BIOGRAPHIE
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Née le 6 septembre 1970 à Kervern (Kerverno en italien) (Lombardie), mais originaire de France par son père (né à Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor - Bretagne), Hélène a passé une enfance calme malgré les faits d'armes de ses parents pendant la dictature. En effet son père était communiste révolutionnaire et sa mère, anarchiste chevronnée, discrète mais efficace... Leur implication, surtout leur fils aîné, dans un attentat contre les locaux régionaux de la Veilleuse de Chouchenn le 11 mars 1985, signa leur arrêt de mort. En effet, quelques semaines plus tard et au bout d'une enquête acharnée et minutieuse, la Veilleuse alla les "cueillir" à leur domicile un certain 22 avril 1985.
Une jeunesse banale ou presque
Hélène a toujours été serviable et à l'écoute de l'autre, dans un profond respect de l'éducation qui lui avaient inculqué ses parents, anarchiste et communiste... Jusqu'à l'âge de 14 ans, elle suivit une scolarité normale, ayant de bonnes facultés intellectuelles... L'arrivée en seconde marque un tournant dans sa vie. Son premier amour, sa première nuit torride... Bref, l'année de la découverte en somme ! Mais souvent le cas pour nombre de garçons et de filles de son âge ![/imageagauche]
Le 22 avril 1985
[imageadroite=http://img4.hostingpics.net/pics/440075531.jpg]Le matin du mardi 22 avril 1985, le père de Hélène, Yannig Le Menn reçu un coup de téléphone de l'un de ses camarades et grand ami pour lui annoncer qu'il avait vu la Veilleuse se diriger vers leur quartier... Étant sur leurs gardes depuis l'attentat contre le Commissariat Central de Chouchenn, les parents prirent donc la décision au moment d'amener les filles au lycée et l'école, de les cacher dans la cave dissimulée aux yeux de tous et prévue à cet effet... Puis quelques minutes plus tard, les miliciens arrivent chez les Le Menn. Le père ouvre et se fait frapper au visage violemment entraînant un cri horrible de la mère, Stéphanie... Les deux filles commencent à s'inquiéter ! Et étant l'aînée, Hélène prend sa sœur dans ses bras pour la calmer car un simple bruit pourrait les dénoncer ! En pendant qu'elle essaye de consoler et de rassurer sa sœur, elle jure qu'elle la protégera jusqu'à la fin de sa vie... En entendant que quelqu'un avait ouverte la cage cachée, affolée, les deux sœurs se cachèrent ! Mais en voyant le jeune milicien, Hélène se releva et se montra à l'intrus ! Ce dernier était mignon mais trop jeune pour l'adolescente "mangeuse d'hommes", du fait d'avoir eu un an 6 aventures... Il leur assura qu'il ne dirait rien aux autres. Mais après qu'ils aient quitté la maison, Hélène pensait que ses parents avaient été accusés à tord, la naïveté de la jeunesse en quelque sorte ! Mais cinq coups de feu retentirent accompagnés des peurs sans précédent qui envahissaient les esprits de Hélène et Solenn, la petite dernière... Hélène lui demanda de rester cachée ici, en allant savoir ce qui s'était passé devant la maison. Elle prit le soin de sortir par derrière et de se cacher dans un bosquet où on pouvait avoir la meilleure vue de l'environnement ! C'est alors qu'elle vit la satisfaction des miliciens monter dans le camion et la berline pendant que le jeune garçon chargeait les corps de ses parents et de son frère... Se remémorant les paroles du garçon qui disait que tout allait bien se passer... C'était donc en plus des sentiments de rage envers la milice et de tristesse qu'elle sentit la trahison et le dégoût s'emparer d'elle à la vue de ce beau garçon... Depuis ce jour, elle s'est jurée à elle-même ainsi qu'à sa sœur qu'elle ferait payer cette trahison à ce garçon ![/imageadroite]
Le reste de la dictature par l'œil de Hélène
A part ce terrible 22 avril 1985, Hélène n'aimait pas la dictature, mais en fit abstraction du fait de sa jeunesse et de son innocence... Ses grands-parents maternels avaient eu toutes les peines du monde à récupérer leurs deux petites filles, qui avaient été recueilli par le meilleur ami du père Le Menn... Donc pendant deux ans, les deux sœurs vivaient cachées à Paris, chez un certain Daniel Gallon, qui avait écumé l'Amérique Latine, enfin une partie avec le père des deux filles. En 1990, elles rentrèrent toutes les deux à Chouchenn, finir leurs études. Mais eurent du mal démontrer que leurs diplômes pouvaient être valables en Frôce... Ayant obtenu son bac à 20 ans, Hélène entreprit des études de sociologie à l'Université de Chouchenn-2 pendant 3 ans, le temps d'avoir la Licence ! Ayant passé sans encombre, le diplôme d'assistante sociale, elle obtint dans la foulée un poste dans un lycée difficile de la banlieue de Chouchenn.
[imageagauche=http://img4.hostingpics.net/pics/905603hlne3.png]Puis apprenant comme tous les Frôceux, l'ouverture du procès à titre posthume du Général Charles Lacroix de Beaufoy et de son régime en général, Hélène avait décidé de rejoindre l'Association des Familles de Victimes afin d'avoir plus de poids. Malgré le déboutement du petit-fils du dictateur, Louis-Damien Lacroix de Beaufoy par la justice frôceuse - ce petit garçon qui avait 12 ans qu'il lui promit que rien n'allait arriver à sa famille - Hélène se sentit trahie par la justice de son pays, dernière institution en laquelle elle croyait se reposer pour vivre plus tranquillement et connaître la vérité sur le massacre de sa famille. Histoire de conclure son deuil également.
Et plus elle vieillissait et en voyant le petit fils, et son charme augmentant d'années en années. Mais sa rage prit le dessus sur son côté humaniste et ouvert ,Laissant toujours une seconde chance aux autres... C'est pourquoi, deux semaines après le procès, elle porta plainte contre Lacroix de Beaufoy pour meurtre pour sa famille et tentative de meurtre sur sa personne et celle de sa jeune sœur ! Mais par manque flagrant de preuves, il fut encore innocenté... Terrible désillusion pour Hélène et sa sœur ![/imageagauche]
La réconciliation.
Petit à petit, Hélène se rendit compte qu'un tel acharnement envers Louis-Damien Lacroix de Beaufoy était inutile. Elle, qui donnait à tout le monde une seconde chance, se dit que c'était scandaleux de sa façon de pensée et de faire. En engageant un détective véreux, du nom de Alan Hamilton, elle essaya de renouer le contact avec le "beau brun". Et avec succès !
En effet, Louis-Damien Lacroix de Beaufoy et Hélène, Solenn Le Menn se marieront le 17 février 1998 à la Mairie de Chouchenn. Étant de confession juive, Louis-Damien, avec l'accord de sa nouvelle femme, athée, se marieront également selon le rituel juif.
Le 5 novembre 1998, Hélène donna naissance à des jumeaux, Alexandre et Daniel. Pour l'anecdote tragique, la jeune femme attendait des triplés. La sœur de Daniel et Alexandre mourut in utero... Elle devait se dénommée Clémentine...
Entre temps Hélène s'est aguerrie en tant femme politique en marge de son métier d'assistante sociale. Elle a occupé la fonction de dirigeante du "Parti Communiste et des Partisans", héritier de la branche communiste de la Résistance pendant la 2nde Guerre Mondiale ou pendant la Dictature. Elle fut Ministre du Développement Durable au sortir de la Dictature en 2010. Depuis le 10 décembre 2013, vers 22h00, Hélène fut nommé par le Conseil National des Citoyen-ne-s et Républicain-e-s (CNCR) en accord avec l'Armée et les anciens dirigeants des partis dissous de façon arbitraire par la future reine tyrannique, Isabel de Trastamara, Présidente de la République Frôceuse par intérim. Elle était chargée de rédiger une nouvelle constitution (instaurant le principe de "démocratie directe" et d'organiser de nouvelles élections présidentielles.
Une jeunesse banale ou presque
Hélène a toujours été serviable et à l'écoute de l'autre, dans un profond respect de l'éducation qui lui avaient inculqué ses parents, anarchiste et communiste... Jusqu'à l'âge de 14 ans, elle suivit une scolarité normale, ayant de bonnes facultés intellectuelles... L'arrivée en seconde marque un tournant dans sa vie. Son premier amour, sa première nuit torride... Bref, l'année de la découverte en somme ! Mais souvent le cas pour nombre de garçons et de filles de son âge ![/imageagauche]
Le 22 avril 1985
[imageadroite=http://img4.hostingpics.net/pics/440075531.jpg]Le matin du mardi 22 avril 1985, le père de Hélène, Yannig Le Menn reçu un coup de téléphone de l'un de ses camarades et grand ami pour lui annoncer qu'il avait vu la Veilleuse se diriger vers leur quartier... Étant sur leurs gardes depuis l'attentat contre le Commissariat Central de Chouchenn, les parents prirent donc la décision au moment d'amener les filles au lycée et l'école, de les cacher dans la cave dissimulée aux yeux de tous et prévue à cet effet... Puis quelques minutes plus tard, les miliciens arrivent chez les Le Menn. Le père ouvre et se fait frapper au visage violemment entraînant un cri horrible de la mère, Stéphanie... Les deux filles commencent à s'inquiéter ! Et étant l'aînée, Hélène prend sa sœur dans ses bras pour la calmer car un simple bruit pourrait les dénoncer ! En pendant qu'elle essaye de consoler et de rassurer sa sœur, elle jure qu'elle la protégera jusqu'à la fin de sa vie... En entendant que quelqu'un avait ouverte la cage cachée, affolée, les deux sœurs se cachèrent ! Mais en voyant le jeune milicien, Hélène se releva et se montra à l'intrus ! Ce dernier était mignon mais trop jeune pour l'adolescente "mangeuse d'hommes", du fait d'avoir eu un an 6 aventures... Il leur assura qu'il ne dirait rien aux autres. Mais après qu'ils aient quitté la maison, Hélène pensait que ses parents avaient été accusés à tord, la naïveté de la jeunesse en quelque sorte ! Mais cinq coups de feu retentirent accompagnés des peurs sans précédent qui envahissaient les esprits de Hélène et Solenn, la petite dernière... Hélène lui demanda de rester cachée ici, en allant savoir ce qui s'était passé devant la maison. Elle prit le soin de sortir par derrière et de se cacher dans un bosquet où on pouvait avoir la meilleure vue de l'environnement ! C'est alors qu'elle vit la satisfaction des miliciens monter dans le camion et la berline pendant que le jeune garçon chargeait les corps de ses parents et de son frère... Se remémorant les paroles du garçon qui disait que tout allait bien se passer... C'était donc en plus des sentiments de rage envers la milice et de tristesse qu'elle sentit la trahison et le dégoût s'emparer d'elle à la vue de ce beau garçon... Depuis ce jour, elle s'est jurée à elle-même ainsi qu'à sa sœur qu'elle ferait payer cette trahison à ce garçon ![/imageadroite]
Le reste de la dictature par l'œil de Hélène
A part ce terrible 22 avril 1985, Hélène n'aimait pas la dictature, mais en fit abstraction du fait de sa jeunesse et de son innocence... Ses grands-parents maternels avaient eu toutes les peines du monde à récupérer leurs deux petites filles, qui avaient été recueilli par le meilleur ami du père Le Menn... Donc pendant deux ans, les deux sœurs vivaient cachées à Paris, chez un certain Daniel Gallon, qui avait écumé l'Amérique Latine, enfin une partie avec le père des deux filles. En 1990, elles rentrèrent toutes les deux à Chouchenn, finir leurs études. Mais eurent du mal démontrer que leurs diplômes pouvaient être valables en Frôce... Ayant obtenu son bac à 20 ans, Hélène entreprit des études de sociologie à l'Université de Chouchenn-2 pendant 3 ans, le temps d'avoir la Licence ! Ayant passé sans encombre, le diplôme d'assistante sociale, elle obtint dans la foulée un poste dans un lycée difficile de la banlieue de Chouchenn.
[imageagauche=http://img4.hostingpics.net/pics/905603hlne3.png]Puis apprenant comme tous les Frôceux, l'ouverture du procès à titre posthume du Général Charles Lacroix de Beaufoy et de son régime en général, Hélène avait décidé de rejoindre l'Association des Familles de Victimes afin d'avoir plus de poids. Malgré le déboutement du petit-fils du dictateur, Louis-Damien Lacroix de Beaufoy par la justice frôceuse - ce petit garçon qui avait 12 ans qu'il lui promit que rien n'allait arriver à sa famille - Hélène se sentit trahie par la justice de son pays, dernière institution en laquelle elle croyait se reposer pour vivre plus tranquillement et connaître la vérité sur le massacre de sa famille. Histoire de conclure son deuil également.
Et plus elle vieillissait et en voyant le petit fils, et son charme augmentant d'années en années. Mais sa rage prit le dessus sur son côté humaniste et ouvert ,Laissant toujours une seconde chance aux autres... C'est pourquoi, deux semaines après le procès, elle porta plainte contre Lacroix de Beaufoy pour meurtre pour sa famille et tentative de meurtre sur sa personne et celle de sa jeune sœur ! Mais par manque flagrant de preuves, il fut encore innocenté... Terrible désillusion pour Hélène et sa sœur ![/imageagauche]
La réconciliation.
Petit à petit, Hélène se rendit compte qu'un tel acharnement envers Louis-Damien Lacroix de Beaufoy était inutile. Elle, qui donnait à tout le monde une seconde chance, se dit que c'était scandaleux de sa façon de pensée et de faire. En engageant un détective véreux, du nom de Alan Hamilton, elle essaya de renouer le contact avec le "beau brun". Et avec succès !
En effet, Louis-Damien Lacroix de Beaufoy et Hélène, Solenn Le Menn se marieront le 17 février 1998 à la Mairie de Chouchenn. Étant de confession juive, Louis-Damien, avec l'accord de sa nouvelle femme, athée, se marieront également selon le rituel juif.
Le 5 novembre 1998, Hélène donna naissance à des jumeaux, Alexandre et Daniel. Pour l'anecdote tragique, la jeune femme attendait des triplés. La sœur de Daniel et Alexandre mourut in utero... Elle devait se dénommée Clémentine...
Entre temps Hélène s'est aguerrie en tant femme politique en marge de son métier d'assistante sociale. Elle a occupé la fonction de dirigeante du "Parti Communiste et des Partisans", héritier de la branche communiste de la Résistance pendant la 2nde Guerre Mondiale ou pendant la Dictature. Elle fut Ministre du Développement Durable au sortir de la Dictature en 2010. Depuis le 10 décembre 2013, vers 22h00, Hélène fut nommé par le Conseil National des Citoyen-ne-s et Républicain-e-s (CNCR) en accord avec l'Armée et les anciens dirigeants des partis dissous de façon arbitraire par la future reine tyrannique, Isabel de Trastamara, Présidente de la République Frôceuse par intérim. Elle était chargée de rédiger une nouvelle constitution (instaurant le principe de "démocratie directe" et d'organiser de nouvelles élections présidentielles.
- Prénoms et Nom de Naissance : Hélène Solène Le Menn
- Date de naissance : 2 septembre 1970
- Lieu de naissance : Kervern (Lombardie)
- Conjoint :
- Louis-Damien Lacroix de Beaufoy
- Enfants :
- Alexandre (né en 1998)
- Daniel (né en 1998)
PARCOURS SCOLAIRE ET ÉTUDIANT -- VIE PROFESSIONNELLE - CURSUS :
- Brevet National d’Enseignement Scolaire (BNES), série SES - mention "bien" : juin 1988
- Licence "Sciences de l’Éducation" : juin 1991
- Diplôme d'Assistante Sociale : juin 1994
- VIE PROFESSIONNELLE :
- Maison de quartier et de la jeunesse "Thomas Rolland" de Kervern en tant qu'assistante sociale : septembre 1994 à août 2005
- Maison de quartier de la jeunesse "Yannick Le Menn" de Chouchenn en qualité d'assistante sociale : septembre 2005 à juillet 2011
- Pôle social municipal de Vauxin en qualité d'assistante sociale : depuis septembre 2011
PARCOURS POLITIQUE - FONCTIONS MINISTÉRIELLES OU ASSIMILÉES
- Du 10 au 24 août 2010 : Ministre du Développement Durable sous le gouvernement Valmont II ;
- Du 20 octobre au 24 décembre 2010 : Conseillère spéciale auprès du Président de la République de l'époque, Louis-Damien Lacroix de Beaufoy, chargée des Affaires Sociales ;
- FONCTIONS PARLEMENTAIRES
- du 1er avril 2013 au 9 juin 2013 : Représentante parlementaire sous l'étiquette "RSE" (15 député-e-s) ;
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- FONCTIONS POLITIQUES
- Depuis le 10 décembre 2013 : Présidente de la République Frôceuse par intérim ;