Sur ordre de la Ministre de l’Intérieur et de la Défense, le dispositif de sécurité s'est déployé peut après 21h00 dans la capitale, 750 et gendarmes mobile et 1500 policiers supplémentaires ont été réquisitionné pour assurer la sécurité des biens et des personnes à Aspen.
L'Arquebuserie mobile en position :
Déploiement de l'Arquebuserie mobile :
Déploiement de la Police :
Les sapeurs-pompiers sont arrivée vers 16h dans la capitale :
Deux Hélicoptères de l'Arquebuserie et de la sécurité civiles mobilisées :
[imageagauche=http://img199.imageshack.us/img199/330/hommecache.jpg]C'est sur internet que Kristian avait entendu parler de la manifestation de la ligue masculine, laquelle l'intriguait au plus haut point.
Quelles pouvait bien être les révendications de ces hommes ? Pouvait ils, d'une manière ou d'une autre, porter préjudice à ses confrères ?
A quel niveau la ministre de l'intérieur, déjà sous surveillance, était-elle impliquée ?
Kristian devait savoir.
Au petit matin, il s'installa à la terasse d'un café, s'assurant de n'être pas visible depuis l'esplanade, remonta sa capuche, et commanda un journal et un expresso.
Il demanda au serveur de ne pas être déranger jusqu'à 15h30, et à ce qu'un nouvel expresso lui soit apporté chaque heure. Il paya tout d'avance et offrit un généreux pourboire au serveur. [/imageagauche]
Sur son balcon, regardant d'un oeil intrigué les forces de l'ordre autour des centaines d'hommes manifestants, Edouard se demandait pourquoi un tel dispositif de protection. La ministre n'a décidément pas envie qu'il y ait d'incident, lui serait ce préjudiciable ? Que prépare-t-elle ? C'était les questions qu'Edouard se posait en buvant son thé dominical.
Il décida alors de s'intéresser aux manifestants. "la ligue masculine" ? Il n'en avait jamais entendu parler. Rien sur internet ne démontrait une certaine violence de leur part en manifestations, au contraire leur vice président Rooky semblait ne pas vouloir de dérapages.
Alors qu'il s'interrogeait sur cette étrangeté, il vit trois serveurs parlés entre eux. Ils semblaient soucieux, jetant tous successivement des regards vers un coin du Bar qu'Edouard ne voyait pas. Que regardent-ils ? s’interrogea le jeune homme. En allant préparer sa quatrième tasse de thé il conclue sur l'étrangeté de sa première matinée en Frôce.