Frôce - Archives V3

Les chiffres sont officiellement tombés. Selon les données fiables communiquées par la Cour des Comptes, la Frôce se porte économiquement bien. La croissance s'est maintenue lors de ce troisième trimestre et elle a même gagne + 0,3 points, atteignant ainsi 2,8 %. Un taux très envié par nos voisins, puisque la Frôce fait partie de l'un des seuls pays du continent européen à voir son activité économique s'épanouir. La croissance sur l'année 2014 est pour l'heure établie à environ 5,9 %. Les économistes assurent cependant que le quatrième trimestre devrait être un bon marqueur également.

Côté chômage, le taux est resté stable à 5,8 %. En cause de cette stabilité ? L'atteinte d'un plancher qualifié de structurel. Les analystes indiquent en effet qu'il sera difficile, sinon impossible de faire baisser ce taux. A moins d'une forte croissance, le nombre de chômeurs ne devrait pas bouger d'ici la fin de l'année, ou très peu.

L'inflation s'est également stabilisée à un taux de 4,4% (estimation sur l'année). Cet indicateur de bonne santé économique est actuellement surveillé de près par la Cour des Comptes. Si une stabilisation n'est pas une mauvaise chose, les économistes craignent que ne s'amorce une déflation, qui aurait forcément des effets négatifs au vu du contexte international.

Comment avec un taux de croissance trimestriel de 2,5% puis 2,8%e (soit 10,4 % puis 11,7 % annuels) pouvez vous arrivez à une moyenne de 1,9 % ?

Pour ma part les chiffres me conviennent exceptée l'inflation qui est bien trop élevée et nuit au pouvoir d'achat.

Une erreur s'est effectivement glissée dans l'article, le chiffre exact était 5,9% correspondant à une estimation sans le dernier trimestre non encore compté.

La méthode de calcul a été simple :
(PIB 2014 (à l'issue des trois premiers trimestres) - PIB 2013) / PIB 2013. Le tout multiplié par 100 pour avoir un pourcentage.

Ce qui donne :

(1097,3 - 1036.2) / 1036.2 = 0.0589 x 100 = 5.89% (arrondis au supérieur par commodité de rédaction)

L'article a été corrigé en ce sens.