Le franc-tireur - Pierre Reynaud

Répondre
Avatar du membre
Pierre Reynaud
Citoyen
Messages : 23
Enregistré le : 24 déc. 2013, 18:00
Type de compte : PNJ (secondaire)
Résidence : ---

Le franc-tireur - Pierre Reynaud

Message par Pierre Reynaud »

Mensonge démocratique ou espoir politique?


« Par chance je suis dépourvu de toute ambition politique ou sociale, en sorte que je n'ai à craindre aucun danger de ce côté-là, rien qui me retienne, rien qui me force à des transactions et à des ménagements ; bref j'ai le droit de dire tout haut ce que je pense, et je veux une bonne fois tenter l'épreuve qui fera voir jusqu'à quel point nos semblables, si fiers de leur liberté de pensée, supportent de libres pensées. »

Friedrich Wilhelm Nietzsche, Lettre à Malwida von Meysenbug, 25 octobre 1874.

C'est donc à l'instar de mon compatriote Nicolas Deschanel que j'ouvre ce blog, pour partager moi aussi mes points de vue sur l'actualité et tous les faits qui intéressent la vie publique. A ceci près, que, hétérodoxe dans ma manière d'appréhender tous les sujets, je m’enorgueillirai sans cesse de n'appartenir à aucune secte, à aucun mouvement idéologique, à aucune pensée tracée, stricte et dogmatique de sorte que rien ni personne ne puisse me faire porter l'étendard du prêt-à-penser. Ma pensée est le fruit de longues années d'un travail de lecture, de recherche et d'expériences personnelles vécues sur le terrain. Elle est en soi le croisement de plusieurs notions et idées produites par les penseurs de tradition héléno-romaine depuis l'Antiquité dont je pourrais de temps à autre me revendiquer au fil des analyses que je produirai. Excluant sans réserve et avec une verve radicale la pensée des Lumières qui est à mon sens une non-pensée, en plus d'être un mensonge pratique.

Ce préliminaire avorté, je vais de ce pas évoquer le premier sujet qui me vient à l'esprit.
La Constitution a été promulguée, le choix semble être fait par nos élites révolutionnaires d'un système politique basé sur la démocratie directe. Pour citer Abraham Lincoln dans son discours à Gettysburg, "le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple".
Beau sur le papier, peu concret dans la réalité.
Je m'étonne justement de ce que les frôceux d'aujourd'hui ne daignent tenir compte de leur glorieuse Histoire qui, de générations en générations, a été façonnée par les plus grands personnages de notre patrimoine intellectuel et politique. Que dire en effet de ce lourd héritage dictatorial qui a pris fin avec la prise de pouvoir de Thomas Rolland le 26 juin 2007 ? La mémoire de ce sombre passé ne nous a tellement pas marquée que nous avons mis un point d'honneur à ne pas protéger notre pays des risques de dérives en envisageant par exemple d'établir des garde-fous pour protéger la démocratie.

Serait-ce que le peuple n'aime pas la démocratie ? Bien qu'il se soit acharné à la retrouver chaque fois qu'elle fût mise au bûcher par des intérêts particuliers.

Serait-ce que le peuple n'aime pas telle démocratie ? A cette question j'y réponds par : peut-être.

Je pense en effet qu'il s'est rendu compte par lui-même que la démocratie représentative, que j'appelle démocratie d'opinion et de marché, n'est efficace que pour ses élites. Que cette démocratie représentative, en sclérosant les idées dans de piètres "partis politiques", ne répond en aucune façon à l'objectif de "servir" en politique, mais plutôt de "se servir". En témoignent les divers scandales qui, bien avant l'emprise absolutiste des royalistes, ont miné nos élites politiques. Que ce soit la corruption des médias, dont on aurait pu deviner certains articles complaisants, quoique bien dilués dans un semblant d'esprit-critique, ou que ce soit celle de nos politiques. A ce sujet je vous renvoie simplement aux rétrocommissions que nous avons pu constater et qui ont permis à des affairistes comme Sébastien Capell ou des patriotes mou-du-genou comme Vincent Valbonesi, d'en bénéficier allègrement.

Ce sont des exemples parmi tant d'autres et il manque la partie méridionale de l'iceberg.

Ceci pour avertir le citoyen qu'il doit rester sur ses gardes. Si a priori la démocratie directe semble théoriquement admise comme forme de gouvernement, elle doit l'être dans la pratique. Et vu le renouvellement des mêmes élites au pouvoir exécutif comme judiciaire, j'ai quelques réserves qui me font dire qu'un retour à une oligarchie ne se fera pas attendre. Ces doutes se transformant en certitude à la lecture de la typologie des régimes politiques telle qu'Aristote l'a déterminée.

Je ne suis pas démocrate pour diverses raisons, ni favorable à la tyrannie d'un seul ou d'un groupe seul. Je soutiens, comme Simone Weil, la suppression générale des partis politiques. Toutes ces pensées, j'aurai l'occasion de les développer au fil de mes écrits.

Sur ce, joyeux réveillon et à l'année prochaine.
« Par chance je suis dépourvu de toute ambition politique ou sociale, en sorte que je n'ai à craindre aucun danger de ce côté-là, rien qui me retienne, rien qui me force à des transactions et à des ménagements ; bref j'ai le droit de dire tout haut ce que je pense, et je veux une bonne fois tenter l'épreuve qui fera voir jusqu'à quel point nos semblables, si fiers de leur liberté de pensée, supportent de libres pensées. » Friedrich Nietzsche
Avatar du membre
Pierre Reynaud
Citoyen
Messages : 23
Enregistré le : 24 déc. 2013, 18:00
Type de compte : PNJ (secondaire)
Résidence : ---

Re: Le franc-tireur - Pierre Reynaud

Message par Pierre Reynaud »

Dérives totalitaires oligarchiques : Pour le droit à la quenelle


"La Guerre c'est la paix, La liberté c'est l'esclavage, l'ignorance c'est la force" - 1984, George Orwell

La situation actuelle est inquiétante, car nous sommes les seuls en Europe à ne pas avoir rejoint le giron de l'OTAN à nos risques et périls. La situation est inquiétante parce que nous sommes visés par les agences financières, à l'instar de la plupart des pays occidentaux, pour nous imposer une crise de la dette dont on sait aujourd'hui, même les économistes néoclassiques et libéraux le disent, que c'est la meilleure voie pour obtenir d'une nation qu'elle se soumette à une oligarchie bancaire.

La France a été soumise par la loi Giscard de 1973 qui a transféré le pouvoir régalien de battre monnaie aux banques en modifiant les paramètres des taux d'intérêt.
Les Etats Unis ont été soumis au début du XXe siècle, au détriment de l'idéal des pères fondateurs, à la création de l'IRS (qui récolte les taxes) et à celle de la Federal Reserve (qui émet les devises et détermine les taux d'intérêts). Souvenons-nous des derniers mots du 7ème président étatsunien : "I killed the bank". Parlons-en de cette réserve fédérale qui n'a de fédérale que le nom et qui est aussi fédérale que Federal Express. Eustace Mullins, reprenant les travaux du grand poète Ezra Pound (qui a inspiré Ernest Hemingway et qui fut considéré comme le plus grand poète de son époque), a consacré la plupart des années de sa vie à comprendre le rôle des banquiers dans l'effondrement économique à venir des Etats-Unis, phénomène dont de nombreux économistes ou consultants n'hésitent plus à prédire (Olivier Delamarche par exemple). Qu'il soient d'obédience marxiste ou libérale.
Dans son oeuvre, Les secrets de la Réserve fédérale, dont les sources et les multiples bibliographies sont le fruit d'un travail de recherche à la bibliothèque du Congrès américain, Eustace Mullins démontre comment certains banquiers (JP Morgan, John D. Rockefeller pour la Standard Oil etc..) se sont accaparés le contrôle de la monnaie du pays. Ces mêmes personnalités enviées pour leur richesse et leur capacité de travail, dans des bouquins comme Gatsby Le Magnifique, ont en réalité été les auteurs du plus grand hold-up de toute l'Humanité. S’assignant peu à peu le contrôle de la plupart des médias mainstream à l'image de Fox ou de CNN, par le biais d'un complexe réseau de sociétés-mère et de filiales, abêtissant encore plus la population américaine par des shows télévisés hypocrites ou des séries télés immergeant la masse dans le confort du consommer pour s'épanouir. Alors que le réel épanouissement n'existe que dans le travail et l'étude. Il est en effet plus facile d'être érudit du temps de l'Académie de Platon ou du Lycée d'Aristote que dans une banlieue sous-prolétaire américaine paupérisée où tant les impératifs que les conditions de vie ne sont plus les mêmes.

Dans cette longue marche vers une nouvelle conception de l'humain, un autre signe du fascisme ploutocrate qui se développe dangereusement nous vient d'un pays voisin, la France. Et c'est parce que je ne me résous pas à ce que mon pays devienne le lit d'un totalitarisme nauséabond, je vais vite prendre les précautions qui s'imposent en avertissant mes compatriotes.

Le Patriot Act, les tortures à Guantánamo ou encore les drones qui tirent à l'aveugle sont de loin les meilleurs signes qui démontrent le grand tournant préparé par l'oligarchie américaine vers une fin progressive et à petits feux de la démocratie américaine qui, avec ses imperfections, a inspiré toutes les révolutions qui suivirent.

En France et après dix ans de black-out total contre l'humoriste franco-camerounais Dieudonné, le gouvernement socialiste, dans sa verve habituelle et sa propagande naturelle, s'attaque désormais à la seule soupape qui permette au beauf alcoolique ou à la ménagère qui regarde religieusement Tellement Vrai, de pouvoir supporter le poids du quotidien et l'oppression étatique subie.
Fort de leurs échecs successifs et reconnus comme traîtres à leur nation comme à leur électorat depuis les années 30 (en ayant cette fois-ci collaboré avec Hitler et Vichy), les socialistes au pouvoir ont imaginé, comme l'Elysée de Mitterrand avec Bianco et Attali le firent jadis, un outil de subversion efficace qui consiste en ce que les problématiques connues par la population soient détournés de la une par des épiphénomènes sociétaux.
Comme l'UNEF ou SOS Racisme (dont on sait aujourd'hui les abus de bien sociaux et les affaires de corruption), le PS monte de toute pièce une nouvelle lutte sociale contre "l'antisémitisme et le racisme" (Marx, pourtant juif et dont je me revendique la lecture de classe, s'en retournerait dans sa tombe). D'abord, la simple distinction entre antisémitisme et racisme est une discrimination, en plus d'être une façon de dresser les communautés les unes contre les autres, de hiérarchiser les souffrances et de développer la gerbe que provoque la concurrence victimaire.

La quenelle.

C'est donc à travers ce terme que s'exprimerait toute la violence antisémite produite par les nazillons français.
Rappelons, histoire de remettre les choses à leur place, que la quenelle est un plat traditionnel français à base de poisson ou de volaille intégrés dans une pâte ronde et cuite au four.

C'est donc le sujet qui préoccupe le plus les français en ce moment ? De quoi parlons-nous? La quenelle?

Soyons un tantinet sérieux sur la question. Dieudonné l'exécutait déjà au début des années 2000 et il a toujours été admis que le geste de la quenelle était soit de nature politique (anti-système), soit conviviale (quenelle "farces et attrape"). Dans les deux cas, elle est provocatrice dans son sens, qui signifie - pardonnez la vulgarité - "vous l'avez dans le cul".
Je comprends que le bras d'honneur, exécuté par Clemenceau dans les tranchées face aux boches, reste plus traditionnel et plus conforme à l'identité française. Mais tout de même.

Rendez-vous compte, Pierre Desproges à son époque a été plus virulent sur les juifs que Dieudonné ne le fut à son époque. Et sur la question de savoir si l'humour sur les juifs de Desproges serait aujourd'hui "acceptable", de répondre Alain Jacubowicz (président de la LICRA) que compte tenu du climat social, il serait difficilement tolérable de voir se tenir de pareils propos.

C'est, je vous le dis, une dictature culturelle, une dictature de la pensée qui s'est progressivement installée en France par les associations, dont les courriers assassins suffisent à faire licencier l'employé qui a décroché tant bien que mal un CDI et qui se voit fait le reproche d'avoir imité le geste de la quenelle.
Même au Venezuela, Hugo Chavez n'avait jamais instauré un tel climat de terreur, contrairement à la désinformation flagrante des médias occidentaux.

Il n'y aurait aucune raison pour que ce phénomène se propage en Frôce, seulement quand j'ai écouté les meilleurs vœux d'Hélène Le Menn, dont on devine le passé trotskyste, on ne peut que s'alarmer sur sa volonté d'infiltrer tous les réseaux de pensée en les soupçonnant allègrement et arbitrairement de se revendiquer d'extrême-droite. C'est là une belle preuve de la dictature du rouge qui traite de fachos tous ceux qui ne pensent pas pareil.
De surcroît je lance un appel solennel à Mme Le Menn, qu'elle condamne les discriminations, oui, je dis cent-fois oui. Qu'elle imite la France en évacuant les sujets principaux au profit des sujets périphériques, non.

Je terminerai par une note positive : j'adhère et je soutiens pleinement le projet qui semble être du CNCR de redonner le pouvoir économique au peuple. Je relaie donc cet extrait des vœux pour la nouvelle année.

"Qu'un pays peut montrer la voie en terme d'un système économique alternatif et basé sur l'être humain. Trop d'exemples nous ont montré que le capitalisme donne la priorité sur l'argent et la recherche à outrance du profit au détriment des humains, des familles, de l'environnement. Cela passe également un plus grand pouvoir des salarié-e-s au niveau de leurs entreprises, dans les cercles internes de décisions (conseils d'administration par exemple). Je veux également favoriser la création de coopératives, le fait que des salarié-e-s puissent s'organiser collectivement pour reprendre leur entreprise qui seraient en cessation de paiement si aucun repreneur ne satisfasse ces personnes." - Hélène Le Menn, présidente de la République.

La présidente a raison d'insister sur les dégâts du capitalisme infligés à la cellule familiale, protectrice de l'individu et instance fondamentale de socialisation, quoiqu'elle ne soit je le conçois, pas la seule. Cette précision pour ceux qui seraient fâchés avec leur propre famille.
« Par chance je suis dépourvu de toute ambition politique ou sociale, en sorte que je n'ai à craindre aucun danger de ce côté-là, rien qui me retienne, rien qui me force à des transactions et à des ménagements ; bref j'ai le droit de dire tout haut ce que je pense, et je veux une bonne fois tenter l'épreuve qui fera voir jusqu'à quel point nos semblables, si fiers de leur liberté de pensée, supportent de libres pensées. » Friedrich Nietzsche
Avatar du membre
Pierre Reynaud
Citoyen
Messages : 23
Enregistré le : 24 déc. 2013, 18:00
Type de compte : PNJ (secondaire)
Résidence : ---

Re: Le franc-tireur - Pierre Reynaud

Message par Pierre Reynaud »

Paradoxes et doxa
"Dieu rit des gens qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes" - Jacques-Bénigne Bossuet.

Je vais commencer le présent texte en remerciant la solidarité dont m'a témoignée un autre penseur frôceux d'exception qui, libre dans ses idées, n'hésite pas lui aussi, à les dire sans conditions et sans concessions. Il s'agit bien évidemment de Nicolas Deschanel.
Nicolas Deschanel a expliqué ce pourquoi le précédent article que j'ai rédigé n'était ni raciste ni antisémite. Je me trouve bien trop érudit et savant pour qu'on ose ainsi me rabaisser à l'état primaire dans lequel baigne l'être raciste. Si l'insulte était un délit, M. de la Tour en serait condamné.
Mais que sait donc monsieur le ministre de la question raciale ? L'a t-il étudiée comme je l'ai moi-même étudiée en distinguant le racisme ethnocentrique du racisme biologique, en expliquant qu'il y avait également le racialisme comme sociologie des races et non idéologie de la race ?
En vérité, M. de la Tour ne sait sans doute pas grand chose à défaut de connaître mon nom et de le restituer correctement. Je ne m'appelle non pas Pierre Reynaud mais Paul Reynaud désormais ! En plus de vouloir - je cite - interdire "l'évocation" même de la quenelle, ce monsieur s'enorgueillit de décréter de nouveaux prénoms. Les faibles d'esprit sont les premiers à se vendre intelligents car leur orgueil permet à leur esprit de compenser la bassesse de leurs raisonnement. La plupart du temps, tels des moutons, ils ne font que se contenter de redire les mêmes phrases toutes faîtes de la doxa en pensant s'en distinguer par le degré d'intelligence.
Alors même que les vieux savants sont les plus humbles, les décérébrés sont les plus vantards. Quel triste monde que le Règne de la Quantité, démontré par Guénon, a radicalement détruit.

Ces messieurs - je ne stigmatise pas de la Tour en particulier - se réclament la plupart du temps d'un socialisme éclairé, d'une idéologie de la Bonté incarnée en thèses sociales et sociétales destinées à émanciper l'individu et à lui offrir paradis sur Terre. En pratique, l'application de ces idées donnent des êtres bestiaux enchaînés au Produit de Consommation. Elle donne aussi des dérives comme celles d'un communiqué ministériel qui veut éradiquer "l'évocation de la quenelle", le qualifiant subrepticement d'"antisémite et de raciste" au mépris même des idées libérales-libertaires qui voudraient défendre la liberté d'expression et que la plupart des membres du gouvernement soutiennent uniformément. Je vous renvoie donc à la phrase de Bossuet ci-dessus.


Paradoxe encore que représente le couple Lacroix-Le Menn dont il faut préciser leur union concubine et dont je vais me servir comme tronc commun pour expliquer la convergence libérale-libertaire.
Louis-Damien Lacroix de Beaufoy se prête à une interview dans laquelle il avoue son ambition d'être candidat à la prochaine présidentielle, tout en soutenant et les révolutionnaires et sa femme présidente. Hélène Le Menn et Louis Lacroix sont, rappelons-le, deux personnalités frôceuses qui s'opposent dans leurs idées. Quoique le chemin parcouru de M. Lacroix vers le centre depuis l'époque des années libérales avec le MLD peut laisser penser que d'ici quelques temps, il se convertira en rebelle rouge. En treillis militaire bien sûr, comme son grand-papa le tyran.
L'amour rend aveugle, mais n'enlève rien au cœur. Et si les idées viennent de la tête, les convictions viennent du cœur. Comment alors expliquer cette complaisance entre les deux face à tant de contradictions théoriques ?

La convergence libérale-libertaire, c'est expliquer que le capitalisme détruit toutes les instances protectrices de l'individu sur son passage au prétexte de l'émanciper mais au final en l'isolant encore un peu plus. Destruction du noyau familial, destruction des valeurs traditionnelles qui maintiennent l'ordre social dans la cohésion, destruction du comportement poli et sage qui permet le respect réciproque entre individus au profit d'une rebelle-attitude qui hisse le provocateur de tous bords au rang d'admiré par les fanatiques du borderline.
La convergence libérale-libertaire, c'est aussi expliquer que le capitalisme se sert de l'idéologie sociétale des socialistes pour mieux rendre dérisoire leurs idées économiques et politiques. La gauche au pouvoir ne réussit que les combats sociétaux mais échoue et se résigne face aux ravages du capitalisme et du principe d'économie de la dette.

Car entendons nous bien c'est tel capitalisme que je dénonce, pas le Capitalisme. Certaines idées néoclassiques présentant le marché comme solution et non problème m'attirent et je comprends l'authenticité de leurs idées qui en réalité, ne cessent d'être vilipendées par les banquiers et les spéculateurs. Je comprends la pureté de l'analyse libérale comme j'admets le fait qu'elle n'ait jamais vraiment été appliquée scrupuleusement par tout Etat quel qu’il soit. Cela, tout en maintenant ma lecture marxiste des catégories sociales. De Marx, je ne prends que l'essentiel et le pertinent. Marx expliquait par exemple - et à raison -, que l'immigration pouvait être qualifiée comme étant l'armée de réserve du Capitalisme. Et que pensent donc les gauchistes de l'immigration? Vous avez tout compris.
« Par chance je suis dépourvu de toute ambition politique ou sociale, en sorte que je n'ai à craindre aucun danger de ce côté-là, rien qui me retienne, rien qui me force à des transactions et à des ménagements ; bref j'ai le droit de dire tout haut ce que je pense, et je veux une bonne fois tenter l'épreuve qui fera voir jusqu'à quel point nos semblables, si fiers de leur liberté de pensée, supportent de libres pensées. » Friedrich Nietzsche
Avatar du membre
Pierre Reynaud
Citoyen
Messages : 23
Enregistré le : 24 déc. 2013, 18:00
Type de compte : PNJ (secondaire)
Résidence : ---

Re: Le franc-tireur - Pierre Reynaud

Message par Pierre Reynaud »

Leçons de morale
"Mon but, c'est d'organiser l'Humanité sans Dieu et sans Roi" - Jules Ferry

"La révolution française a été réussie sur le plan matériel mais elle a échoué dans les esprits. Il faut donc une religion laïque" - sic Vincent Peillon

"Il faut dire ouvertement qu'en effet les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures. Mais parce qu'elles ont aussi un devoir, elles ont le devoir de civiliser les races inférieures" - Jules Ferry, Discours du 28 juillet 1885


Au lendemain de son élection à la tête de la présidence de la République française, François Hollande a tenu à rendre hommage à Jules Ferry pour son prétendu combat destiné à rendre l'Ecole gratuite, laïque et obligatoire pour tous.

Les citations reproduites ci-dessus sont authentiques et elles expliquent l'incohérence des livres universitaires d'Histoire - pour peu que certains soient accessibles - qui prouve l'implication de la gauche dans la colonisation et sa capacité à retourner immédiatement sa veste durant l'occupation au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Pierre Laval n'était-il pas adhérent à la SFIO (parti socialiste de l'époque) avant d'avoir soutenu et mis en pratique la politique de collaboration française?
Je n'ai de leçons de tolérance à recevoir de personne et j'accuse même l'Empire - entendu par là le réseau d'élites mondialisées qui soutiennent la vision d'une gouvernance globale où chaque capitale serait "un hôtel" - d'avoir soutenu la diffusion des thèses racialistes et racistes de Pierre-Marie Léonard, afin de dégoûter les masses du regard critique qui peut être fait sur les lieux communs, sur les conceptions libertaires et sur le danger de l'économie de dette comme je l'appelle, qui se sert du libéralisme théorique pour opprimer les peuples à travers une dette insolvable.
La preuve en est que ce partisan des thèses racistes hiérarchise les races au point de vouloir la sienne comme parfaite. Et pourquoi donc soutiendrait-il les populations arabes de Palestine opprimées au détriment des populations blanches israéliennes? En vérité ce genre de thèses radicales est bien là pour discréditer les thèses que je développe.
Si les gouvernants du monde entier se réclamant de gauche étaient si convaincus dans leurs idéaux, pourquoi après tant de décennies, la situation reste t-elle la même ? Pourquoi se contenter d'appliquer une politique de distributions sociales ponctuels sans réformer tout le système et ses bases? Que dire de la gauche mitterrandiste qui n'a en rien abrogé la loi de 1973 ? Que dire des démocrates américains qui n'ont pas abrogé, sauf l'honorable John Fitzgerald Kennedy (paix à son âme), les dispositions légales relatives à la Federal Reserve? Que dire encore de ces nombreux Etats du tiers-monde complètement asservis par le FMI qui, pourtant majoritaire dans l'Assemblée Générale des Nations Unies, ne daignent réformer de manière radicale les institutions financières mondiales et la question partage du pouvoir décisionnel ?

En vérité les tenants de l'idéologie dominante libérale-libertaire n'ont d'autre priorité que leur poste et se donnent bonne conscience de temps à autre par des manifestation de tolérance, de bons sentiments et d'une hypocrite générosité. Ce sont des hommes publics ou des intellectuels qui n'observent le monde à qu'à la loupe de leur paradigme et de leurs a priori démentis par le principe de réalité.
Celui qui assume le principe de réalité, c'est celui qui produit. C'est de la force de travail de l'ouvrier, du paysan et du manutentionnaire que naît tout ce qui fait le confort des populations. Rien avoir donc avec les élites parasites qui ne produisent rien si ce n'est de vivre de leur rente.

Je ne reproche pas au gauchiste du quotidien, celui qui défend les nobles convictions du Che, d'être un horrible type. Je lui reproche que dans sa vision du monde, dans son paradigme intérieur, il a une conception totalitaire du monde qui produit certaines images insoutenables de féministes hystériques qui profanes des églises et montrent ostentatoirement leurs seins. C'est ça la liberté? Mais dîtes moi donc en quoi le curé du coin vous empêche de choisir comme bon vous semble la manière dont vous voulez mener votre vie de chambre à coucher ? Les libertés individuelles auxquelles vous vous réclamez sont déjà d'actualité. C'est un combat inutile que de vouloir les scander sans arrêt si ce n'est une forme de paranoïa pathologique qui vous donne le sentiment d'être opprimés par la morale alors que ce sentiment d'oppression n'est dû qu'à la réelle oppression que vous subissez quotidiennement. Celle d'un monde sans repères qui vous explique de manière contre-nature qu'un homme c'est comme une femme.
Un homme et une femme sont égaux en droit. Mais de là à dire qu'ils le sont égaux de fait, c'est une conception totalitaire de la société. Et c'est ce fascisme rouge que je vous reproche.

Le chrétien est bon, le chanteur de métal l'est moins.
C'est le sobre qui raisonne, l'alcoolique le peut moins.

Je vous vois déjà venir avec des phrases toutes faîtes sur les chrétiens pédophiles du clergé. Voyez donc à quel point je maîtrise parfaitement votre ligne de pensée pour en avoir été membre à une époque.
A ceci j'ai aussi une réponse. Mais vous risqueriez de la supporter beaucoup moins que les simples arguments que j'étaye au fur et à mesure.
La vérité c'est que tout a été fait, conformément aux signes des temps que nombre d'auteurs se revendiquant de la Tradition on pu noter, pour dénaturer complètement les sens du combat des clergés. Tout a été fait pour inverser les valeurs.
Que ce soit chez les chrétiens où l'on observe ces histoires de pédophilie, chez les juifs dont certains rabbins ont une conception raciste du monde (celle de "peuple élu") ou encore chez les musulmans qui se divisent - non pas uniquement entre chiites et sunnites - mais également entre wahhabites et soufis.
Dieu ne précise t-il pas dans chacune de ces religions qu'elles souffriront à une certaine période eschatologique d'un échec palpable qui égarera les Hommes ?
Quand on lit les textes sacrés et qu'on a la foi, difficile de comprendre comment Satan peut réussir à égarer tant de gens (Apocalypse de Jean, Eschatologie juive, Eschatologie musulmane) dans la mesure où la morale, sinon la distinction du bien et du mal, est très limpide pour l'esprit humain. Aussi dans les dix commandements des prescriptions claires sont rappelées : "Tu ne tueras point" en est un exemple. Sauf que ces prescriptions ne sont pas exhaustives et que le but de ceux qui ont fait profession de foi au mal savent parfaitement que pour manipuler les masses, il faut inverser radicalement les valeurs de sorte que le "bien" devienne le "mal" et que le "mal" devienne le "bien".

Ainsi par exemple retrouvons-nous un éloge de la consommation de drogues chez les gauchistes purs et durs au nom de la liberté d'expression et que nous retrouvons dans un même temps la censure de certaines idées iconoclastes comme cela a été le cas avec mon article, au mépris de la liberté d'expression.
La consommation de drogues entraîne de graves répercussions, parfois irréversibles, pour le corps. C'est un mal en soi. Alors que la liberté de penser des choses à peu près cohérentes, pertinentes et confirmées par les faits, est devenu un mal, au motif que se cacherait derrière de telles pensées une volonté de détruire l'Autre, de l'éradiquer.
Je suis bien trop intelligent pour me dire qu'un peuple de la Terre doit disparaître pour le bien de l'Humanité, comme cela est voulu par certains antisémites notamment dans les années 30, car je suis conscient que si une élite de ce peuple souhaite assumer un projet impérial de colonisation de tous les peuples, ce n'est pas un au sujet de ce peuple d'en être responsable. Aussi pour ma part je considère que le paysan français, anglais ou belge n'est pas responsable de la colonisation pas plus que le juif israélien qui habitait jadis dans un kibboutz n'était responsable des crimes contre l'Humanité commis par Tsahal. Je pense avoir été suffisamment clair dans mes propos pour qu'on me soupçonne d'ambiguïté.

Je parlais à l'instant de paradigme. Pour la définition, je vous renverrais au dictionnaire.
Maintenant, dans les faits, toi gauchiste fier de l'être qui me lit. Aies donc la tolérance de sortir un tant soit peu de temps de tes idées reçues sur la politique, sur Marx et sur le Monde.
Pose toi des questions. Pourquoi, à la lecture de ce j'ai rédigé plutôt en intégrant des références religieuses, ressens-tu une colère qui monte en ton fort intérieur et qui te fait bouillir de haine contre la spiritualité? Non, ce sentiment ne fait pas de toi un laïque mais un athée totalitaire qui, à l'instar de Michel Onfray, souhaite imposer sa conception du monde à tous.

Les religions ont apporté la guerre? C'est en partie faux. Aussi faux que de dire que c'est un conflit religieux qui se déroule au proche-orient, dans la mesure où c'est un conflit de ressources principalement (contrôle du Jourdain par exemple).

Réfléchis sur ceux qui dirigent ton combat et qui t'ordonnent de diriger des commandos antifas afin de "détruire la vermine fascisante". Est-ce de cette façon que le monde va changer ? Est-ce en collant des affiches en pleine nuit et en étant vu avec dédain et moqueries que tu obtiendras des autres l'affection et l'adhésion? Bien au contraire, pour ceux qui s'engagent, tu les fait fuir au point que les gens de bonne volonté se réclament "du centre", "du social-libéralisme", en quelque sorte d'un mou fourre-tout idéologique.

Ce que tu appelles "complot rouge-brun" n'est en réalité que le cheminement intellectuel de gens de bonne volonté qui ont compris que le patriotisme servait les intérêts des couches populaires et qu'au contraire, l'atlantisme comme le libéralisme pratiqué à outrance et dénaturé conduit à des guerres coloniales absurdes (Libye, Côte d'Ivoire etc..) au prétexte d'apporter la démocratie à un peuple. Qu'a t'on fait pour la Corée du nord ? Rien du tout. Rien du tout parce que ce pays n'a rien qui intéresse l'impérialisme.

Impérialisme est un mot qui fut très longtemps utilisé et pris au sérieux aussi bien par les intellectuels, les géopolitologues que les historiens. Les marxistes également considèrent que l'impérialisme correspond à l'apogée du capitalisme, à un stade avancé où le retour à l'égalité réelle (et non pas l'égalitarisme) est quasi-impossible parce que l'impérialisme brise les solidarités de fait qui se construisent dans une société humaine et qui protègent l'individu dans sa capacité à subvenir à ses besoins.
C'est ça le patriotisme, cher gauchiste qui me lit. C'est de se dire qu'il peut y avoir des inégalités, mais que ces inégalités doivent puiser leur légitimité dans le mérite accordé à chaque individu et à condition que l'inégalité n'atteigne pas un seuil où l'individu ne peut même pas satisfaire ses besoins vitaux. C'est de se dire aussi que la famille protège l'individu, l'intègre en société. Que l'honneur et la morale permettent aux Hommes de coexister en société, parce qu'il est nécessaire dans toute cité d'imposer des règles puisqu'avant tout, l'Homme est un animal politique. L'impérialiste veut le réduire à l'état d'animal. Relis donc George Orwel qui explique dans 1984 comment dans un futur proche il sera possible pour le pouvoir d'obtenir le consentement des masses dans sa légitimité à l'exercer. Revois Les Temps Modernes de Charlie Chaplin. Lis René Guénon, Emile Zola et Voyage au bout de la Nuit.

Et, enfin, que ne puis-je te donner comme dernier conseil si ce n'est qu'à défaut d'exiger la tolérance chez les autres, applique la pour toi-même.
Car plus que tout,
Je ne souhaite que ton SALUT.
« Par chance je suis dépourvu de toute ambition politique ou sociale, en sorte que je n'ai à craindre aucun danger de ce côté-là, rien qui me retienne, rien qui me force à des transactions et à des ménagements ; bref j'ai le droit de dire tout haut ce que je pense, et je veux une bonne fois tenter l'épreuve qui fera voir jusqu'à quel point nos semblables, si fiers de leur liberté de pensée, supportent de libres pensées. » Friedrich Nietzsche
Avatar du membre
Pierre Reynaud
Citoyen
Messages : 23
Enregistré le : 24 déc. 2013, 18:00
Type de compte : PNJ (secondaire)
Résidence : ---

Re: Le franc-tireur - Pierre Reynaud

Message par Pierre Reynaud »

L'affaire François Bertrand ou un traître à la tête de l'Etat
"La politique, ce n'est pas servir mais se servir" (anonyme)

S'il est des tares qu'une personnalité politique frôceuse peut cumuler en même temps sur son propre compte avec une expression si singulière de sa propre médiocrité, il s'agit bien de François Bertrand.

Ce sinistre personnage était un éminent membre de la droite frôceuse pro-sioniste lorsqu'il était - plus jeune - militant du Rassemblement pour une Droite Forte conduit par Arthur Le Guenn et dont les positionnements idéologiques rappellent l'inspiration de Jean-Baptiste Marshall, cet ultra libéral conservateur pro-Israël.
Il est troublant de constater la vergogne avec laquelle il défend le camp palestinien dans l'actualité récente. Retour sur un passé controversé.

Ce bref article n'a pas vocation à être exhaustif sur le parcours de FB. Il s'agit uniquement d'énumérer les grandes contradictions qui existent chez l'individu afin d'en dévoiler l'hypocrisie et le manque de convictions.

Il est notoire par exemple, que François Bertrand a su s'adapter au gré des circonstances et des périodes de la vie politique pour marquer sa présence sur le devant de la scène médiatique, profitant d'une accalmie à droite pour s'en autoproclamer illico presto le leader.

Ambigu, il a toujours été promoteur des idées libérales sur le plan économique. Et le voilà qui proclame son attachement au Welfare State et aux idées progressistes.

En réalité, Bertrand a été amené à cette conclusion qui a émergé chez beaucoup de personnalités issues des réseaux organisés de l'establishment politico-médiatique : pour faire carrière, il devait se dépouiller de son profond logiciel de pensée, ce qui lui ouvrirait la voie royale pour accéder aux responsabilités. Contrairement aux opposants classiques de droite qui se complaisent à conserver ce statut d'éternel grande-gueule, Bertrand est l'un des rares à avoir toujours exprimé une soif d'ambition longtemps inassouvie* qu'il finira par assouvir en se gauchisant.

Se considérant comme trahi par Vincent Valbonesi**, la brève coupure a marqué des séquelles encore vives dans les relations entre Bertrand et Valbonesi qu'il considérait comme son mentor. Ce que Bertrand appellera "trahison" n'est en fait que le regard lucide de Vincent Valbonesi qui aura nulle doute remarqué la duplicité de son jeune poulain et les multiples vices cachés qu'il a.

D'ailleurs, Bertrand saura très vite démontrer en actes les talents de manœuvrier dont il aime se vanter parce que, figurez vous, il a contraint l'ancien président RPR à le soutenir de gré ou de force lors de l'élection présidentielle de septembre 2013 par une machination politique dont seul l'homme a le secret.

Le journaliste de RCF, Raphael Belgard, excellent par ailleurs, m'a confié peu avant sa mort s'être vu proposé les services de François Bertrand comme source attitrée des coulisses du gouvernement de l'époque en contrepartie d'articles flatteurs sur son propre compte. Le caractère élogieux des articles de Belgard au moment de la campagne électorale qui opposera Bertrand à Montgomery est de loin le signe de l'authenticité de ses propos.

Que dire encore du scandale gigantesque du contrat d'armement signé entre Kent&Dereck et l'Arabie Saoudite dont il semblerait que la plupart de nos élites politiques, de gauche comme de droite, seraient mêlées. Les mains sales et corrompues par l'or noir des wahhabites.
Pour digresser rapidement, le plus grave dans ce scandale reste l'impunité des principaux concernés et la clôture de la commission d'enquête par François Bertrand, alors président de l'Assemblée nationale, laissant le peuple souverain sans aucune conclusion définitive rendue à cette affaire.

Bien triste le sort qui attend la Frôce avec l'élection d'une personnalité aussi crapuleuse et peu sensible aux intérêts de sa patrie que François Bertrand. Cet individu ne servant que ses propres intérêts.
Cet article se veut volontairement à charge, car Bertrand risque peut être d'être le chef de l'Etat qui conduira la Frôce à sa perte.

*Interview radiodiffusée par Pierre-Alexandre Bonnardot in Pierre-Alexandre Bonnardot-Radio.
**Interview Le 20 heures par Marie-Claire Savary, in Canal 4
« Par chance je suis dépourvu de toute ambition politique ou sociale, en sorte que je n'ai à craindre aucun danger de ce côté-là, rien qui me retienne, rien qui me force à des transactions et à des ménagements ; bref j'ai le droit de dire tout haut ce que je pense, et je veux une bonne fois tenter l'épreuve qui fera voir jusqu'à quel point nos semblables, si fiers de leur liberté de pensée, supportent de libres pensées. » Friedrich Nietzsche
Répondre

Retourner vers « Blogs »