+ A la rencontre des médias à Aspen, en Province de Provence
Ce matin a été l’occasion pour moi d’aller à la rencontre de ces hommes et femmes qui nous informent en continu. FrôceNews est l’un des médias frôceux les plus écoutés et ce tant sur les ondes qu’à la télévision. J’ai donc eu l’immense honneur de partager et défendre les réformes que le PPL souhaite apporter à ce secteur d’activité qu’est l’audiovisuel.
Nous sommes conscients que le secteur de l’audiovisuel est fragile et peut à tout moment se voir influencer par des éléments externes à elle-même. L'échiquier politique frôceux n’a pour l’instant que très peu traiter ce domaine qui pour nous au PPL se doit néanmoins d'être débattu dans l’opinion publique. L’audiovisuel se doit de s’imposer mais actuellement son statut ne lui permet pas d'utiliser toutes ces prérogatives à bon escient. Il ne peut plus exister dans le monde moderne et concurrentiel dans lequel, nous vivons une organisation mixte où coexistent un secteur public et un secteur privé de l’audiovisuel. Il nous faut aujourd'hui trancher et vite et c’est ce que cadres et militants du PPL ont réalisé, nous voulons clairement une privatisation de l’audiovisuel public. Il faut aujourd’hui libérer le secteur des médias mais aussi notre économie.
Nombreux fustigeront ce point de vue, car tout simplement garder une partie de l'audiovisuel sous influence publique leur permet de continuer librement d’endoctriner par la même occasion l’ensemble des frôceux. Cela doit cesser !
Libérer l’audiovisuel et tout ce qui l’accompagne, j'appelle cela de la liberté de communication permettant à vous ainsi que ces nombreux médias d'être libre dans leur manière de penser mais aussi d’agir sans pour cela avoir des représailles et ce au nom de volonté politique de cacher et dissimuler certaines informations. La révolution libérale-conservatrice vient se porter garant de la liberté de presse par une autre vision qui est celle : que l’actualité frôceuse se doit d'être impartiale et émanant seulement du travail des professionnels du milieu. Cela démontre là encore toute l’audace et la franchise dont fait preuve le PPL à sa toute première participation aux élections législatives. On n’en aura pas autant vu !
Beaucoup pensent que l’État par son statut se doit d'être régisseur de toutes les composantes d’un pays et cela faute à un endoctrinement politique que vous et moi, nous avons trop subi. L’État est le régisseur de la République et le restera mais il ne peut pas être le régisseur de « toute » la République car dès lors, il bafoue certaines libertés comme celle de la presse. La presse est un contre-pouvoir et nous au PPL, nous souhaitons ardemment que celle-ci joue le rôle qui la désigne.
Vive la République, Vive la Frôce !
TR