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Découvrez la machination qui s'est mise en place derrière la formation du nouveau gouvernement ![/centrer]
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Julie de St-Imberb en Mai 2014, avec son réel conjoint paparazzi[/centrer]
[quote][justifier]Ça y est, après plusieurs jours de tractations et autres tentatives de pronostics, le président Adam Sander a enfin dévoilé le contenu du premier gouvernement administré par Julie de St-Imberb. Il n'y a pas de véritable surprise, serait-on tenté de dire... Oui mais. Comme à son habitude, l'équipe d'investigation journalistique de Médiasera a voulu aller plus loin en s'intéressant en premier lieu à l'envers du décor. Celui que les Frôceux et adversaires politiques ne sont censés connaître en aucun cas. Nous avons pris le courage de nous attaquer à cette sérieuse affaire. Oui, car il y a bien lieu de parler d'affaire, voire même de scandale, serait-on tenté d'avancer. Une fois de plus, Médiasera effectue correctement son travail d'information au service du peuple, et vous dévoile un nouveau stratagème politique, aussi complexe que celui qui fit le succès de notre article du 1er Juin 2014. Les manigances d'un lobby de gauche : révélations.
ADAM SANDER, UN NÉOPHYTE BIEN MAL ENTOURÉ
Vous le saviez, nous vous l'avions rappelé. Le président Sander, encore candidat à l'époque, ne disposait pas d'une réserve de voix suffisante pour composer indépendamment, de la façon dont il souhaitait. Fraîchement élu, le désormais ex-maire de Farelle s'est retrouvé dans le grand bain et a dû se presser à nommer un premier ministre... Poste déjà pourvu avant même sa victoire au second tour Dimanche dernier face à Julien de la Tour. En effet, la plupart d'entre vous saviez déjà que Julie de St-Imberb serait nommé premier ministre. C'était, en effet, tellement prévisible. Toutefois, ce que vous ne savez pas encore, c'est qu'une véritable ruse aux relents d'envie de pouvoir s'est exercée derrière tout cela. Si l'on ne peut pour le moment pas remettre en cause la transparence de Mara Galante, ce n'est pas le cas de Julie de St Imberb. Cette dernière a eu l'art de manipuler Adam Sander. Nous pouvons vous confirmer que Julie de St Imberb n'a accepté d'aider le candidat Sander dans les débats du second tour face au redoutable Julien de la Tour qu'en cas de garantie d'obtenir le poste de premier ministre. Le désormais président a hésité un moment car il était déjà en contact avancé avec Mara Galante qui était de loin sa favorite pour ce poste. Il a finalement accepté le deal proposé par la jeune St-Imberb sans en aviser, par la suite, Mara Galante. Sûrement pour éviter de ne voir un soutien de poids quitter son panel de soutiens en profit d'un autre. C'est bien là le seul moment où Adam Sander a pu faire preuve de capacité analytique durant la campagne du second tour. Car ce qu'il n'a pas vu, Médiasera l'a vu très tôt : Julie de St-Imberb a toujours cherché à s'assurer de posséder un maximum de pouvoirs, peu importe la façon de les obtenir. Celle qui avait feint de soutenir le candidat officiel de la Fédération Progressiste au premier tour avait bien compris qu'en cas d'échec de Daniel Gallon - qui lui aussi l'aurait pourvue d'un poste de ministre en cas de victoire - elle pourrait se rabattre sur l'indépendant Sander pour obtenir le poste le plus important. De plus, nous pouvons logiquement avancer que Gallon ne l'aurait pas choisie elle en tant que premier ministre, ce qui explique sa défection secrète au profit de Sander pendant la campagne, plantant ainsi un premier surin dans le dos de l'emblématique Daniel Gallon.
APRÈS L'INTIFADA AU SEIN DE LA GAUCHE, LA RAZZIA SUR LA FRÔCE
Car Julie de St-Imberb a rondement mené son impétueuse progression politique en débutant par l'organisation d'un soulèvement au sein de la gauche. De source sûre, nous pouvons vous affirmer que son père Marc de St-Imberb la coache activement en vue de mener un combat qui lui tient à cœur... Ou plutôt un désir de vengeance. Celui-ci n'a, dit-on à gauche, jamais digéré sa défaite face à Julien de la Tour en Avril 2014. Il en voudrait à beaucoup de monde, à commencer au CAR qu'il estime ne pas s'être assez mobilisé durant sa propre campagne. Sa fille Julie est donc l'aubaine de régler, indirectement, ses comptes avec la gauche de la gauche. C'est Julie de St-Imberb elle-même qui avait annoncé la création de la Fédération Progressiste à l'issue du revers présidentiel d'Avril... Et elle aussi qui a annoncé récemment la fusion prochaine du CAR et de la FDF. Que faut-il lire entre les lignes ? Tout simplement que la Fédération Progressiste n'était qu'une manière d'épurer l'ensemble de la gauche des éléments forts de l'extrême-gauche, et donc de signer l'arrêt de mort du CAR... Et donc de récupérer ses électeurs pour devenir le seul vaisseau représentatif à gauche. Toujours dans une logique de recherche du pouvoir à tout prix, Julie de St-Imberb s'est oeuvrée en coulisses à convaincre certaines personnalités de la gauche radicale de tourner le dos à la mouvance Gallon, autrement dit le courant le plus originel et attaché aux idéaux antilibéraux et révolutionnaires. Celui qui jadis, fit la force du CAR. Tout ça pour les ramener vers une tendance dénaturée de la gauche, celle qui s'éloigne bien rapidement de son idéologie de base pour constituer une sorte de mix politique impropre. Ainsi, la néo-première ministre a-t-elle pu convaincre Nakamura et Le Menn de la rejoindre au gouvernement, en l'échange de quoi ces deux dernières auront pour mission d'activer ce processus d'aspiration du CAR par la gauche Imberbiste. Marc de St-Imberb s'est d'ailleurs félicité, au téléphone avec sa fille, d'avoir pu planter un deuxième couteau dans le dos de Daniel Gallon. Ce dernier a en effet dû l'avoir mauvaise. Son parti aspiré par l'entité dirigée par la famille St-Imberb, ses anciens plus proches soldats ayant également fait défection. Insulte suprême : la fille de St-Imberb entretient une relation avec son propre fils. Relation intéressée car cette dernière ne s'est mise en couple avec Antoine Gallon que pour soutirer des informations précieuses sur "Dany le rouge", sur sa famille et sur le CAR... Pour mieux achever ces derniers. Julie de St-Imberb serait d'ailleurs également en couple, en même temps, avec un paparazzi connu lors d'un meeting de son père en Mars 2014. Si le "gallonisme" est en voie d'extinction, la Frôce risque, elle aussi, de l'être. Car Mademoiselle de St-Imberb ne possède aucune expérience du haut niveau politique, et demeure bien jeune pour détenir une responsabilité aussi importante. Nombre de ses adversaires politiques mais aussi de personnes de son propre camp s'interrogent effectivement sur sa capacité à diriger un gouvernement. Et beaucoup de spécialistes pensent que la Frôce pâtira de cette disparité entre le précédent gouvernement, mené par Gino Finacci, et le nouveau. Alors que le président Sander vient à peine d'être élu, l'on ne parle déjà plus que de son premier ministre. Cela révèle bien le fait que le président n'est, finalement, qu'une marionnette consciencieusement agitée par Julie de St-Imberb aux profits non pas de la gauche, mais de sa famille et en particulier de son père.
UN DROIT DE VETO CONFIRMÉ
Autre information de premier plan : Julie de St-Imberb a totalement imposé la composition du gouvernement à Adam Sander. Ce dernier n'a eu d'autre choix que d'accepter ce qui était bien éloigné de ses volontés d'origine. En effet, le président était conseillé, durant la campagne du second tour des Présidentielles par... Thomas de Kervern. Lequel était parvenu à convaincre Sander de faire entrer Elias Zaynoun au gouvernement et lui avait conseillé de nommer Mara Galante à l'économie. Julie de St-Imberb a dit NON : Zaynoun au gouvernement, cela aurait été dangereux pour elle, tant ce dernier sait lire entre les lignes, et il l'a bien prouvé à plusieurs reprises. Quant à Galante... Elle ne l'apprécie pas du tout. Voilà pourquoi St-Imberb a forcé Sander à nommer Galante à un humiliant poste de ministre de l'Environnement. Celui que tous les anciens ministres considèrent comme le placard gouvernemental. Certes, Galante est une spécialiste du domaine. Mais elle aurait pu logiquement viser plus haut, étant donné son rôle de soutien actif envers Adam Sander durant le second tour. Sander a, un temps, également envisagé de faire entrer le contesté Colin Gilbert dans son gouvernement, pour marquer son ouverture au centre et à droite. D'ailleurs, le président apprécie particulièrement le franc-parler de Colin Gilbert et en a fait part à plusieurs reprises à ses proches collaborateurs. Adam Sander voulait également Thomas François mais n'a même pas eu le temps de contacter ce dernier que Julie de St-Imberb avait déjà mis son veto. Elle lui a au final imposé Nakamura, que Sander n'apprécie pas, et Le Menn qu'il ne connaissait même pas personnellement. Et pour cause, cette dernière était inactive depuis des années. Enfin, Julian Rodriguez est un ami personnel de Mademoiselle de St-Imberb. Sa présence au gouvernement a aussi été imposée par cette dernière au président Sander qui aurait préféré Asuka Finacci à la Justice. Une nouvelle démonstration de faiblesse du président de la République au profit de son premier ministre. On se demande même qui est réellement le président.[/justifier][/quote]
[droite]Marie-Lou Benayoun[/droite][/i][/police]