Réactions aux Communiqués de la Primature

[Sandrine Betieu]

Ici, vous pouvez réagir aux communiqués et interventions du Premier Ministre

[Jeanne Loriot]

Jeanne Loriot, ayant du temps à perdre, s'est rendu à la salle d'interview afin d'assister au discours du Premier Ministre. Elle était contente que c'était une femme, car elle considérait que les femmes étaient les plus compétentes dans les domaines requérant de l'autorité. Elle n'avait pas faux... Elle se fit brusquement arrêtée à l'accueil du Ministère.

Garde du corps : Bonjour, cher madame. Avez-vous une autorisation écrite pour entrer ?

Jeanne Loriot : Déjà, c'est mademoiselle ! Et non, je n'ai pas d'autorisation, mais je pense qu'on peut négocier... Vous savez, vous me laissez entrer, et je vous récupère à 20 heures, chez moi. On pourra trouver un moyen d'arranger ça.

Garde du corps : Ahhmm... Mhhhmm, je suis homosexuel.

Jeanne Loriot : Mais ! Vous n'avez... Ah !!! Bon sang. Bon, vous allez me laisser passer ou pas ?

Garde du corps : Je suis désolé, mademoiselle, mais je suis contraint de respecter les directives demandées.

Jeanne Loriot (chuchota) : Vous voulez pas un petit billet de 500€ ? J'en ai un dans ma poche, je peux vous la donner, c'est gratuit... Enfin, vous devez me laisser passer, et ce sera gratuit à ce moment là.

Le garde hésita longtemps. Il laissa la vieille femme passer. Elle continua son chemin, sans se préoccuper du garde

Garde du corps : Et mon billet ? Hein !! Et mon billet !!

Jeanne Loriot : Oups, il semblerait que je l'ai égaré quelque part...

Jeanne Loriot s'assit sur une chaise. Elle attendait que le Premier Ministre intervient.

[Nicolas Deschanel]

Nicolas Deschanel était également venu pour entendre en direct le discours du premier ministre. Il se fichait du sexe du premier-ministre, seul compte la compétence du dirigeant. Et à ce niveau là Nicolas Deschanel ne fut pas déçu. Mme Betieu a prononcé un discours à la fois court et limpide, démontrant qu'elle avait la carrure pour occupé ce poste. A la fin de son intervention décida de prendre la parole pour donner son avis au premier ministre.

Bonjour Mme le premier ministre.

Je voudrai si vous me le permettez vous faire part de ma réaction. J'ai trouvé votre discours très synthétique. Et sachez que c'est un compliment. Arriver à résumer une politique dans un texte aussi court et remarquable. Le ton employé est aussi parfaitement en symbiose avec le moment. Cependant je ne peux m'empêcher de me poser quelques questions.

La première concerne votre discours économique. Je suis parfaitement d'accord avec vous quand vous dîtes que les agents économiques, comme les politiques par ailleurs, on besoins de visibilité et que des redéfinitions des indices et des calculs sont donc nécessaires. Cependant vous restez assez flou. Qui prendra cela en charge. Le ministère de l'économie ou des instituts indépendants? Concernant le même sujet il est absolument vitale de surveiller la masse monétaire frôceuse. Pensez-vous créer une nouvelle banque centrale?

Concernant le ministère de l'intérieur vous montrez une réelle détermination. Cependant ne ce craignez-vous pas d'attaquer la liberté d'expression en empêchant les "extrémistes" d'exister?

Enfin concernant la politique de la santé il est évidemment indispensable que l'Etat joue un rôle. Mais je vous soupçonne de faire intervenir l'Etat trop souvent, comme par exemple créer des hôpitaux publics (oui pléonasme je sais).


Merci d'avance pour votre réponse Mme le premier ministre.

[Sandrine Betieu]

Le Premier Ministre prit le temps de répondre à la question avant de retourner dans son bureau

Concernant l'économie, je vous avoue que c'est assez flou. Cela est du au fait qu'il n'y a eu, pour le moment, aucune discussion faîte à ce sujet. Donc, si j'ai plusieurs propositions à ce sujet et idée précise, il me faut d'abord recueillir les avis auprès du Conseil de la République qui se charge de toutes les notions administratives du pays. En tous cas, la Cour des Comptes sera restaurée et les indicateurs seront calculés en totale indépendance. Concernant la Banque Centrale, cela dépendra de notre futur système mais je pense que ce rôle est envisageable.

Sur la sécurité, je l'ai dit. On est libre de penser ce que l'on veut. On est libre aussi de dire ce que l'on veut mais dans les limites fixées par la loi. On peut s'opposer, critiquer mais tomber dans la violence verbale, non. Car la violence verbale amène la violence physique. Cette violence sera poursuivie et condamnée par le gouvernement.

Concernant la politique de santé, nous attendrons l'audit avant de définir une politique globale de santé.

[Gaspard Salcedo]

Une lettre fut déposée dans la soirée au bureau de Mme la Premier Ministre.

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Madame la Premier Ministre,

En tant que Secrétaire Général du Conseil Représentatif des Entreprises et du Patronat de Frôce, je sollicite auprès de vous un rendez-vous pour que nous puissions échanger sur l'avenir économique de la Frôce. Portant la voix de milliers d'entrepreneurs et de patrons à la fois inquiets et pleins d'espoirs, j'estime que la tenue d'un tel échange serait bénéfique pour le pays.

Je vous prie de recevoir, Madame la Premier Ministre, l'expression de mes salutations les plus distinguées.

Gaspard Salcedo,
Secrétaire Général du CREDEP

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[Gaspard Salcedo]

Monsieur le Premier Ministre,

Je demande que le Ministre en question fasse ses excuses publiques. Il n'est pas acceptable qu'un ministre de la République insulte ainsi son peuple ou une partie de son peuple. C'est tout bonnement inacceptable, c'est du jamais vu.

@AVertin : : Des milliers de chrétiens à Aspen contre la réforme des jours fériés et les lolicons ... J'imagine que les curés manifestent car les lolicons ne sont pas assez pour assouvir leurs pulsions #pédophiles ? cc @gaspardsalcedo @philippedekervern

En l'absence de réaction de votre part, je considérerai que le gouvernement recherche la division national, ce qui en ces temps troublé est criminel. J'attends de ce pas une réaction officielle.

Cordialement,

[Philippe de Kervern]

Monsieur le Ministre,

Je rejoins Monsieur SALCEDO dans sa démarche. Il est inadmissible qu'un ministre censé représenter le peuple frôceux se permettre de telles incartades injurieuses, diffamantes envers la religion majeure de notre pays, envers l'ensemble des citoyens manifestants, envers les millions de Frôceux chrétiens, ainsi qu'envers M. SALCEDO et moi-même.

[Vincent Valbonesi]

Je me joins à la démarche de M. Salcedo. Nous attendons, au nom de millions de frôceux ayant foi dans la religion chrétienne, des excuses publiques du ministre, au pire, et une révocation du ministre, au mieux.

[Gaspard Salcedo]

J'ajouterai que ces propos sont condamnables par l'article 101 de la loi DE LA TOUR - MCGREGOR :

Toutes insultes, incitations à la haine et discriminations fondées sur l'appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une culture, un genre ou une idéologie religieuse sont proscrites, quelque soit le support sur lequel la discrimination est avérée par les services de l'Etat ou par un citoyen.
L'Etat assure le respect de ce principe dans le cadre des lois en vigueur.

[Gaspard Salcedo]

Le Premier Ministre qui se déplace sur des centaines de kilomètres pour rendre visite à une entreprise privée, comme un simple représentant de commerce. Le Premier Ministre qui organise une table ronde tout à fait amicale avec des enfoirés de la pire espèce qui ont mis en danger la vie de nos gosses pour se faire plus de pognons. Le Premier Ministre qui signe une simple clause selon laquelle les ascenseurs devront être réparés - bien sûr qu'ils le doivent ! Et cette entreprise de cons doit également être traînée devant les tribunaux, car des vies humaines ont été mises en danger ! Un simple accord à l'amiable... De quoi a-t-on l'air ? D'un Etat qu'on peut prendre à la légère ? En plus d'un Etat au sein duquel les Ministres peuvent insulter sans soucis la Religion ?

[Thomas François]

Monsieur Salcedo ,

Je vous suggère très vivement de modérer vos propos. Les personnes que vous insultez je cite "Le Premier Ministre qui organise une table ronde tout à fait amicale avec des enfoirés de la pire espèce" sont le Président de la République, deux ministres, la Cours des Comptes et moi même. Cette table ronde ne s'est pas organisée avec l'entreprise German Farstuhl.

Dernier point : si la décision de la justice ne s'est pas faite à l'heure actuelle, c'est que le manquement de German Farstuhl se serait poursuit durant la procédure judiciaire, autant vous dire quelques années. Jouer la prudence et la fermeté, plutôt que le conflit diplomatique et la justice, tel a été notre leitmotiv.

Comme il s'agit d'une habitude pour vous, je vous somme à mon tour de faire vos excuses publiques et de rester courtois avec les personnes qui se démènent pour rétablir les choses, avant que je ne porte plainte à votre encontre.

[Gaspard Salcedo]

J'avais mal lu. Ces mots n'étaient bien sûr pas dirigés vers les Ministres et haut fonctionnaires. Pour le reste, je ne retirerai pas et je n'ai pas de leçons à recevoir.

[Louis-Damien Lacroix de Beaufoy]

Réagissant au dernier communiqué du Premier Ministre, Louis-Damien déclara alors qu'on lui demandait ce qu'il en pensait :

C'est une idée et une initiative que j'approuve à 100 %. Le fait que ce sommet ait lieu entre les pays qui sont les plus proches de nous est encourageant. Monsieur Pommier et son Gouvernement ont compris toute l'importance d'une lutte coordonnée contre le terrorisme et ils ont en la matière tout mon soutien. Je pense d'ailleurs qu'il faudra persévérer en ce sens et rallier plus de pays à cette juste cause. J'aurais le temps de vous exposer ceci lorsque la campagne aura officiellement commencée. Je dois dire, en tout cas que le combat contre la barbarie et ce qui menace nos républiques est une priorité. Et cela, en grand visionnaire qu'il est, le Premier Ministre l'a bien compris. Il est bon de voir que la Frôce s'engage et surtout qu'elle avance !