Frôce - Archives V3

J'annonce officiellement ma volonté de quitter le Parti d'Unité Républicaine et je retire mon soutien apporté à Gaspard Salcedo sur twitter. Avant d'expliquer cette volonté qui est mienne, je tiens à préciser que ce n'est en aucun cas une décision prise du fait de querelles personnelles ou en toute hâte. En effet, bien que n'ayant pas contribué au travail de construction du PUR, en raison de ma charge juridique à la Cour Suprême que je m'oblige sans cesse à honorer, j'ai suivi de très près l'évolution idéologique du parti politique auquel j'ai adhéré. Je pensais naturel de poursuivre le combat pour la Frôce en soutenant l'initiative de M. Salcedo, dans la droite ligne de l'Union pour une Démocratie Républicaine.
Avec la création du Parti Libéral et la fortification du PUR, je me suis longuement posé la question du cheminement politique de ces deux mouvements successifs et c'est pour être en conformité avec mes idées que j'ai souhaité quitter le parti. Je ne considère pas le conservatisme outrancier ou le libéralisme sans bornes comme une solution pour la Frôce et j'ai toujours défendu depuis la création de l'UDR, des idées centristes et humanistes, quoiqu'en pensèrent certains compagnons qui furent du même bord à l'époque.
C'est le programme électoral du PUR pour la présidentielle qui m'a définitivement conduit à entériner ce choix et à l'annoncer de manière publique. Je souhaite bonne chance à M. Salcedo et à mes compagnons du PUR.

Je ferai une autre déclaration pour préciser mes intentions, dire si je soutiens publiquement un candidat, si oui lequel, et je déterminerai quelle perspective je compte définir pour la suite de mon engagement politique en faveur de la Frôce et des frôceux.

François Bertrand.

C'est le programme électoral du PUR pour la présidentielle qui m'a définitivement conduit à entériner ce choix et à l'annoncer de manière publique.

Je ne considère pas le conservatisme outrancier ou le libéralisme sans bornes comme une solution pour la Frôce

et j'ai toujours défendu depuis la création de l'UDR, des idées centristes et humanistes, quoiqu'en pensèrent certains compagnons qui furent du même bord à l'époque.

J'estime dans ma tâche de président de la Cour Suprême avoir agit avec droiture, rectitude et en toute impartialité. M. Valbonesi m'impute la responsabilité d'une décision qui est prise au nom de l'institution et non d'une personne, personnifiant la décision de la Chambre électorale de la Cour suprême en affirmant qu'elle est motivée par une manipulation politique de ma part.
J'ai bien trop de dignité pour répondre à ces accusations fallacieuses. Si j'ai une demande d'explications de la part de l'Assemblée Citoyenne, j'y répondrai avec clarté en fondant les raisonnements de la Cour tout en prenant sur moi la responsabilité des arrêts publiés au nom de la Cour. Sans quoi comme je l'ai toujours fait face aux critiques (positives ou négatives) des uns et des autres sur le travail de l'institution, je ne m'abaisserai jamais à répondre aux attaques personnelles. J'ai bien trop de considération pour l'instance que je représente et qui a un rôle fondamental dans notre République pour me soumettre ainsi à des considérations de basse besogne, bien en deçà de la politique de caniveau.

J'exprimerai mon choix de soutien pour l'élection présidentielle à l'issue de la campagne, après avoir écouté chacun des candidats défendre ses idées. Quant à mon avenir politique, je le laisse en suspens. Je n’adhérerai ni ne créerais de parti politique, je redeviens libre, je me concentrerai à mes fonctions de président de la Cour Suprême.

François Bertrand.