+ Servir la Provence, avec Félicien Carles-Petite

[Félicien Carles-Petite]

+   [centrer]Meeting de Vauxin[/centrer]

Cette Provence, elle accompagne tout au long de la vie. Elle aide les formations, elle tend la main. C'est pour cela que je relancerai le projet de Plan Formation Professionnelle, qui permettra à chacun de pouvoir se former tout au long de la vie et changer de voie, peu importe son âge ou son niveau d'études. C'est pour cela qu'en lien avec l'Etat, je mettrai en place des spécialités "informatique" dans les lycées et collèges provençaux, et des matières informatiques en bonification. Il me paraît essentiel que chaque petit provençal, au sortir du lycée, sache utiliser l'outil informatique, sache protéger ses données, sache comment fonctionne un logiciel.

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[Félicien Carles-Petite]

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La Provence, je la vois agissant pour l'environnement. Pas avec des mesurettes, avec un grand programme. Je souhaite créer une agence de maîtrise de l'énergie, qui serait un acteur public incontournable pour les particuliers comme pour les collectivités. Je souhaite créer des parcs naturels terrestres et marins, en lien avec la Corse-Sardaigne notamment, dotés d'une autorité de contrôle et de préservation de cet environnement. Je souhaite installer des parcs éoliens et sous-marins pour aller vers la transition énergétique. Je souhaite également créer des assises régulières de l'écologie, qui allierait société civile et collectivités dans l'élaboration de projets environnementaux.

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[Félicien Carles-Petite]

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Un tel modèle démocratique, je le souhaite également pour mettre en lien territoires ruraux et territoires urbains, pour qu'ils ne soient plus mis en concurrence, mais qu'ils soient vus comme des acteurs complémentaires. C'est ainsi que je veux développer le train et l'autocar, par une politique de transport cohérente et ambitieuse. C'est ainsi que je veux soutenir l'installation en zone rurale, et créer des résidences de mobilité permettant aux habitants de la province de se loger partout en Provence pour un court moment, par exemple en cas de formation, de stage, etc. C'est ainsi que je veux créer une vraie chambre de l'agriculture de Provence, valoriser nos terroirs par des salons et prix agricoles.

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[Félicien Carles-Petite]

+   [centrer]Meeting de Vauxin[/centrer]

Je ne peux pas développer ce soir mon programme, il est très dense et vous le connaissez par cœur (rires). J'aimerais simplement que vous sachiez à tel point mon engagement pour la Provence est fort, ancré, désintéressé. Je suis un Provençal qui a créé des emplois, qui a un travail à côté de son engagement, qui paie des impôts, personnels et professionnels. Et j'ai une confidence à vous faire ce soir. Peu importe le résultat des élections dimanche, ces élections seront mes dernières. Je ne me représenterai plus au poste de Gouverneur de la Provence. Je suis fidèle à mes convictions. Je ne suis pas un professionnel de la politique, et je ne le serai jamais.
Contrairement à tous les barons qui viennent de me renier, je ne joue pas aux échecs. Je ne joue pas du tout. Je travaille, et je travaille pour vous, car aujourd'hui comme pour les deux prochaines années, vous êtes tout ce qui compte.

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[Félicien Carles-Petite]

+   Mon meeting de Vauxin est désormais terminé.

Je viens d'annoncer que, peu importe l'issue de ce scrutin, cette élection serait ma dernière. Dimanche, si je suis élu, j'arrêterai la politique à l'issue de ce nouveau mandat. Si je ne suis pas élu, j'arrêterai dimanche soir la politique.

Je reste donc fidèle à mes valeurs. Jamais je ne serai un professionnel de la politique, ni un cumulard. Ma seule volonté politique, je l'ai orientée dans le seul intérêt des provençaux. Je demande simplement à ceux-ci de réfléchir. Veulent-ils vraiment d'un député-maire-gouverneur pour gérer la région ?

[Félicien Carles-Petite]

+   Beaucoup de monde à mon meeting de Vauxin, notamment des personnalités du Rassemblement Démocrate, de La Grande Droite et aussi bien sûr de la Nouvelle Force Centriste. Une belle unité républicaine autour de ma candidature, qui ne fera pas plaisir à tout le monde, parmi les barons comme parmi les populistes.

Je serai cet après-midi à la rencontre de chefs d'entreprise à Tosla ! Restez connectés ! Vive la Provence !

[Félicien Carles-Petite]

+   

J'étais cet après-midi en visite dans l'entreprise Duluc SARL, qui produit et vends des peintures et enduits pour l'industrie du bâtiment, à Tosla les Bains. Cette entreprise familiale, forte de plus de 40 salariés, doit son succès à la famille Duluc qui a su toujours se tourner vers l'innovation et la qualité, ainsi qu'aux ouvriers de l'entreprise qui disposent d'un savoir-faire transmis au sein de cette boite depuis les années 1980.

Paul Duluc, président du Conseil de surveillance : On a énormément, mais alors énormément bénéficié de votre décision sur les circuits courts et les politiques d'achat de la Province. Avant, on se faisait bouffer les marchés publics par des entreprises françaises comme Saint Gobain ou PRB, ou même par des entreprises du Piémont, qui sont des grosses structures. Avec la nouvelle décision de la province, on a récupéré les marchés publics de trois lycées et quatre collèges. Mine de rien, ça nous a permis d'embaucher une personne supplémentaire.
Félicien Carles-Petite : Je suis ravi de voir les effets bénéfiques des politiques mises en oeuvre. Ce type de décision peut grandement aider nos entreprises, sans forcément pénaliser nos structures au niveau du budget.
Paul Duluc, président du Conseil de surveillance : En revanche, ce n'est pas cela qui va nous aider à nous agrandir. Il nous faut des investissements extérieurs.
Félicien Carles-Petite : Ce n'est pas moi qui suis à la place de Marc Schaft, mais néanmoins la Province peut aider là dessus. Le tout est de rendre la Provence attractive, de valoriser nos talents, nos entreprises, nos territoires. Cela va avec un ensemble de mesures, mais plus précisément nous comptons créer des salons de l'investissement économique, qui permettraient aux investisseurs étrangers de découvrir nos entreprises et leurs possibilités. Et puisque dans 40% des cas, les investissements étrangers arrivent quand l'entreprise exporte dans le pays en question, nous lancerons des aides à l'exportation permettant à nos entreprises de se développer à l'international et de conquérir de nouveaux marchés. Si on ajoute à cela des développement d'infrastructures, notamment de transports, la valorisation du tourisme et du tourisme d'affaires, alors on permettra à notre façon aux entreprises de voir plus loin.