Je n'ai jamais prétendu être pauvre, ne transformez pas mes propos. La différence entre vous et moi, c'est que vous êtes un politicien de métier tandis que je suis un un travailleur. Du côté du capital que vous connaissez bien, la politique n'est qu'alimentaire, elle ne sert qu'à avoir de l'argent de poche et à se donner bonne conscience... Mais derrière on sait tous très bien ce qui se cache. L'argent que je possède est un héritage familial et je n'ai jamais cherché à le faire fructifier en exploitant les plus pauvres. Le posséder ne m'a pas empêché de continuer à exercer mon poste de facteur alors que j'aurais très bien pu partir me pavaner avec cet argent sous le soleil de Norijo. J'ai donc une légitimité auprès des travailleurs car j'en suis un moi-même, Monsieur Finacci. Celui qui est de tous les combats sur le pavé pour dénoncer le capital, ce n'est pas vous, ni Monsieur Salcedo, ni Monsieur Fevernov, Ni Monsieur Pommier... Ce sont bel et bien mes camarades anticapitalistes et moi-même.
J'ose dire que je n'ai pas peur de mettre les mains dans le cambouis. J'ai conscience de la réalité du quotidien d'un ouvrier. Chose que le gang des costards cravates dont vous faites partie ne pourra jamais discerner...
J'ose dire que je n'ai pas peur de mettre les mains dans le cambouis. J'ai conscience de la réalité du quotidien d'un ouvrier. Chose que le gang des costards cravates dont vous faites partie ne pourra jamais discerner...