Après de nombreuses années passées à Aspen, pour le business et pour le rugby, Jean-Marc avait décidé de vendre son cosy appartement aspinois afin de s’installer sous le soleil de Samarcande. Il ne connaissait à vrai dire rien de l’archipel de Corse-Sardaigne, mais avait décidé d’acquérir cette somptueuse villa des 70’s sous conseil d’un proche ami du Comité Exécutif de la FFR. Il avait bien l’intention de s’imprégner des coutumes locales, non pas par plaisir de les découvrir mais surtout pour préserver sa villa d’éventuelles attaques de nationalistes corses et sardes qui s’en prennent régulièrement aux continentaux, les « pinzutus ».