Frôce - Archives V3

Chers Frôceuses, chers Frôceux,
J'ai choisi de lancer ma campagne dans la capitale, une capitale animée et qui était parfaite pour débuter le long chemin qu'est l'élection présidentielle. Je tiens à le dire, je serais, en cas de victoire le président de tous les citoyens : hommes et femmes, diplômés ou non, riche ou pauvre, chrétiens, juifs, musulmans et athées. Je pense que l'on peut refonder notre système judiciaire qui n'a plus ni de sens, ni de signification. L'enseignement universitaire et cher et les étudiants s'endettent, nous devons rendre gratuit cet enseignement supérieur.
En matière de justice, en cas de victoire, je dissoudrai l'Assemblée Nationale et égaliserai l'accès au système judiciaire.
Je m'adresse aux médias qui me poseraient la question, oui, j'ai des noms pour l'Hotel Belley, un ressort du lot, et je suis en train de discuter avec lui de cette nomination.
Je suis en train de détailler mon programme que je rendrai public sur mon compte Pluzin.
Je demande à l'ensemble des citoyens de voter selon leur conscience, mais pour le bien de leur pays.
Vive la Frôce!

Gérard avait assisté à tout le discours, il alla interviewer le candidat.
Bonsoir M. Richard, quel est l'enjeu de ce meeting?

Bonsoir de lancer rapidement ma campagne pour être prêt.

Un de vos collaborateurs m'a dit pendant le meeting que vous pensiez à Valérie Boyé pour aller à l'hôtel Belley, c'est vrai?

Totalement faux, j'ai pensé à une personne dont l'expérience est tellement grande qu'elle arriverai pour la deuxième au poste de Premier Ministre.

Bien, nous pouvons reprendre.

Vous n'avez, pas attaqué la droite dans ce meeting, pourquoi?

Car j'ai beaucoup appris de ma dernière campagne, j'attaquerai la droite, c'est certain mais pas aujourd'hui. Maintenant, je dois partir, merci.
Il quitta la pièce