Paul regarda hilare le Premier Ministre s'alcooliser de la sorte. Paul avait la tête qui tournait un peu et devait redoubler de concentration pour s'exprimer mais il était encore dans un état respectable.
Il devra se passer d'une déclaration aux journalistes présents dans la cour intérieure de l'Hôtel Belley. Heureusement pour lui, ces derniers étaient cloisonnés sur la droite et ne pouvaient pas lui bloquer la route. Il avait l'intention de s'engouffrer dans son véhicule le plus rapidement possible.
Très bien ... Philippe ! Faisons comme cela ! ... Euh ... Ce genre de réunion est fort appréciable. Il en resort bien plus de choses positives qu'avec du thé ... et des petits biscuits ... (rires) Bon ... N'hésitez pas à me recontacter quand vous avez du nouveau, j'en ferais de même.
Bonne fin de journée ... A très bientôt, Monsieur ... le Premier Ministre !
Paul se leva, non sans mal, serra la main de Philippe en lui tapotant l'épaule droite avec sa main gauche, puis se fit raccompagné jusqu'à sa voiture. Il souffla un grand coup, se concentra afin de paraître tout à fait normal, arbora un sourire de circonstance et franchit le hall puis la sortie de Belley.
Il salua de loin les journalistes, son chauffeur lui ouvrit la porte de sa Cadillac Escalade puis il monta à l'arrière. La voiture sortit de la cour, franchit le portail, direction les locaux du Parti pour la Liberté.
Il devra se passer d'une déclaration aux journalistes présents dans la cour intérieure de l'Hôtel Belley. Heureusement pour lui, ces derniers étaient cloisonnés sur la droite et ne pouvaient pas lui bloquer la route. Il avait l'intention de s'engouffrer dans son véhicule le plus rapidement possible.
Très bien ... Philippe ! Faisons comme cela ! ... Euh ... Ce genre de réunion est fort appréciable. Il en resort bien plus de choses positives qu'avec du thé ... et des petits biscuits ... (rires) Bon ... N'hésitez pas à me recontacter quand vous avez du nouveau, j'en ferais de même.
Bonne fin de journée ... A très bientôt, Monsieur ... le Premier Ministre !
Paul se leva, non sans mal, serra la main de Philippe en lui tapotant l'épaule droite avec sa main gauche, puis se fit raccompagné jusqu'à sa voiture. Il souffla un grand coup, se concentra afin de paraître tout à fait normal, arbora un sourire de circonstance et franchit le hall puis la sortie de Belley.
Il salua de loin les journalistes, son chauffeur lui ouvrit la porte de sa Cadillac Escalade puis il monta à l'arrière. La voiture sortit de la cour, franchit le portail, direction les locaux du Parti pour la Liberté.