

Ce journaliste de caniveau me fait autant de peine que ces pauvres mendiants qui lavent le pare-brise de mon Audi R8 aux feux-rouges d'Aspen. De pauvres personnes, sans vision ni savoir, condamnées à vivre dans la pauvreté la plus absolue et dans l'inutilité la plus totale, tandis que des gens comme moi croquent à fond dans la vie. Dure que la réalité quotidienne du pauvre de base !