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Communiqué du 31/01/2015 - Réaction aux résultats des élections provinciales
L'Action frôceuse prend acte des résultats de ces élections provinciales et souhaite en tirer plusieurs conditions.
Tout d'abord, il est évident que ces derniers constituent un revers significatif pour la droite nationale qui est battue partout par un candidat du système. Ne nous y méprenons pas : il ne s'agit pas là d'une victoire de la gauche, mais bien d'une défaite de la droite nationale, qui n'a pas su rassembler autour d'une alternative au système politique qui pourtant enregistre une impopularité record. Les cadres du système qui emportent l'ensemble des régions ce soir ne peuvent pas pour autant fanfaronner : il est inquiétant pour eux de devoir se rassembler à plusieurs partis pour réussir à battre les candidats patriotes, surtout dans les régions où ce fut très serré. C'est notamment le cas en Provence où Félicien Carles-Petite, soutenu par pas moins de 5 mouvements politiques, l'emporte d'une très courte tête sur Nick Zelmer.
Ensuite, dressons un constat objectif de l'opposition au système. Les Patriotes doivent retenir une leçon de ce revers électoral et s'interroger sur les raisons qui ont fait qu'ils n'ont pas su rassembler les Frôceux. Nous en avons une : les Patriotes doivent clarifier réellement leur positionnement politique et faire preuve de davantage de cohérence dans les idées proposées. Nous remarquons que ce parti se veut bien trop consensuel pour paraître crédible auprès des Frôceux, qui attendent du concret et du changement. La faute notamment à la présence incompréhensible de sociaux-libéraux dans leur camp, tels que Joseph Vann Letto et Junior de Tremblay. L'Action frôceuse est prête à tendre la main aux Patriotes à condition que ces derniers se débarrassent de leurs vieux démons. L'axe Patriotes - Pôle frôceux - Action frôceuse serait cohérent et permettrait de mobiliser davantage de forces autour des scrutins.
Enfin, nous retenons également un chiffre significatif qu'est celui de l'abstention. Dans la majorité des régions, plus d'un tiers des électeurs ne se sont pas rendus aux urnes ce week-end. Si nous comprenons le désarroi des Frôceux quant à la politique défaitiste menée par les gouvernements successifs du système, nous leur disons de ne pas perdre espoir. Ne pas se rendre aux urnes, c'est faire gagner le système.
Tout d'abord, il est évident que ces derniers constituent un revers significatif pour la droite nationale qui est battue partout par un candidat du système. Ne nous y méprenons pas : il ne s'agit pas là d'une victoire de la gauche, mais bien d'une défaite de la droite nationale, qui n'a pas su rassembler autour d'une alternative au système politique qui pourtant enregistre une impopularité record. Les cadres du système qui emportent l'ensemble des régions ce soir ne peuvent pas pour autant fanfaronner : il est inquiétant pour eux de devoir se rassembler à plusieurs partis pour réussir à battre les candidats patriotes, surtout dans les régions où ce fut très serré. C'est notamment le cas en Provence où Félicien Carles-Petite, soutenu par pas moins de 5 mouvements politiques, l'emporte d'une très courte tête sur Nick Zelmer.
Ensuite, dressons un constat objectif de l'opposition au système. Les Patriotes doivent retenir une leçon de ce revers électoral et s'interroger sur les raisons qui ont fait qu'ils n'ont pas su rassembler les Frôceux. Nous en avons une : les Patriotes doivent clarifier réellement leur positionnement politique et faire preuve de davantage de cohérence dans les idées proposées. Nous remarquons que ce parti se veut bien trop consensuel pour paraître crédible auprès des Frôceux, qui attendent du concret et du changement. La faute notamment à la présence incompréhensible de sociaux-libéraux dans leur camp, tels que Joseph Vann Letto et Junior de Tremblay. L'Action frôceuse est prête à tendre la main aux Patriotes à condition que ces derniers se débarrassent de leurs vieux démons. L'axe Patriotes - Pôle frôceux - Action frôceuse serait cohérent et permettrait de mobiliser davantage de forces autour des scrutins.
Enfin, nous retenons également un chiffre significatif qu'est celui de l'abstention. Dans la majorité des régions, plus d'un tiers des électeurs ne se sont pas rendus aux urnes ce week-end. Si nous comprenons le désarroi des Frôceux quant à la politique défaitiste menée par les gouvernements successifs du système, nous leur disons de ne pas perdre espoir. Ne pas se rendre aux urnes, c'est faire gagner le système.