Frôce - Archives V3

Vu la nature parlementaire du régime, les pouvoirs du Président seront forcément limités. Au peuple de déterminer ces limites.

Voici les solutions proposées :

Le Président de la République devient chef de la diplomatie

La perte de l'autorité du Président au niveau national est compensée par une autorité diplomatique.

Avantage : Donne une incitation pour le poste
Inconvénient : Peut supprimer un poste ministériel

Le Président de la République aura un simple rôle d'autorité morale

A part promulguer, le Président ne servira pas à grand chose.

Avantage : Est fidèle à l'esprit du régime parlementaire
Inconvénient : Le rôle devient totalement inutile, peu de volontaires donc

Le Président de la République disposera de pouvoirs de réserve pour trancher une crise politique

Le Président disposera du droit de dissolution ainsi que de l'autorité pour gérer les situations d'urgence.

Avantage : Laisse une incitation pour le poste en restant proche de l'esprit d'un régime parlementaire
Inconvénient : Beaucoup de pouvoirs pour un poste sans pondération

Le Président de la République disposera de pouvoirs diplomatiques et de réserve

Avantage : Fortes incitations pour le poste
Inconvénient : Peu fidèle au régime parlementaire

Vous pouvez également proposer votre propre compromis.

Un nouveau vote pourra être organisé si les résultats de cette consultation sont serrés.

Je vote pour la 4e hypothèse qui semble être la plus cohérente et intéressante. En effet, on perd l'aspect omniprésent du Président qui peut donner des directives dans tous les domaines, tout en lui donnant une compétence exclusive qu'est la diplomatie pour ses occupations (la question du Ministre des AE est à débattre après la mise en place d'un tel régime) et il disposerait d'un pouvoir constitutionnel (dissolution, etc...). Cela me semble est un juste milieu acceptable.

La 4ème hypothèse me convient. Le Président doit pouvoir conserver un peu de pouvoir. Le fait qu'il dirige la diplomatie et puisse en même temps se mêler d'affaires intérieures donne encore de l'intérêt au rôle.
Au final ça donnerait un président au pouvoir assez raisonnable, ni trop faible, ni trop fort.

A voté.

A voté

A voté

J'ai voté pour la 4ème hypothèse. En votant pour cette hypothèse, cela sousentend que les pouvoirs de réserve (dissolution, nomination du PM,...) du Chef de l'Etat seront limités par le contreseign ministériel et qu'il sera le premier interlocuteur de la Frôce dans le monde. Et bien entendu, un pouvoir de réserve n'a pas à inclure le droit de véto.

Je me demandais, quand vous dîtes "pouvoir diplomatique" cela comprend à la fois les affaires extérieures et la Défense, ou simplement les affaires extérieures (diplomatie)?

Car bon, la Défense (opérations extérieures) est quand même l'une des compétences exclusives d'un Chef d'Etat, selon moi. Donc diplomatie + Défense + pouvoirs constitutionnels (dissolution), ça peut avoir de la "gueule".

Cela nous ferait un Président pour les affaires extérieures, et un Premier Ministre pour les affaires intérieures.

Je suis ouverte au débat

Par diplomatie, on parlait des attribution du ministre des affaires étrangères.
Il est évident que quoi qu'il se passe, le Président reste commandant en chef des forces armées, c'est une prérogative essentielle du chef de l'Etat.

Et je confirme à Colin que quel que soit le résultat, il n'y aura pas de droit de veto.

A voté.

La mise à disposition du Président de pouvoirs diplomatiques et de réserve recueille la majorité absolue.
Cette option sera donc intégrée au projet.