Frôce - Archives V3

L'URJF ne prendra pas la peine de solliciter une défense, ni même une argumentation. La justice ne peut condamner l'URJF pour avoir mis au grand jour la vérité. Et si tel était le cas, elle prouverait sa partialité la plus totale et sa soumission au système politique actuel.

Concernant votre islamophilie ainsi que votre antisémitisme, ceux-ci sont totalement avérés par le biais de votre action politique. Et concernant la pédérastie... Certaines informations circulent à votre sujet et à celui du Président de la République, et mieux vaut pour vous que je ne les étale pas ici. L'URJF ne cédera pas à l'utilisation de la justice comme moyen de pression afin de porter atteinte à sa liberté d'expression.

Madame/Monsieur,

Par une décision rendue le 13 Octobre 2014, par le Tribunal Pénal d'Aspen, j'ai été condamné au paiement d'une amende équivalent à 27,5 % de ma fortune personnelle, assortie d'une peine d'inéligibilité de 6 mois et de perte de droits civiques de 3 mois au bénéfice de Louis-Damien Lacroix de Beaufoy.

Par la présente, je vous informe que je conteste vivement cette décision au motif que la peine prononcée est totalement démesurée : il n'y a aucune raison que je remette la quart de ma fortune personnelle à Monsieur Lacroix de Beaufoy alors que je ne suis pas directement attaquée. La plainte concerne en effet l'URJF en tant que personne morale. Les possessions personnelles de sa présidente ne peuvent donc être légalement engagées pour ce type de procédure. Je rajoute que cette affiche a été créée et diffusée sur Internet par certains de nos militants sans que le bureau directeur n'en ait été informé. Je n'étais donc pas au courant de la diffusion de cette dernière jusqu'à la plainte de Lacroix de Beaufoy. Par ailleurs, je conteste formellement l'aspect diffamatoire de l'affiche. La pédérastie est évoquée faisant référence à certains événements qui se sont produits dans un club privé de Norijo, nommé "le 69". De nombreux témoins ont effectivement aperçu l'ensemble des hommes du gouvernement Crawford s'adonner à une partouze géante homosexuelle avec de jeunes garçons, dont la majorité de certains n'était pas avérée. Le terme "islamisme" a été utilisé compte tenu de la politique ultra antisémite menée par le gouvernement ainsi que par ses prises de position répétées en faveur des Islamistes terroristes du Hamas. La diffamation est donc totalement inexistante, hormis dans l'imagination de Lacroix de Beaufoy.

J'interjette donc appel de la décision sus-référencée et vous demande ainsi de la réexaminer.

Dans l'attente de vous lire, je vous prie d'agréer, Madame/Monsieur, mes salutations distinguées.