Frôce - Archives V3

Madame le Premier ministre, (Chère Mara)

Je vous demande de bien vouloir me décharger de ma fonction ministérielle.

Travailler avec vous fut un réel plaisir.
J'espère pouvoir à nouveau travailler avec vous dans un avenir proche.

Veuillez agréer, Madame le Premier ministre, mes considérations les plus sincères.


Debora Da Silva
Ministre de l'Environnement et du Développement Durable

Madame le Premier ministre,

Je vous demande de bien vouloir prendre en considération ma démission.

Gouverner à vos côtés fût un plaisir mais pour des raisons personnelles je dois laisser mon poste.

Veuillez recevoir, Madame le Premier ministre, mon plus grand respect.


Jade af Thanaris

Liberté, Justice, Démocratie

HÔTEL BELLEY
11, Avenue de Phinacie
Tél.: 04 00 300 300
Fax : 04 00 300 301
Mail : info@belley.fc

DEBORA DA SILVA
12, Avenue des Artistes
Farelle

Démission

Madame la Ministre,

J'ai bien pris acte de votre démission. Je la transmettrai au Président de la République.

Je vous remercie pour le travail accompli et je vous souhaite bonne continuation dans vos projets.

Je vous prie de croire, Madame la Ministre, en l'expression de mes salutations distinguées.

Mara Galante

CABINET MARA GALANTE
11, Avenue de Phinacie
Tél.: 01 00 300 368
Fax : 01 00 300 369
Mail : info@galante.fc

Liberté, Justice, Démocratie

HÔTEL BELLEY
11, Avenue de Phinacie
Tél.: 04 00 300 300
Fax : 04 00 300 301
Mail : info@belley.fc

JADE AF THANARYS
San Juan

Démission

Madame la Ministre,

J'ai bien pris acte de votre démission. Je la transmettrai au Président de la République.

Je vous remercie pour le travail accompli et je vous souhaite bon vent dans vos projets.

Je vous prie de croire, Madame la Ministre, en l'expression de mes salutations distinguées.

Mara Galante

CABINET MARA GALANTE
11, Avenue de Phinacie
Tél.: 01 00 300 368
Fax : 01 00 300 369
Mail : info@galante.fc

Cher Christian,

Ravi de te voir entrer dans le cercle très ouvert des papas. Tu me connais, les hôpitaux, ça n'est pas mon fort avec tous ces écolos, je suis bien obligé d'assumer les pouvoirs qui m'ont été conférés ! Sinon ils vont me brûler dans du compost ! Le drame... ici, je mange bio depuis une semaine, je prends ma douche bio... avec l'eau chaude qui part n'importe quand, j'ai des ampoules qui mettent deux heures à éclairer... et je n'ai pas mes petits bébés sous la main. Bref, je sature, je commence à y voir tout vert ! J'ai hâte de rentrer.

Je t'ai fait parvenir un colis. Je sais ce que tu vas me dire, c'est une fille, elle vient de naître, c'est dangereux... Mais un jour, elle viendra te voir, quand elle sera en âge, et elle te dira, je veux la même, mon papounet d'amour, mais en vrai. Et là, je serais là pour te prendre en photo ! J'en ris d'avance quand tu vas devoir sortir le porte-feuille ! On verra si tu te moqueras toujours autant de moi, tiens !

Non plus sérieusement, les cadeaux, ça n'est pas mon fort. J'y suis allé à l'instinct. Et puis c'est Hélène qui paie, donc ça facilite les choses ! (Et ça va te faire tellement plaisir de lire ça !)

Tâche de veiller sur elle et ne pas la laisser dans un congélateur (cette blague là elle reste entre nous !).

Amicalement.
LD.

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Monsieur le Premier ministre,

Je tiens à vous faire part, par la présente, de mon inquiétude vis-à-vis de la décision d’Owen Calloway d’outrepasser le cadre de la loi d’accueil des réfugiés, promulguée récemment par les soins de la Présidence.

Effectivement, si je m’oppose moralement au texte, je suis respectueux de sa valeur légale sus-promulgation. Vous savez certainement que Monsieur Calloway, par le biais de son riche patrimoine immobilier, a décidé de réquisitionner une bonne partie des logements qu’il possède dans les villes n’ayant pas émis le souhait d’accueillir des migrants, afin de les mettre à disposition de ces mêmes migrants. Je rappelle que le texte, dont vous êtes l’un des investigateurs, ne rend pas obligatoire pour une municipalité le fait d’accueillir des migrants. Au-delà du caractère provocant de la décision de la famille Calloway, qui ne contribuera en rien à l’apaisement social, je considère que cette dernière outrepasse gravement le cadre juridique prévu par la loi d’accueil des réfugiés.

Est-il normal qu’un simple bailleur ait le pouvoir d’imposer à une municipalité d’accueillir des réfugiés en son sein ? L’accueil de migrants implique de nombreux coûts et donc des modifications de budget significatives. Dans la mesure où les budgets sont arrêtés annuellement, Monsieur Calloway, en agissant ainsi, est susceptible de mettre en péril les finances des municipalités qui n’avaient pas intégré cette éventualité. D’où le caractère facultatif, je l’imagine, que vous avez décidé d’intégrer à la loi d’accueil des réfugiés. En outre, il me semble que l’État doit avoir un droit de regard sur la répartition des migrants, dont certains peuvent être en situation irrégulière, sur le territoire frôceux. Ne serait-ce que pour raisons de sécurité publique et intérieure.

Je vous sollicite donc afin de connaître votre positionnement sur le sujet et de savoir quelles mesures vous seriez prêt à mettre en place pour éviter ce type de débordement abusif et contournant ouvertement la loi.

Je suis prêt à vous recevoir en l’Hôtel de Ville de Kervern pour que nous échangions sur le sujet.

Respectueusement,

Philippe de Kervern

Bastien Pommier a écrit :Madame,

Bastien Pommier est déjà rentré à Tosla-les-Bains afin de se ressourcer. Il ne pourra donc pas être présent lors de cette rencontre.

Le service communication de Bastien Pommier

Madame le Premier Ministre

C'est avec regret que je constate que vos ministres ne daignent pas se présenter à l'Assemblée Nationale pour défendre les textes de loi transmis par le gouvernement, et ce, afin que la représentation nationale puisse en débattre et voter.

Je vous prie, Madame, en tant que Premier ministre de bien vouloir rappeler à l'ordre les ministres concernés afin de garantir le bon fonctionnement de cette grande institution qu'est l'Assemblée Nationale.

Veuillez agréer, Madame le Premier Ministre, l’expression de ma très haute considération

Sébastien Le Maud
Président de l'Assemblée Nationale

Madame la Première ministre,

Ma démission à titre de Secrétaire d'État pour les Affaires Intergouvernementales est à présent officielle.

Merci, bonne continuation,

Fleur De Lisée.

Monsieur le Ministre,

J'ai bien pris acte de votre démission. Je la transmettrai au Président de la République.

Je vous remercie pour le travail accompli et je serai toujours à vos cotés, dans ces moments difficiles.

Je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, chère Jean-Baptiste, en l'expression de ma reconnaisse.

Ton amie, ta dévoué

Melinda Grant