Campagne de Sébastien Markeson

Population : 70 000 habitants (au 1er janvier 2015)
Ville IRL : Gandie (Espagne)
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Sébastien Markeson
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Campagne de Sébastien Markeson

Message par Sébastien Markeson »

[centrer]Discours du 26.08.2015

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Très chers habitantes et habitants de San Juan,

Certains auront remarqué que l’élection communale de la ville de San Juan attire l’attention des plus puissants. C’est ainsi que nous pouvons compter parmi les candidats à la mairie, une ministre venue tout directement de la lointaine Aspen. C’est une bonne chose de savoir que les élections communales ont l’attention des plus puissants, car c’est uniquement par une participation forte au processus politique, que nous pouvons assurer que l’arbre de la liberté reste vigoureux et la démocratie forte. Saluons donc tous les nombreux candidats à la mairie de San Juan et leur engagement dans une bataille politique formant le cœur de notre démocratie.

Je ne suis pas un grand orateur.  Ceci est probablement dû au fait de ne jamais avoir été admis dans le cercle le plus intime du pouvoir. Aspen, je la connais mal, à part peut-être la gare centrale. N’en parlons donc mêmes pas des sphères gouvernementales. En conséquence, quand je viens face à vous, je le fais avant tout comme un simple citoyen, mortel bien éphémère face au pouvoir olympien du Palais d’Anthelme. Je n’ai pas de réseau politique, pas de fortune et encore moins le prestige d’une longue carrière politique. La seule chose que je peux apporter sur l’autel de cette belle commune, ce sont mes idées, ma détermination et une vision de l’avenir.

Je ne crois pas que San Juan soit une simple structure en briques. A mon avis, une ville est une chose vivante, une communauté de destin et le cœur de toute activité humaine. Une cité, c’est plus qu’un ensemble de maisons ; c’est  un vaste complexe de pensées, d’actions et d’espérances. Ici, à San Juan, ce sont 70'000 âmes qui vivent et interagissent au quotidien. Chacun de vous à une histoire, des ambitions, des peurs et des espoirs. Il y a parmi vous des mères qui craignent pour l’avenir de leurs enfants, des amoureux confiants dans le futur et des gens aux plus diverses et multiples facettes. Chacun est différent de l’autre, mais nous sommes tous unis par ce cordon ombilical qu’est la cité de San Juan.

Je ne veux pas retenir votre attention plus longtemps que nécessaire. Cependant, il me semble important de vous parler sur un sujet central, il l’est au moins à mes yeux. Ce sujet, c’est l’apprentissage. Ne vous méprenez pas, j’ai beaucoup de respect pour les académiciens. Ils font un excellent travail, mais je pense que nous parlons quelques fois trop d’eux et pas assez sur cette partie de la population, qui travaille dure dans nos entreprises sans être passée par les hautes écoles.  Je ne vous le cache pas, je crois dans l’apprentissage. Je suis convaincu qu’un jeune, qui suit un apprentissage, acquière des compétences, qui le serviront durant toute sa carrière. Les domaines sont innombrables, allant du maçon jusqu’au directeur de banque. Ils peuvent avoir des destins bien différents, mais tous passent par l’apprentissage pour acquérir les connaissances, qui leur serviront pendant toute leur vie active et au-delà.

C’est pour cette raison que le renforcement des structures d’apprentissage semble être essentiel. Nos entreprises ont besoin d’une manœuvre qualifiée afin de créer la richesse, qui servira ensuite au profit de toute la société. C’est également un outil majeur pour lutter contre le chômage, un fléau qui hante l’Europe depuis des années. Le chômage n’est pas seulement nuisible par sa propre nature, mais aussi car le travail est un élément libérateur dans nos société. Celui qui travaille, peut subvenir par ses propres moyens aux besoins de sa personne et des siens. Il est indépendant, car il ne doit pas quémander le soutien des autres et peut décider librement comment façonner sa vie. Ce n’est pas sans raisons que les premières féministes, des femmes de grande qualité, ont tous revendiquées le droit de travailler librement. C’est la voie pour devenir indépendant et cette indépendance est plus importante que jamais. Cependant, nous vivons dans une économie, qui exige toujours plus de connaissances et de qualifications. Les temps sont révolus où on pouvait arriver sur le marché du travail sans aucune formation et réussir. C’est pour cette raison que nous devons mettre les forces de notre société dans l’amélioration de l’apprentissage.

C’est un combat qui devra être conduit sur plusieurs niveaux. Cependant, ce n’est pas une raison pour ne pas engager les premières actions au niveau communal. C’est ici que nous pouvons mettre la base pour un accès plus simple à l’apprentissage et une qualité de formation toujours meilleure. Nous devons nous contenter avec rien d’autre que l’excellence, car dans notre siècle, il n’y a pas de place pour les systèmes médiocres.

Au plan national, l’Assemblée nationale a déjà engagée des premiers pas dans la bonne direction. La mise sur pied de centres de formation professionnelle est une excellente initiative, mais elle ne suffira pas, si les centres de formations sont uniquement créés et gérés par l’État. Pour cette raison, je pense qu’il est crucial d’en créer des centres à San Juan. Ils devront être gérés par les autorités communales pour permettre de répondre aux besoins des habitants de la ville, mais aussi de nos entreprises. En termes d’apprentissage, tous les acteurs de la société doivent travailler main en main pour réussir le pari. Ceci passe aussi par la mairie de San Juan.

Aussi, nous devons soutenir les entreprises, qui font le pari de l’apprentissage. Il faut renforcer la culture d’embauche d’apprentis afin de rendre cette voie disponible à ceux qui en ont les talents et la motivation nécessaire. Ceci prendra du temps, mais nous ne devons pas hésiter à prendre des initiatives courageuses, qui feront avancer cette noble cause. Plusieurs outils sont disponibles. Nous pouvons envisager de défiscaliser partiellement les salaires versés par les entreprises aux apprentis ou au contraire, offrir des subsides de soutien aux entreprises faisant un effort particulier dans l’engagement d’apprentis. Comme pour toute chose, toute forme de soutien et d’aide devra se faire en exigeant un travail impeccable du côté des entreprises. Les apprentis n’ont pas à servir de main-d’œuvre peu chère, mais doivent jouir d’une formation de qualité dans le cadre de l’entreprise. Nous avons une législation au niveau national ouvrant la voie à cette procédure. Il est temps de profiter de l’occasion pour établir des structures et des actions fortes au niveau communal.

Je vais terminer mon discours, sachant que j’ai exigé déjà assez de votre précieux temps. Si je devrais donner un conseil pour les élections à venir, je ne peux que vous inciter à voter en votre âme et conscience. La politique est une chose trop sérieuse pour être prise à la légère. Vous, les habitants de San Juan, êtes le souverain de cette terre. Vous en êtes les héritiers d’une longue tradition culturelle, historique et sociale, qui va au-delà de ces simples bâtiments en briques. En tant que peuple, vous avez le privilège, mais aussi le devoir de déterminer, qui conduira la politique de notre polis, cette cité aux 70'000 âmes et à la longue et riche histoire.

Vive San Juan, vive la démocratie !
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Sébastien Markeson
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Re: Campagne de Sébastien Markeson

Message par Sébastien Markeson »

[centrer]Discours du 28.08.2015

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Très chers habitantes et habitants de San Juan,

Je pense que vous avez tous entendu parler des nombreux remous, qui frappent Aspen. Ces dernières heures, trois ministres ont quittés le gouvernement, en toute logique, car ne pouvant plus cautionner la politique insensée poursuivie par le président Lacroix de Beaufoy. Je les comprends, car si le président a fait un excellent début de mandat, la deuxième partie de son règne est marqué par l’inaction et la poursuite d’une politique dépourvue de bon sens. L’achat des deux porte-avions n’est qu’un exemple, comment le président a perdu le lien avec la réalité. En plus, on apprend dans les grands quotidiens que le Premier Ministre, Mara Galante, a été condamnée par la haute cour de Norijo pour un crime odieux. Bien évidemment, celle-ci continuera à gouverner comme si rien n’y était. La justice, c’est pour les autres. Je ne vais pas m’étaler davantage sur cette débandade, qui frappe l’administration Lacroix de Beaufoy. Mon objectif est aujourd’hui très différent. Je ne veux pas vous parler de cette gauche incapable d’exercer le pouvoir, mais d’une chose qui est plus importante : l’agriculture.

Chaque jour, chacun de vous viendra à manger entre un à quatre repas. Et à chaque fois, vous consommez soit des produits de bonne qualité et venant de notre pays, soit des produits qui ont été fabriqués de la manière la plus insupportable à l’étranger et qui sont rien d’autre que des poisons lents. Les grands industriels des autres pays nous disent qu’ils nous empoisonnent, car c’est le choix de nos consommateurs. C’est derrière cette absurde justification qu’on produit toujours moins cher et moins bon. Ceci frappe le plus durement les populations les plus précaires, car ils n’ont financièrement pas le choix. La qualité et la santé sont devenues l’apanage d’une classe moyenne, qui a encore les moyens de payer une nourriture de qualité. Ils ont raison de le faire et je loue leur sagesse. Cependant, je vous dis que cette situation n’est pas acceptable et que la solution consiste à cesser de privilégier des firmes étrangères sans scrupules et de faire confiance à nos agriculteurs et notre terroir.

La terre est la source de toute vie. C’est la fondation sur laquelle se construisent les nations et qui tient un peuple uni. Chacun de nous est dépendant de la terre, car sans elle, il n’y a pas de nourriture et sans nourriture, nous cesserons tous d’exister. L’agriculteur qui cultive avec amour notre terre n’est donc pas un acteur secondaire de l’économie. Il est le pilier sur lequel se tient tout. Pas de nourriture, pas de vie. C’est hélas aussi simple que ça. Cependant, les administrations de gauche ont systématiquement méprisé les agriculteurs ou les ont considéré comme des gueux qu’on peut tromper en caressant quelques culs de vache.  Je vous dis que non, l’agriculteur n’est pas un pion de la politique nationale, il est celui qui tient un pays débout. Il faut donc que la politique de notre commune accorde une attention toute particulière à l’agriculture. Mon objectif n’est pas d’aller parcourir les campagnes, saluer quelques nobles cultivateurs et ensuite repartir dans un bureau. Je suis convaincu que ce qu’il faut, c’est changer la donne. Ceci signifie donner la priorité à notre production locale, en consommant local. Produire juanais et manger juanais, voilà le principe qui doit fonder notre rapport à la nourriture.

Cependant, il ne peut pas avoir de nouveau rapport à la nourriture, sans prendre en compte la question financière. Nous devons avoir une meilleure nourriture au même prix, voir même plus bas. Il n’y a pas de miracle. Pour réussir ceci, il faut contourner ceux qui gonflent le prix des aliments. C’est donc le secteur de la grande distribution qui est dans le collimateur. Ne vous méprenez pas, je respecte les grands magasins et nos industries, mais quand nous parlons de nourriture, nous ne pouvons pas faire confiance à une partie de cette industrie, qui est délocalisée et qui importe des matières premières étrangères. Certains acteurs de la grande distribution et de l’industrie agro-alimentaire sont des entreprises exemplaires, donnant la priorité à la qualité au détriment de la quantité. Je les salue pour ceci et je les soutiens dans leur démarche. Nous devons soutenir ces gens, sans néanmoins perdre de vue, qu’ils sont à l’heure actuelle encore une minorité dans le secteur. Ceci changera sans aucun doute, car nous avons des bons entrepreneurs, des gens qui croient en des principes.

Pour réussir à renforcer le lien entre nos producteurs et les consommateurs de la ville, nous devons changer le rapport. Une mesure pour entamer ce changement, consistera dans la création de marchés de dimanches dans les différents quartiers de la ville. L’objectif sera de permettre aux agriculteurs de notre région, de vendre leurs produits une fois par semaine directement aux habitants. Comme ils ne devront pas passer par la filière de distribution, ils pourront vendre leurs produits pour moins cher, en ayant une bien plus grande marge bénéficiaire. Les effets seront multiples. Premièrement, une jeune mère qui doit veiller à son budget, pourra acheter des produits de qualité, frais et sans poisons pour moins cher que dans un supermarché. Elle et ses enfants jouiront donc d’une alimentation plus saine et moins coûteuse. En même temps, les agriculteurs qui auront écoulé leurs stocks sur le marché, auront une marge bénéficiaire beaucoup plus grande, leur permettant d’investir dans leurs exploitations et ainsi de pouvoir augmenter leur production et le nombre d’employés. Nous lutterons donc non seulement contre la précarité des agriculteurs, mais en plus nous pourrons sur long terme favoriser la création d’emplois à faible qualification exigée. Tout le monde en profitera de ce système.

Également, nous devons soutenir la création d’exploitations agricoles biologiques. Pourquoi ? Car l’agriculture biologique a trois atouts : elle est plus saine, plus durable et plus économique. En produisant écologique, nous produisons une meilleure qualité sans nous empoisonner avec des pesticides et des engrais chimiques. C’est une méthode aussi plus durable car nous ne surexploitons pas les sols et épargnant les insectes bénéfiques, comme les abeilles, des pesticides. Sur un siècle, la production biologique le remporte largement sur celle pratiquée avec l’appui de produits chimiques. Et en dernier point, nous ne devons pas oublier que l’agriculture biologique est plus rentable dans les terres plus pauvres. Certains vous diront que l’agriculture biologique n’est pas aussi productive que l’agriculture industrielle. Ceci est uniquement dû car tous les études faites, ont été conduites sur des sols très fertiles et riches. Si vous prenez un sol plus pauvre, comme ceux du Sud, nous constatons que l’agriculture biologique a tendance à augmenter la richesse des sols sur moyen terme et donc de conduire à une plus forte productivité, que si on utiliserait des engrais chimiques. Pour les sols de la péninsule ibérique, l’agriculture biologique sera un atout sur le moyen terme. Nous devons donc soutenir nos entrepreneurs dans cette transformation économique.

Notre manière d’approcher la question de l’agriculture, détermine notre conviction à construire une société plus juste et plus en harmonie avec ses traditions et ses valeurs. Trop longtemps, le fanatisme de gauche a conduit à mépriser le sol et les agriculteurs. Trop longtemps, on a laissé des ministres tromper les honnêtes agriculteurs en les rendant dépendant d’un état les conspuant et le considérant comme du bétail électoral. Il est temps de redonner la force à la commune et au local. La terre doit à nouveau être au cœur de notre attention, car elle est la mère nourricière de nous tous.

Pensez-vous que les grands apparatchiks d’Aspen ont du respect pour nos agriculteurs ? Nenni, ils sont obsédés par le pouvoir et ils se goinfrent dans des banquets somptueux où le trois-quarts de la nourriture vient de quelques fournisseurs privilégiés étrangers, qui gagnent une fortune en payant une misère aux agriculteurs. Je vous dis, que nous devons construire une nouvelle agriculture, une agriculture qui vit grâce au soutien des habitants de leur commune et une volonté ferme de ne pas laisser les usines étrangères nous tuer à petit feu.

Vive San Juan, vive la démocratie ! 
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Re: Campagne de Sébastien Markeson

Message par Sébastien Markeson »

[centrer]Discours du 31.08.2015

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Très chers habitantes et habitants de San Juan,

L’élection du conseil communal s’est terminée et c’est avec beaucoup d’honneur que j’accepte de prendre en main la tâche ardue qu’est celle de maire de notre belle commune. La campagne a été intense au point de susciter la médiatisation au niveau national. Cependant, nous ne devons pas nous laisser aveugler par l’intérêt que nous portent les médias. Désormais, c’est la mise en place d’une politique vigoureuse qui s’impose.

Je souhaite féliciter tous les nouveaux membres du Conseil communal. Ensemble, nous pourrons engager un travail de qualité, qui visera à assurer les acquis et à entamer les projets nécessaires au bien public. C’est aussi un grand plaisir de voir la droite remporter la majorité absolue au conseil communal avec 45 sièges sur 53. A notre époque, il importe plus que jamais de défendre les valeurs, les coutumes et la décence contre la Révolution perpétuelle voulue par la gauche fanatique. San Juan peut devenir un exemple de réussite économique, sociale et culturelle pour toute la région.

Il me semble important de consacrer quelques mots à mon principale adversaire de l’UCP, Jade af Thanaris. Celle-ci a été victime d’une campagne de diffamation odieuse et de la révélation d’informations médicales privées. J’aimerais lui assurer que mon respect pour elle est entier, même si je ne suis pas d’accord avec elle sur plusieurs sujets politiques. Cependant, le désaccord ne doit pas nous faire commettre l’erreur de vouloir fermer la porte au dialogue. Nous sommes tous de droite et en conséquence, nous faisons partie d’une même mouvance idéologique. C’est ainsi que j’aimerais proposer à madame Jade af Thanaris de rejoindre l’équipe de l’administration communale comme maire-adjointe. La Ligue patriotique, l’URF et l’UCP peuvent ensemble s’unir dans un projet commun. Si un membre de la Ligue patriotique désire également rejoindre l’équipe administrative, il sera le bienvenu. Cette ville nous appartient à tous.

Notre pays est face à des changements majeurs. Vous tous serez appelés prochainement aux urnes pour choisir à qui vous voulez offrir la lourde tâche de présider notre contrée. La décence m’obligerait à ne pas faire de la publicité pour un candidat à la présidence, mais ma loyauté est telle, que je vous prie de m’excusez pour enfreindre pour un court instant la décence. Il s’avère que je suis convaincu, au plus profond de moi, que nous avons tous une obligation morale de soutenir la personne la plus apte à vêtir l’habit présidentiel. Cette personne, ainsi ma conviction, est Angela von Bertha. Pourquoi ? Car elle unit en elle la vertu de la modération avec celle de l’audace.

Nous avons besoin de quelqu’un n’ayant pas peur d'affronter les grands défis diplomatiques auxquels est confronté notre pays sans succomber aux vices des solutions extrêmes. Le président Lacroix est trop usé par le pouvoir et trop à gauche, succombant aux solutions faciles et ne sachant pas prendre en main les crises, qui marquent la Méditerranée. Alors que le Moyen-Orient est en flammes, ce président approuve un plan de modernisation de nos troupes, qui donne la priorité à l’achat de porte-avions à la place d’un armement polyvalent et terrestre. Alors que la civilisation s’écroule aux bords de l’Euphrate, ce président se perd dans des considérations secondaires. De même pour Debora da Silva. Seul un président conservateur peut nous permettre de trouver des solutions à long terme. Le choix existe donc entre Monsieur Florian Bach et Angela von Bertha. Hélas, l’UCP n’a pas proposé de candidat,  laissant à la droite uniquement deux candidats.

C’est donc sur ce discours que je cesse désormais d’être un simple candidat et que je prends en main la charge de maire de notre vieille et vénérable cité.

Vive San Juan, vive la démocratie !
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