Bureau du Ministre

[Antoine Jacquet]

Le bureau du Ministre des Affaires Etrangères.
Il a été investi le 2 janvier 2014 par Antoine Jacquet, alors chargé de ce ministère. Le Ministre Jacquet peut être rencontré dans son bureau, sur rendez-vous auprès de son chef de cabinet. Pour demander un rendez-vous avec M. le Ministre, veuillez écrire une requête ici.

[Gaspard Salcedo]

[HRP] Désolé pour le retard, j'ai totalement zappé :/ [/HRP]

Gaspard Salcedo se présenta à l'horaire convenu au directeur de Cabinet du Ministre.

- Bonjour, Gaspard Saleco. J'ai rendez-vous avec M. le Ministre.

Malgré son poids grandissant dans la vie publique nationale, Gaspard était toujours intimidé à l'idée de rencontrer un membre de gouvernement. Il fallait pourtant au maximum faire bonne figure, ce talentueux ministre pouvait devenir un précieux allié. Les ponts officieux entre gauche et droite étaient presque devenu des spécialités frôceuses, et permettaient de mettre en place des accords au sein desquels chacun s'y retrouvaient, au fur et à mesure et alternances gouvernementales. Salcedo toussa pour dégager ses voies respiratoires, resserra le noeud de sa cravate et mit son portable sur silencieux.

[Antoine Jacquet]

Vendredi 10 janvier 2014. Il était 8h du matin et le Ministre des Affaires Etrangères, Antoine Jacquet, était en train de travailler dans son bureau. Il peaufinait les traités commerciaux et de libre circulation des personnes qu'il allait négocier dans les jours suivants au Chili, en Argentine et en Uruguay. Il était au ministère depuis 6h30. Il buvait sa traditionnelle tasse de café matinale pour avoir les idées bien claires. Tout à coup, le Ministre reçut un coup de fil de son chef de Cabinet. Celui-ci l'avertit que le Secrétaire Général du Conseil Représentatif des Entreprises et du Patronat de Frôce et candidat à l'élection présidentielle pour le Parti Républicain Unitaire, Gaspard Salcedo, était arrivé. Il avait en effet rendez-vous avec lui à 8h. Antoine Jacquet fut satisfait de la ponctualité de Monsieur Salcedo.

- (Au téléphone) "Oui bien-sûr, faites-le entrer et indiquez-lui où se trouve mon bureau, je m'apprête à l'accueillir."

Gaspard Salcedo parcourut le long couloir qui menait au bureau du Ministre en compagnie du chef de Cabinet de Monsieur Jacquet. Lorsqu'il arriva devant la porte du bureau ministériel, celle-ci était déjà ouverte et le Ministre se tenait debout à l'entrée du bureau.

- (Avec enthousiasme) "Monsieur Salcedo, je suis ravi de vous rencontrer. J'ai bien évidemment beaucoup entendu parler de vous dans la vie politique nationale et je vous connais de réputation mais c'est effectivement la première fois que nous nous rencontrons. C'est un plaisir, réellement.

Antoine Jacquet proposa à Gaspard Salcedo d'entrer dans le bureau et l'invita à prendre place sur le fauteuil qui lui était réservé. Il lui servit quelque chose à boire et les deux hommes commencèrent à discuter.

- Avant toute chose, j'aimerais vous dire que cet entretien ne peut absolument pas durer plus d'une heure et quarante cinq minutes. J'ai un avion qui décolle pour Lima à 11h20. Ne m'en voulez donc pas si je dois mettre un terme à cette discussion à 9h45 au plus tard. Alors voilà, Monsieur Salcedo, je vous ai proposé un rendez-vous ici dans mon bureau car vous être le Secrétaire Général du Conseil Représentatif des Entreprises et du Patronat de Frôce. Par cette fonction, vous représentez les intérêts des patrons et des entrepreneurs frôceux. C'est la raison pour laquelle j'ai imaginé qu'il était légitime de discuter avec vous car en tant que Ministre des Affaires Etrangères, je suis censé servir les intérêts de l'entièreté du peuple frôceux. Je crois bon de discuter avec des personnes provenant de tous bords politiques et par-delà les clivages partisans. Vous êtes un homme de droite, je suis un homme de gauche. Disons les choses comme elles sont. Mais cela ne doit pas être un frein aux discussions quant il s'agit de l'intérêt de la Frôce. Je pense qu'il est sain de consulter toutes les sensibilités politiques. Voilà l'objet de mon invitation.
Je ne vais pas tourner autour du pot et je vais filer droit à l'essentiel. J'aimerais que vous me présentiez la vision que vous avez de la fonction qui est la mienne et que vous me faisiez part de vos projets en matière de relations diplomatiques et de politique internationale.

Antoine Jacquet était détendu et content de rencontrer M. Salcedo. Cela se voyait sur son visage, il était de bonne humeur. Il était prêt à entendre la réponse de son interlocuteur.

[Gaspard Salcedo]

Salcedo sourit et s'assit dans le fauteuil en face de son interlocuteur. Il l'écouta avec attention, puis répondit.

- Je dois dire que c'est un grand plaisir que de me trouver face à un ministre aussi dynamique et impliqué que vous. Nombre de vos prédécesseurs ont pris ce poste diplomatique pour une sorte de retraite paisible, un poste prestigieux mais sans plus, à défaut peut-être de Charles de la Tour qui était très actif malgré quelques "couacs".

Gaspard marqua un temps de pause, le temps de mettre sa jambe gauche sur son genou droit.

- La situation est la suivante : le monde international n'a plus vraiment confiance en la Frôce. Les changements ministériels affaiblissent déjà les relations de la Frôce avec les pays étrangers : je ne vous parle même pas des changements de régime... Ce qu'il faut, et je vous le dit en tant que patron et "chef des patrons" si je puis dire, c'est rétablir la confiance des investisseurs étrangers. Faire pénétrer les capitaux en Frôce durablement. Si l'on regarde les graphiques d'investissements étrangers en Frôce, ils sont catastrophiques, pleins de pics et de chutes, on dirait des électroencéphalogrammes. Ma vision est donc la suivante : multiplier les traités de libre-échange avec un maximum de pays, en signe d'ouverture. Promouvoir l'industrie frôceuse à l'étranger : en d'autres termes vendre des armes Kent&Derek et des autoroutes Batifrôce. Et surtout : lancer un plan économique irrémédiable à destination des investisseurs étrangers. Leur assurer que pendant une date de... mettons dix ans, leurs investissements faits en Frôce à moyen et long terme seront préservés par l'état, et ce malgré les divers changements que connait le pays. Les détails sont à peaufiner, vous avez une panoplie de conseillers ministériels pour cela. Mais c'est uniquement ainsi que nous rétablirons la confiance avec le monde économique. L'important est, d'un point de vue économique, d'imaginer la Frôce comme une entreprise. Celle-ci doit créer des produits très bons pour l'export, et doit donner envie d'investir pour elle.

Gaspard but une gorgée dans son verre puis continua.

- Cela pourrait se concrétiser de la façon suivante : la création d'une sorte de banque d'investissement profitable notamment aux investissements étrangers. La banque encaisse des fonds, et garantit aux investisseurs des intérêts stables pendant une longue durée. Mais ceci est une idée qui n'a pas été mûrement réfléchie.

Puis Salcedo regarda avec insistance son interlocuteur.

- Mais je ne suis pas venu que pour parler diplomatie. Des idées, je n'en manque pas. Et vous non plus. Nous sommes jeunes, nouveaux en politique bien que déjà surs de nous. Dans mon propre camp, Bertrand et Valbonesi ont leurs alliés : McGregor et Saint-Imberb, par exemple. Mais cette classe politique est vieillissante. Voici ce que je vous propose : je ne suis pas un grand adepte de ce type de gentlemen agreement, certes, mais cependant ceci peut s'avérer utile. Vous savez que les gouvernements changent, le pouvoir tourne, tantôt les libéraux sont au pouvoir, tantôt les sociaux démocrates. Je vous propose donc que nous fassions une alliance... secrète pour promouvoir chacun de notre côté du mieux que nous le pouvons, les intérêts de l'autre.

[Antoine Jacquet]

Le Ministre écoutait Gaspard Salcedo avec beaucoup d'attention. Il resservit à boire à son interlocuteur et l'écouta parler jusqu'à ce qu'il ait fini. Lorsque M. Salcedo eut terminé de dire ce qu'il avait à dire, Antoine Jacquet parut satisfait et amusé à la fois. Un sourire s'esquissa au coin de ses lèvres.

- Ecoutez, nous ne sommes pas du même bord politique mais néanmoins, je constate que nous avons tous les deux une vision assez convergente sur ce sujet. Je suis également d'avis qu'il est plus que primordial de promouvoir les capacités économiques de la Frôce à l'échelle internationale afin d'attirer un maximum d'investisseurs étrangers. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que je ne vous ai pas attendu pour m'engager dans cette voie ! (Le Ministre et Gaspard Salcedo se mirent à rigoler). Non, sérieusement, vous m'avez vous-même dit tout à l'heure que j'étais un Ministre engagé et je vous donne raison dans le sens où j'essaie de remplir ma fonction en faisant du mieux que je peux. Simplement voilà, c'est la vision stratégique que j'ai adoptée depuis le début de mon mandat. Vous le savez bien, je pars très souvent à l'étranger.

Le Ministre fit une pause pour boire un coup. Il déposa son verre sur la table et reprit.

J'étais en Belgique mercredi, aux Pays-Bas jeudi, je pars au Pérou cet après-midi, je serai au Chili demain, en Argentine dimanche, en Uruguay lundi et en France mardi. Tous ces voyages officiels ont précisément pour but de négocier des traités, non seulement culturels et environnementaux, mais également commerciaux et économiques. J'ai obtenu la conclusion d'un traité commercial entre le port maritime de Rotterdam et le port maritime d'Aspen aux Pays-Bas. Je négocierai au Chili la conclusion d'un traité portant sur l'importation de cuivre en Frôce et je négocierai en Argentine la conclusion d'un traité portant sur l'importation de métaux rare et de sucre en Frôce. J'ai bien évidemment encore énormément de projets en tête et je continuerai de multiplier les traités de libre-échanges avec les pays étrangers. Le nouveau président frôceux prendra ses fonctions le 20 janvier, c'est pourquoi j'espère être nommé de nouveau au poste de Ministre des Affaires Etrangères afin de poursuivre le travail engagé et afin de commencer à promouvoir l'industrie frôceuse à l'étranger. Quant à votre proposition de créer une banque publique d'investissement ouverte aux investisseurs étrangers, c'est en effet une idée qui vaut le coup d'être étudiée et réfléchie. Je vous promets d'y réfléchir consciencieusement et d'en toucher un mot à la Ministre de l'Economie et des Finances.

Antoine Jacquet s'arrêta de parler. Il regarda sa montre. Il regarda Gaspard Salcedo et reprit la conversation.

En ce qui concerne votre... proposition d'accord tacite, j'avoue que je n'ai pas tout à fait saisi ce à quoi vous vouliez en venir. Voulez-vous être plus précis et m'expliquer plus en profondeur en quoi cet accord consisterait-il?

[Gaspard Salcedo]

Salcedo sourit.

- J'ai bien conscience que vous êtes un ministre très investi et impliqué. Je n'ai d'ailleurs rien de critique à dire sur votre exercice de votre fonction.

Puis Gaspard finit son verre.

- Concernant notre accord... Vous êtes un homme politique jeune, moi de même. J'ai mon réseau à droite et dans les affaires, vous avez votre réseau à gauche. Mon idée est la suivante : engageons-nous, chacun de notre côté, à faire en sorte que l'autre accède le mieux possible à un poste de responsabilité. Faisons en sorte de conserver nos intérêts communs, en quelque sorte. Par exemple : imaginons que je sois nommé premier ministre. Je fais alors en sorte de vous accorder un ministère d'importance. Nous aurons la tête sous l'eau, M. le Ministre, ni nous ne nous entraidons pas face à tous les "monstres sacrés" qui s'accaparent encore le pouvoir...

[Antoine Jacquet]

Le Ministre semblait éclairé quant à la proposition de Gaspard Salcedo. Depuis le début il avait compris là où Salcedo voulait en venir mais il voulait l'entendre de vive voix. Il sourit.

- Et bien Monsieur Salcedo, vous avez beau être jeune, le moins que l'on puisse dire c'est que vous avez le sens des affaires ! Ecoutez, je ne suis pas opposé à ce genre d'accords politiques pour autant qu'il ne s'agisse pas de magouilles. La triche, je dis non. Le compromis, je dis oui. Il me semble qu'il s'agit bien ici d'un compromis politique où tout le monde s'y retrouve. Je vous propose donc la chose suivante: si le candidat FDF arrive au deuxième tour de l'élection présidentielle, et que vous n'y êtes pas, vous appelez à voter pour lui. En contrepartie, si Benjamin McGregor est élu Président de la République, je lui demanderai ainsi qu'à son Premier Ministre, de vous faire entrer au gouvernement. La seule chose est qu'il faut qu'ils acceptent de vous y faire entrer. À moins que je sois moi-même nommé Premier Ministre, là pas de problème. À l'inverse, si c'est vous qui arrivez au deuxième tour et que Benjamin McGregor ne s'y trouve pas, j'appellerai à voter pour vous. En contrepartie, si vous êtes élu Président de la République, vous avez tout le loisir de me reconduire au poste de Ministre des Affaires Etrangères. La boucle est bouclée et tout le monde trouve son compte dans cette histoire.

Antoine Jacquet termina son verre et regarda sa montre. Il attendit la réponse de Salcedo.

[Gaspard Salcedo]

Salcedo fit un grand sourire après que le Ministre eut finit son discours.

- Je n'en attendais pas moins de vous ! Voilà un bon compromis entre personnes sérieuses et raisonnables. C'est entendu, j'appellerai à voter pour McGregor au cas où je ne serai pas au second tour. J'accepte toutes ces modalités, elles sont selon moi légitimes. Et selon moi, ce serait une erreur pour McGregor de ne pas vous nommer à Belley !

Puis Gaspard remarqua que Jacquet regardait à intervalles régulier sa montre, et se dit qu'il serait opportun d'annoncer son départ dès à présent.

- Sur ce, je ne compte pas vous déranger plus longtemps. Vous devez actuellement être le Ministre avec l'emploi du temps le plus chargé... Je tiens en tout cas à vous remercier pour votre écoute. Soyez dès à présent assuré de ma fidélité.

[Antoine Jacquet]

Le Ministre fut satisfait de la réponse de son interlocuteur. Il regarda une dernière fois sa montre et constata qu'il était déjà 9h38. Il en conclut qu'il était temps de mettre fin à ce rendez-vous.

- Et bien Monsieur Salcedo, je suis heureux que nous ayons trouvé un compromis. Je vous répète que dans ma conception de la politique, il est sain que plusieurs sensibilités soient représentées dans l'exercice du pouvoir. Je trouve donc cela profitable d'organiser une ouverture gauche-droite dans le prochain gouvernement. Quant à me nommer au poste de Premier Ministre, vous le savez bien, c'est la première fois que j'accède à un poste aussi important de responsabilités, celui de ministre. Je pense que Benjamin McGregor doit compter dans son entourage des personnes nettement plus empreintes de l'expérience du pouvoir et plus aptes que moi à diriger un gouvernement. Ceci dit, votre attention me touche.

Antoine Jacquet se leva, immédiatement suivi par Gaspard Salcedo.

Je vous confirme que j'ai un emploi du temps plus que chargé. J'ai un avion à prendre dans 1h30 à destination du Pérou. Sachez en tout cas que ce fut un plaisir pour moi de discuter avec vous, je pense que nous pouvons nous accorder pour dire que cet entretien fut fructueux. Je vous promets de repenser à tout ce que nous nous sommes dit. Je dois vous laisser à présent. Mon Chef de cabinet va vous raccompagner jusqu'à la sortie du Ministère. Merci d'avoir honoré mon invitation et je vous dis à bientôt, à très bientôt.

Antoine Jacquet raccompagna Gaspard Salcedo jusqu'à la porte de son bureau. Les deux hommes se serrèrent la main chaleureusement et Salcedo traversa le long couloir qui menait à la sortie du Ministère en compagnie du Chef de cabinet du Ministre.

[Debora Da Silva]

Inauguration du nouveau logo officiel du Ministère des Affaires Etrangères :

[Gaspard Salcedo]

Un courrier fut déposé sur le bureau de la Ministre. Un poème en Alexandrins, élégamment écrit.

Ma chère et tendre inconnue de l'exécutif,
Dès que je vous ai vu à la télévision,
J'ai su que je devais sauter sur l'occasion,
Pour vous envoyer un courrier admiratif.

Si d'un seul geste vous pouviez me gratifier,
Je serais des politiques le plus chanceux,
Mais aussi et surtout l'homme le plus heureux,
Car j'aurais trouvé la femme que j'attendais.

Je suis d'ores et déjà un fou amoureux,
Venez à ma porte frapper au plus vite,
Pour que nous fassions de notre amour insolite,
Et que vous soyez de mon ciel le plus beau bleu.

Gaspard Salcedo,
Villa Aspetto, 340 Route du rocher,
Casarastra.

[Debora Da Silva]

Un courrier fut déposé sur le bureau de la Ministre. Un poème en Alexandrins, élégamment écrit.

Ma chère et tendre inconnue de l'exécutif,
Dès que je vous ai vu à la télévision,
J'ai su que je devais sauter sur l'occasion,
Pour vous envoyer un courrier admiratif.

Si d'un seul geste vous pouviez me gratifier,
Je serais des politiques le plus chanceux,
Mais aussi et surtout l'homme le plus heureux,
Car j'aurais trouvé la femme que j'attendais.

Je suis d'ores et déjà un fou amoureux,
Venez à ma porte frapper au plus vite,
Pour que nous fassions de notre amour insolite,
Et que vous soyez de mon ciel le plus beau bleu.

Gaspard Salcedo,
Villa Aspetto, 340 Route du rocher,
Casarastra.

Alors que Debora revenait d'une réunion préparatoire importante en vue de la Tournée Africaine de la semaine prochaine, elle lisa cette lettre en buvant une tasse de café. Elle plia la lettre et la rangea dans un petit carnet. Peu après elle s'écria avec sourrire...

Sacré Gaspard!

[Marc de St Imberb]

Chère collègue,

Je vous propose de profiter des mauvaises relations actuelles entre la France et le Maroc pour sauter sur la brèche et faire une visite dans le royaume, pour améliorer nos relations et effectuer plusieurs partenariats. Nous pourrions effectuer ce voyage ensemble, dans le cadre notamment de relations judiciaires.

A bientôt,

Cordialement,

[Debora Da Silva]

Cher Marc,

Votre idée est bonne.
Nous discuterons en privé des dates et des domaines à évoquer.

Debora

[Marc de St Imberb]

Vous pouvez adressez ici vos mails, courriers, coups de téléphones, visites à M. Marc de St Imberb, concernant à la fois les Affaires Étrangères et l'Intérieur et la Défense.

Pour les affaires de calendrier, les planifications de réunions, merci de vous adresser à M.Garonne, directeur de cabinet.

Marc s'installa dans son bureau, caressa le cuir de son sous-main, puis s'empara d'un stabilo et commença à passer au fluo les pages de dossiers qu'il parcourait avec attention. Puis il appela sa secrétaire.

- Elizabeth, merci de faire venir M. Garonne sous peu.

Elizabeth décrocha son téléphone et appela le directeur de cabinet.