casarastra, qui est inscrit au programme de l’ATP Tour. Le propriétaire du site est le Tennis Club de Casarastra (TCC).

Les sports extrêmes se développent rapidement avec l'accueil de compétitions de très haut niveau comme la Casa Freestyle Cup qui a lieu près du Palais des sports et profite d'un des plus beaux spots de skate en Europe, le bowl de Casarastra. Deux Skate Park sont aussi inaugurés en 2004 dont le Casarastra Indoor Skate Park, qui est le plus grand Skate Park couvert d'Europe avec 3 600 mètres carrés.

Médias

La ville abrite plusieurs chaînes de télévision locales. Frôce TV 3 Septimanie a son siège dans la ville. Elle propose chaque jour l'actualité régionale ainsi qu'une émission à thème tourné en langue catalane, « Català ». Casarastra TV (CTV) est la télévision locale de la ville dont les locaux se trouvent près du Vieux-Port.

Frôce Bleu Septimanie, la radio régionale de Radio Frôce, est la 2e radio en nombre d'auditeurs et la 2e en part d'audience, avec 79 100 auditeurs dans la ville (19,9 % d'audience cumulée et 20,2 % de part d'audience).

Le principal quotidien régional diffusé dans la ville et ses alentours est « L’Indépendant ». En 2007, il est revendu par ce dernier à un grand groupe des médias français. Le tirage du plus grand quotidien de la région est en moyenne de 350 000 exemplaires chaque jour. Depuis 2006, le quotidien gratuit Casarastra Plus est diffusé sur la ville. En outre, chaque jour en semaine, les journaux du matin français 20 minutes et Metro proposent une édition locale diffusée gratuitement.

La rédaction frôceuse du magazine de musique Rolling Stone se situe à Casarastra. Plusieurs grands journaux étrangers ont leur siège frôceux dans la ville, c’est le fruit d’un projet initié par le maire Charles Sanchez au début des années soixante qui voulait faire de la ville le temple du journalisme, ce faisant, il lui fallait une reconnaissance internationale. C’est ainsi que des grands quotidiens comme The New York Times (USA), The Independant (Angleterre), Le Monde (France), Der Süddeutsche Zeitung (Allemagne), Asahi Shimbun (Japon), El Païs (Espagne), Corriere Delle Sierra (Italie), La Gazeta (Russie) ou encore Al-Watan (Qatar) ont ouvert un bureau à Casarastra.

Cultes

Dès 1990, fut créée Casarastra-Espérance. Cette structure associative regroupait des représentants des différentes communautés religieuses qui engageaient un dialogue non pas d’ordre théologique mais plutôt d’ordre social et culturel sur la gestion de la ville. Malgré le contexte peu favorable (crise des banlieues, problème du foulard, attentats terroristes, fort score électoral des partis indépendantistes, forte présence des partisans de la dictature) Casarastra-Espérance allait devenir une instance de régulation, toujours sollicitée à l’occasion d’événements locaux, nationaux ou internationaux risquant de provoquer des tensions communautaires. La ville compte une dizaine de cimetières, la quasi-totalité située en bordure de la ville.

La ville accueille les principales religions actuellement majoritaire, à savoir : les catholiques avec près de soixante paroisses, les protestants avec deux paroisses de l’Eglise réformée de Frôce et une église anglicane, les orthodoxes avec près de quatre églises, les juifs avec une vingtaine de synagogues et les musulmans avec une vingtaine de mosquées ou salles de prière. Deux projets sont actuellement au cœur des débats religieux dans la ville : la construction de la Grande Synagogue de Casarastra et la construction de la Grande Mosquée de Casarastra. Ces deux projets soulèvent beaucoup de problématiques, tant sociales qu’administratives. Une décision devrait être rendue dans les mois à avenir concernant ces deux projets. Quoi qu’il en soit, Casarastra est une ville cosmopolitique, que ce soit dans les origines de sa population ou dans les croyances religieuses. Le dialogue est la clé de voute de l’édifice commune construit par les habitants depuis des décennies.

4. Economie

Le Grand Port Maritime de Casarastra

La circonscription du Grand Port Maritime de Casarastra s'étend sur 30 km de côtes. Il traite annuellement 10 millions de tonnes de marchandises (dont 40 % d'hydrocarbures), ce qui en fait l’un des principaux ports frôceux et 1 million de passagers (2009), essentiellement vers l’Espagne, l'Afrique du Nord, ainsi que les croisières en Méditerranée (200 000 croisiéristes en 2010). Des compagnies de croisières maritimes ont fait du Grand Port Maritime de Casarastra leur tête de ligne comme la Royal Caribbean Cruise Line, plus puissante compagnie de croisière au monde.

Industrie

La ville est aussi une ville industrielle. L’industrie emploie 28 000 salariés, le constructeur automobile américain Ford Cofonoria Industrie étant le premier employeur industriel de la région. La ville abrite aussi une usine de fabrication de pneumatiques du groupe français Michelin. Bien que l'industrie locale ait souffert ces dernières décennies, la ville a su se repositionner dans les technologies de pointe et les nouvelles technologies, notamment l'aéronautique. L'agglomération de Casarastra est en effet un pôle majeur dans les secteurs aéronautique, spatial et de défense, second pôle national après Aspen, avec 20 000 emplois directs et 8 000 emplois en sous-traitance. Sont notamment implantées dans la ville et ses environs les entreprises françaises Dassault, Safran, EADS et Thales. Sont aussi présentes la pétrochimie et l'industrie pharmaceutique (Sanofi-Aventis), ainsi que l'industrie agroalimentaire (30 000) (LU), et en particulier les vins et spiritueux (les groupes français Marie Brizard, Ricard), mais aussi, bien sûr, les vins de Casarastra, secteur dans lequel certaines entreprises peuvent être considérées comme de véritables industries. L'activité industrielle se manifesta aussi par des chantiers de constructions navales (Construction Navale de Casarastra), des raffineries, des usines de produits chimiques et des ateliers métallurgiques.

Services

Le secteur tertiaire reste dominant dans la capitale cofonorianne notamment grâce à la forte attractivité commerciale et à une concentration des services liés aux entreprises. Il représente environ 80 % du total de la population active, dont 52 % pour les services marchands et non marchands, 15 % pour le commerce, 9 % pour le transport, 4 % pour l'activité financière (180 établissements bancaires). La ville est ainsi la deuxième place bancaire frôceuse. De plus, le tourisme est en plein essor, la ville disposant d'un riche patrimoine historique et servant de relais vers les côtes de l’ile principale dont elle est la locomotive et l'arrière-pays qui bénéficie considérablement des progrès du tourisme rural. La ville est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de l’Archipel Cofonoria. Elle gère notamment l'aéroport international de Casarastra, dont le projet de rénovation ambitieux, porté par le maire de la ville, M. Vincent Valbonesi, a été adopté par le Parlement.

Quartier d’affaires
  • De nombreuses entreprises de renom sont basées à Casarastra ou dans son agglomération
    Capgemini (leader mondial dans le service information et le management)
    Ford (constructeur automobile)
    IBM (matériel informatique, conception de logiciel et services informatiques)
    Michelin (leader mondial des pneumatiques)
    Orange (opérateur de télécommunications international)
    Sanofi Aventis (industrie pharmaceutique et biotechnologie)
    Thales (aérospatial, défense et technologies de l’information)
    Dassault (constructeur aéronautique)
    EADS (industriel du secteur de l’aéronautique civil et militaire)
    Nestlé (premier groupe mondial d’agroalimentaire)
    Pernod-Ricard (deuxième groupe mondial des spiritueux)
    Sodexo (leader mondial des services de restauration)
    Santander (première banque européenne par la capitalisation)

Tourisme

Avec 7 millions de touristes en 2013, la ville est la première destination touristique de Frôce. La ville dispose de son propre organisme touristique appelé « Casarastra Tourisme », proposant des visites organisées par des guides conférenciers. Ces guides sont aptes à communiquer dans plusieurs langues. Depuis août 2009, il est désormais possible de prévoir sa visite guidée en totalité depuis internet (www.casarastratourisme.com).

Le tourisme, très intense en Frôce, profite beaucoup à Casarastra en particulier : il a généré plus de 900 millions de pluzins de retombées économiques en 2012 pour une durée de séjour moyenne de un à deux jours (au total, 4,5 millions de nuitées en 2013). Le chiffre d'affaires du tourisme provient à 60% du tourisme d'affaires et 40% du tourisme de loisirs. 54% des touristes sont étrangers. En janvier 2011, la ville décroche la première place du marché hôtelier frôceux en devançant la capitale Aspen en perte de vitesse depuis des années sur le secteur.

En ce qui concerne le tourisme d'affaires, 12 évènements internationaux ont été organisés en 2013. La ville occupe la 2e place au classement frôceux pour le nombre de manifestations internationales (derrière Aspen, devant Assolac et Anglès). Un touriste d'affaires dépense en moyenne 200 pluzins par jour. 150 rendez-vous artistiques auront lieu pendant l'été 2013.
  • Parmi les principaux évènements touristiques, on peut citer
    La Fête des Lumières (700 000 de visiteurs en 2013), fête annuelle proposant des animations lumineuses et pyrotechniques
    Les Nuits de la Major (60 000 spectateurs en 2013), festival annuel se déroulant entre juin et août
    La Biennale de la Danse (40 000 spectateurs en 2013)
    La Biennale d'art contemporain (65 790 spectateurs en 2013)
    Les Nuits Sonores (21 000 festivaliers en 2013), un festival de musique électronique se déroulant sur 4 jours en mai
    Les Quais du polar (17 000 visiteurs en 2013), festival du polar
    Le Festival de la BD de Casarastra (40 000 visiteurs en 2013)
    Le Casa Street Dance Festival, festival de hip-hop indépendant de graff et de danse urbaine (début avril)
    Le Festival Lumière, festival du patrimoine cinématographique, début octobre (30 000 spectateurs)
5. Transports

Desserte aérienne

L'aéroport international de Casarastra, se situe à 25 kilomètres du centre de la ville. C'est le premier aéroport du pays avec plus de 33 millions de passagers en 2013. Son trafic est principalement orienté vers la France, l’Espagne, l’Italie, l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et l’Europe centrale. La fréquentation actuelle de l’aéroport est de près de 5 millions de passagers par an. Cependant, un projet porté par le député-maire de Casarastra, Vincent Valbonesi, a été voté par le Parlement : rénovation du terminal 1 et de la piste 1, construction du terminal 2 et de la piste 2, construction de la piste 3, des aménagements extérieurs permettant le stationnement de près de 6 000 véhicules au même moment. Le coût du projet a été estimé à près de 80 millions de pluzins, celui-ci est soutenu par l’ensemble des communes de la province de Catalogne, par les petites et moyennes entreprises régionales ainsi que par les grands groupes internationaux disposant d’une base locale à Casarastra. En effet, la seule porte de sortie viable de l’ile, c’est l’avion. Une navette fait l’aller-retour toute la journée entre l’aéroport, le centre-ville et la gare de Casarastra.

Accès autoroutiers

A venir.

Autres accès routiers

A venir.

Desserte ferroviaire

La ville est desservie par la Renfe via deux gares importantes : Casarastra-Sants (principale, à l'ouest de la ville) et Casarastra-França (Grande gare terminus, au bord de la mer). Une nouvelle gare souterraine pour les trains à grande vitesse est en construction : Casarastra-Sagrera. L’investissement décidé par le maire Vincent Valbonesi est estimé à 2,4 milliards de plz. Cette gare accueillera des commerces et un commissariat de police spécialisé dans la délinquance dans les transports urbains dont la ville souffre depuis de nombreuses années. La ville est traversée d'est en ouest par deux tunnels de ligne de chemin de fer qui convergent vers la station Sants à l'Ouest. En 2012 un troisième tunnel réservé aux trains à grande vitesse et liant les stations Sants et Sagrera a ouvert ses portes dans le cadre du prolongement des lignes à grande vitesse vers la France.

Les transports en commun

Casarastra et son agglomération possèdent un important réseau de transport en commun. La Régie des Transports de Casarastra est en charge de la gestion du réseau. Cette entreprise appartient à un grand groupe français spécialisé dans les services aux collectivités, société du groupe Keolis qui gère le réseau par un contrat de délégation de service public.

Le réseau dense de bus de la Régie des Transports de Casarastra, riche de 108 lignes, sillonne la cité. À ces lignes s'ajoutent trois circuits touristiques. Trois autobus hybrides qui circulent à partir de mai 2013 sur la ligne H12 Gran Via.Ces nouveaux autobus peut accueillir 40 personnes assises et debout 124, et mesure plus de 24 mètres.

Les lignes de métro sont au nombre de onze à Casarastra (dont trois lignes automatiques). Les onze lignes sont régies par la Régie des Transports de Casarastra, entité rattachée à la Mairie de Casarastra. Il s'agit du mode de transport le plus utilisé par les Casarastries avec 406,8 millions d'entrées en 2013.

Le tramway, quasiment éradiqué en 1971, a été réintroduit par le maire Vincent Valbonesi avec l'inauguration en mai 2004 de quatre voies (décomposées en six lignes) d'une longueur totale de 45 kilomètres, le tout régi par la Régie des Transports de Casarastra. Leur fonction est d'assurer une desserte des quartiers périphériques tout en créant des connexions avec les lignes de métro. Il s'agit de deux réseaux indépendants : le Trambaix et le Trambesòs. La construction d'une voie d'interconnexion entre les deux réseaux est actuellement à l'étude.

Depuis 2007, Casarastra est doté d'un système de vélos en libre-service. Mise en place par la municipalité, le service Bicing propose environ 6 000 vélos répartis sur 401 stations situées dans la partie basse de la ville. Afin de « protéger » les nombreux professionnels de la location de vélos dans la ville, le service n'est toutefois pas accessible aux touristes, la procédure d'inscription se faisant uniquement sur internet et supposant une domiciliation en Frôce.

Liaisons maritimes

Les liaisons maritimes régulières sont au nombre de 220, la moitié étant vers la Méditerranée, l'Afrique et le Moyen-Orient. Elles relient le port de Casarastra à 400 ports de 120 pays différents. C'est l'un des principaux points d'accès aux autres provinces du pays. De très nombreuses navettes maritimes effectuent le trajet chaque jour pour relier les régions de Septimanie et de Lombardie. Mais ces navettes sont peu utilisées encore aujourd’hui du fait du prix élevé de la traversée ainsi que par l’essor de l’aéroport de Casarastra qui effectue lui aussi des lignes quotidiennes et régulières vers les autres aéroports du pays, le temps de trajet n’étant pas du tout de la même nature.

6. Culture locale et patrimoine

Musées

Depuis 1992 et une décision du maire de l’époque, le conservateur François Garibaldi, l’ensemble des musées publics de la ville sont sous la tutelle de l’Office Municipal des Musées de Casarastra (OMMC). Le président de cet office n’est autre que le maire de la ville et le conseil de l’office se compose de l’ensemble des administrateurs des musées, des conservateurs ainsi que du ministre de la Culture qui siège impérativement à chaque session de l’Office Municipal.
Celui-ci gère les cinq principaux musées publics de la ville :
- Musée des Beaux-Arts
- Musée d’Ethnographie
- Musée de l’Air et de l’Espace
- Musée des Arts décoratifs
- Musée de la Marine

On enregistre une fréquentation annuelle de l’ordre de 1,2 milion de visiteurs par an pour l’ensemble des musées de la ville en 2011, soit une évolution de + 4,5% par rapport à l’année 2012. Cette augmentation s’explique notamment par la mise en place par le député-maire Vincent Valbonesi d’une politique particulièrement attractive concernant l’offre culturelle avec les chèques municipaux « découvertes », les journées du patrimoine dans la ville où l’entrée est gratuite, les partenariats avec d’autres villes étrangères par le biais des jumelages qui permet d’attirer de nouveaux visiteurs. En ce qui concerne les projets de la municipalité, on notera la volonté du député-maire Vincent Valbonesi de signer un partenariat avec un grand musée français visant à établir une succursale d’un de ces musées à Casarastra afin d’en développer l’attrait touristique. Pour l’instant ce projet n’est qu’une proposition, une décision définitive sera prise sur la concrétisation ou non du projet dans les prochains mois.

Bibliothèques

Casarastra accueille un grand nombre de bibliothèques et médiathèques, notamment publiques.

La Bibliothèque Royale se trouve pour l'essentiel à Casarastra. Elle constitue l'une des plus importantes bibliothèques d’Europe avec une collection estimée à dix millions de volumes. L'autre grande bibliothèque publique est la Bibliothèque de Fonds Anciens.

La ville gère une dizaine de bibliothèques municipales de prêt généralistes et une dizaine de bibliothèques municipales thématiques où il est également possible d'emprunter certains documents. On peut citer parmi les plus connues la Bibliothèque Municipale de la Ville de Casarastra, créée en 1871, qui possède un million de livres et brochures, des photographies, cartes et plans liés à l'histoire de la ville. Contrairement à l'accès à la Bibliothèque nationale de Frôce à Aspen, l'accès aux bibliothèques municipales est entièrement gratuit même s'il peut être interdit aux mineurs dans les bibliothèques thématiques. L'emprunt des livres, revues, bandes dessinées ou partitions est gratuit, celui des disques et vidéos se fait moyennant un forfait annuel.

Il existe en outre des bibliothèques associatives ou privées. De nombreuses bibliothèques universitaires sont ouvertes au public, la plus prestigieuse d'entre elles étant la Bibliothèque Sainte-Sophie, à proximité de l’Université Pierre d’Aragon.

Opéras, théâtres et salles de spectacle

La ville de Casarastra présente une des scènes, tant pour le spectacle que pour la musique, la plus importante de province : elle est connue entre autres pour avoir le plus grand nombre de salles de spectacle en Frôce après Aspen. Historiquement le spectacle n'est pas forcément lié à une importante élite culturelle mais soutenu par un fort engouement populaire, c'est ainsi que le cabaret et le music-hall connaît un âge d'or marquant à Casarastra, les salles de spectacle se multipliant avant de disparaître rattrapées par le développement du cinéma. L'opéra s'impose alors comme le spectacle à Casarastra. S'il reste aujourd'hui un élément important dans le paysage culturel local, il fut au début du XX siècle le lieu incontournable de l'art vivant et rassemblait sous le même toit bourgeoisie et classe populaire.

Aujourd'hui le théâtre mais aussi la danse sont très bien représentés, tant au niveau de la diffusion avec de nombreux lieux mais aussi au niveau de la création, grâce à de nombreuses compagnies et de multiples résidences. Ce positionnement qui place Casarastra en avant dans le milieu des arts et spectacles vivants est principalement hérité d'une volonté d'équipement mise en place par la municipalité de Paul Signac dans les années 60 : création du Ballet national de Casarastra et du théâtre national Fémina qui avec plus de 1 125 places est la principale salle de spectacle de la ville dans laquelle il est possible de voir du théâtre, de l'opérette, de la comédie, de la danse et d'écouter de la musique classique ou de la variété.

L’Opéra municipal de Casarastra a été construit sur l'ancien Grand-Théâtre dont la première pierre avait été posée le 14 juillet 1786 ; l'inauguration eut lieu le 31 octobre 1787 en présence d’un riche et puissant aristocrate de la couronne royale frôceuse, dont la troupe personnelle de comédiens assura le spectacle. Casarastra fut ainsi la seconde ville de Frôce, après Aspen, à avoir son opéra. Il faut attendre le 31 juillet 1945 pour que l’Opéra de Casarastra passe en régie municipale (la ville assurant dès lors son exploitation en accord avec le conseil municipal). Dans l'esprit du concepteur du théâtre qui avait formulé le rêve d’un opéra pour le peuple, les différents directeurs qui vont se succéder vont maintenir les soirées populaires. Mais petit à petit à partir de 1949 se développe l’idée d’un caractère éducatif du théâtre lyrique. L'opéra municipal fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 13 février 1997. L’opéra dispose aujourd’hui de 700 places, il est l’un des plus beaux monuments à but artistiques du pays.

La ville dispose également d’une salle de spectacle, l’Arène qui peut accueillir jusqu’à 15 000 personnes. Celle-ci sert très souvent comme salle de concert lorsque de grands artistes viennent se produire dans la ville. Elle est également le lieu où se déroule l’ensemble des grands meetings lors des campagnes aussi bien locales que nationales. La ville bénéficie également d’une autre salle de spectacle, l’Espace Cofonoria qui est bien moins grande que l’Arène mais qui peut contenir près de 3 000 personnes dans le cadre d’un spectacle humoristique ou d’un concert plus intimiste. Elle est également souvent utilisée comme salle de conférence principale de la ville par manque d’infrastructures prévues à cet effet. La question d’un Palais des congrès n’est plus que jamais d’actualité dans la ville. Une autre salle, moins connue car souvent inaccessible au plus grand nombre, la salle de spectacle du Casino de Casarastra qui contient 700 places et qui reçoit, régulièrement des concerts de grands artistes et des spectacles humoristiques dans un cadre aussi prestigieux que le Casino de la ville. Enfin, pour les passionnés de musique classique, la ville dispose d’un auditorium flambant neuf : la salle Musicasa de l'Auditorium de Casarastra qui peut contenir jusqu’à 825 personnes. Conçu par l’architecte espagnol Santiago Calatrava Valls, il fut inauguré en grande pompe en 2011 en présence du ministre de la Culture, du maire de Casarastra et de plusieurs invités prestigieux.

Cinéma

Casarastra compte un grand nombre de salles obscures représentant 86 écrans dont 20 écrans indépendants et 9 classés art et d'essai. Elles se distinguent par la variété de l'offre, environ 150 à 200 films différents à l'affiche chaque semaine. Quelques grands groupes dominent de plus en plus et le cinéma indépendant est fragilisé. Depuis les années 1990, de grands multiplexes de dix ou vingt salles ont été créés dans la ville afin de satisfaire une nouvelle catégorie de clients. La plus grande salle de cinéma à Casarastra est aujourd'hui le « Mazarin » avec 1 000 places. Toutes les autres salles de la ville possèdent moins de 500 places.
- Multiplex Vieux-Port (14 écrans / 3 000 sièges)
- Multiplex Odéon (22 écrans / 5 275 sièges)
- Multiplex Centre-ville (16 écrans / 3 860 sièges)
- Cinéma Mazarin (1 écran / 1 000 places)

Cafés, restaurants et hôtels
  • Cafés célèbres
    Café La Table ronde
    Café des Bains
    Café Beaufort
    Café Saint-Louis
  • Restaurants célèbres
    La Pyramide
    Le Moulin Cofonoria
    La Côte Bleue
    Le Six
    L’Auberge des Baléares
    Le Mazarin
    Chez Paul Dufour
  • Hôtels célèbres
    Château de la Chèvre d’Or (4 étoiles)
    Grand Hôtel de Mazarin (4 étoiles)
    Grand Hôtel du Castel (4 étoiles)
    Grand Hôtel de Catalogne (4 étoiles)
    Grand Hôtel des Ambassadeurs (4 étoiles)
    Grand Hôtel de la Méditerranée (5 étoiles)
    Grand Hôtel Cheval Blanc (5 étoiles)
    Grand Hôtel de la Riviera (5 étoiles)
    Grand Hôtel du Cap (5 étoiles)
  • Personnalités liées à la ville
    Ignacio Ribas Marqués (chimiste)
    Vincent Valbonesi (homme politique)
    Isabella Nerio (femme politique)
    Valeria Casalesi (haut fonctionnaire)
    Henri Pinta (homme politique)
    Louis-Philippe Marti (homme politique)
    Paul Signac (homme politique)
    Charles Sanchez (homme politique)
    Gustave Guétant (homme politique)
    Pierre Granier (homme politique)
    François Garibaldi (homme politique)
    Isabel de Trastamara (Infante de Frôce)
    Marie Cossac (femme politique)
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