Discours à l'ONU : réactions de la communauté internationale
Les Etats-Unis, tout d'abord, ont montré leur désapprobation en ce qui concerne la partie du discours traitant du conflit Israélo-Palestinien. Les propos de Vailland, qui plaidait pour une reconnaissance internationale de la Palestine et une action internationale de pacification sur place, ont été assez mal accueilli. John Kerry a ainsi pointé du doigt lors d'une conférence de presse une vision "peu adaptée à la situation locale"; le gouvernement Egyptien n'était, lui, pas de cet avis, et a déclaré par un communiqué rejoindre les positions frôceuses sur le conflit. En revanche, les Etats-Unis ont réagi positivement aux volontés "d'asphyxie" de l'Etat Islamique portées par le Président frôceux.
La Russie, ami historique de la Frôce, a également émis un avis mitigé. Si la Russie rejoint la Frôce notamment sur la question de la souveraineté nationale, la Fédération a en revanche mal perçu lors du discours l'insistance de la Frôce à se définir comme un pays "occidental".
La Chine a réagi positivement au discours frôceux; le Ministre chinois des Affaires Etrangères Wang Yi a ainsi déclaré que les propos tenus par Vailland de Chirey sur la "schizophrénie" des Etats occidentaux face au monde arabe relevaient d'une "bonne analyse des enjeux internationaux". Une réaction qui tombe à pic, alors que la Chine cherche de nouveaux partenaires et que la Frôce souhaite conquérir de nouvelles liaisons diplomatiques et commerciales. La France, par la voix de Laurent Fabius, a en revanche fait savoir sa désapprobation quant à ce terme, jugeant que le discours n'était pas "au fait des enjeux diplomatiques locaux". Malgré le fait que les services diplomatiques frôceux fassent état de "sérieuses relations de travail" avec la France, cette réaction pourrait bien porter préjudice aux dossiers que la Frôce aura à traiter avec l'hexagone, notamment sur la question des transports.
Autre réaction positive, celle de la Grèce; Aléxis Tsípras a ainsi déclaré être en adéquation avec les propos tenus lors de discours, notamment en ce qui concerne la souveraineté nationale. L'Allemagne, de son côté, n'a d'ailleurs pas réagi au discours, attendant sans doute que le Président frôceux se prononce avec plus de précisions sur la question européenne.
Au Ghana, le Président John Dramani Mahama a fait savoir qu'il avait apprécié ce discours, le jugeant "très franc". Une réaction qui tombe au point, à l'heure où la présence diplomatique frôceuse tâtonne en Afrique et cherche à prendre de l'assurance. A noter que le Ghana est depuis peu un partenaire commercial de la Frôce, exportant vers Aspen du pétrole à des tarifs très intéressants, tandis que les entreprises frôceuses investissent fortement dans ce pays d'Afrique où les opportunités sont grandes.
La réaction la plus enthousiaste fut celle émise par l'Etat Cubain; Raùl Castro a ainsi qualifié le discours prononcé par Alexandre Vailland de Chirey "d'historique". Une réaction inattendue, venant d'un pays avec lequel l'Etat Frôceux n'avait pas noué le dialogue depuis un bon nombre d'années.
La Russie, ami historique de la Frôce, a également émis un avis mitigé. Si la Russie rejoint la Frôce notamment sur la question de la souveraineté nationale, la Fédération a en revanche mal perçu lors du discours l'insistance de la Frôce à se définir comme un pays "occidental".
La Chine a réagi positivement au discours frôceux; le Ministre chinois des Affaires Etrangères Wang Yi a ainsi déclaré que les propos tenus par Vailland de Chirey sur la "schizophrénie" des Etats occidentaux face au monde arabe relevaient d'une "bonne analyse des enjeux internationaux". Une réaction qui tombe à pic, alors que la Chine cherche de nouveaux partenaires et que la Frôce souhaite conquérir de nouvelles liaisons diplomatiques et commerciales. La France, par la voix de Laurent Fabius, a en revanche fait savoir sa désapprobation quant à ce terme, jugeant que le discours n'était pas "au fait des enjeux diplomatiques locaux". Malgré le fait que les services diplomatiques frôceux fassent état de "sérieuses relations de travail" avec la France, cette réaction pourrait bien porter préjudice aux dossiers que la Frôce aura à traiter avec l'hexagone, notamment sur la question des transports.
Autre réaction positive, celle de la Grèce; Aléxis Tsípras a ainsi déclaré être en adéquation avec les propos tenus lors de discours, notamment en ce qui concerne la souveraineté nationale. L'Allemagne, de son côté, n'a d'ailleurs pas réagi au discours, attendant sans doute que le Président frôceux se prononce avec plus de précisions sur la question européenne.
Au Ghana, le Président John Dramani Mahama a fait savoir qu'il avait apprécié ce discours, le jugeant "très franc". Une réaction qui tombe au point, à l'heure où la présence diplomatique frôceuse tâtonne en Afrique et cherche à prendre de l'assurance. A noter que le Ghana est depuis peu un partenaire commercial de la Frôce, exportant vers Aspen du pétrole à des tarifs très intéressants, tandis que les entreprises frôceuses investissent fortement dans ce pays d'Afrique où les opportunités sont grandes.
La réaction la plus enthousiaste fut celle émise par l'Etat Cubain; Raùl Castro a ainsi qualifié le discours prononcé par Alexandre Vailland de Chirey "d'historique". Une réaction inattendue, venant d'un pays avec lequel l'Etat Frôceux n'avait pas noué le dialogue depuis un bon nombre d'années.