McGregor'2014 - Meeting 1

Population : 1.650.120 habitants (1er janvier 2014)
Ville IRL : Barcelone (Espagne)
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Benjamin McGregor
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McGregor'2014 - Meeting 1

Message par Benjamin McGregor »

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10 heures passées depuis quelques minutes seulement et la foule s’accumulait déjà en nombre devant la scène où se dressaient pupitre et décor visuel à l’image du candidat à la présidence Benjamin McGregor. Dans l’assistance, de nombreuses personnes arboraient, par-dessus leur sweat et pull, le t-shirt McG’14 accompagné d’un hashtag personnalisé, l’ambiance était déjà bonne et évoluait crescendo, petit à petit. Dans les rues adjacentes à la grande place de Casarastra, des cars déversaient des centaines de militants ou de curieux venus écouter et voir un grand meeting politique démocrate et démocratique, le premier depuis la fin du régime autoritaire d’Isabelle de Trastamara.
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En ce 13 janvier 2014, la température à Casarastra était relativement douce. Sous les quelques 14 degrés qui ne descendraient vraisemblablement pas, le « grand vieux parti » comme est surnommée la Fédération Démocrate Frôçeuse, tenait dans la capitale septimane le premier grand meeting d’une campagne qui s’annonçait passionnante et itinérante au possible. En effet, ce ne sont pas moins de 8 grands déplacements qui sont prévus au programme de la tournée McGregor 2014. Stéphanie Odenska, journaliste sur la télévision régionale de Septimanie : " Si les lieux de meeting du candidat Démocrate ne sont pas encore connus, les thèmes de campagne ne le sont pas non plus même si tous les observateurs s’accordent à dire qu’ils ne devraient pas changer de ce que l'on connaît habituellement... "

Sur les côtés de la place, aux environs de 11 heures, les stands interactifs qui forment l’ensemble du village de la démocratie se sont ouverts, faisant apparaître au public des possibilités de se restaurer, de découvrir de manière ludique le programme Démocrate, de s’instruire aux côtés de diverses associations qui ont accepté de parrainer la campagne de l’ancien Premier ministre mais aussi de manger des sandwiches, de boire de la bière et des frites « à la belge » dont le partenariat a dû être obtenu lors de la visite diplomatique d’Antoine Jacquet, Ministre des Affaires étrangères, en Belgique.

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Entre 11h40 et 12h se succédèrent sur la scène tour à tour trois personnalités et sous les ovations des citoyens qui les accueillaient chaleureusement. Dans des déclarations de cinq minutes chacun, ils ont ouvert officiellement la journée politique. L’un après l’autre, l’ancien Président régional démocrate de Septimanie Juan Manuel Santos, l’ancienne députée nationale du Nouveau Parti Socialiste Evelyn Guzmann Mattei et l’ancien conseillé aux affaires européennes, le très populaire Isidor Del Rio, se sont exprimés sur les raisons « évidentes » de soutenir le candidat Démocrate.

Après les passages applaudis et les appel aux votes de ces trois camarades, les écrans placés aux abords de la place, sur la place et sur les côtés de la scène affichèrent en grand le slogan de campagne du candidat McGregor ainsi que une sorte d'album photo de la campagne du candidat démocrate où des militants ayant partagés leurs photos sur son mur Facebook.

Dès la fin des discours et jusqu'à 14h, différents groupes musicaux, locaux ou nationaux, qui ont accepté de participer à la journée ont interprété des musiques tantôt populaires, tantôt mondialement connues.

18h58. Il y avait bien longtemps que l'on avait pas vu Louis-Damien à un meeting politique. Son arrivée surprise sur la scène entraîna les applaudissements de la foule. Celui que l'on pensait voir revenir à la Présidence de la République n'était pas candidat. Il salua le public de la main, avec un grand sourire sous une ovation qui ne retombait pas. Après de longues minutes, il prit la parole.

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Chères frôçeuses, chers frôçeux,
Bonsoir.


A nouveau, des acclamations couvrirent sa voix. McGregor avait de la chance d'avoir Lacroix dans ses soutiens. Le quadragénaire se contenta d'un sourire en attendant que le calme revienne peu à peu. Lorsqu'il sentit qu'il put reprendre la parole, il le fit, avec enthousiasme, en haussant la voix pour rétablir le silence :

Il y a de cela quinze jours, j'avais lancé sur les réseaux sociaux, une possibilité pour moi d'être candidat à cette élection présidentielle. Je sais que certaines personnes ici présentes ont attendu cette candidature et ont été déçues de ne pas la voir. Le choix n'a pas été facile. Car le plus dur en politique, ça n'est pas d'accepter une fonction, mais bien d'y refuser. J'ai du me livrer à l'inventaire des derniers mois douloureux que nous avons traversé, réfléchir à la situation telle qu'elle est aujourd'hui.

Ce travail de réflexion, j'ai pu compter sur l'Alliance du Nouveau Centre, pour le faire. Grâce aux adhérents, grâce également à mon entourage, je me suis rendu compte que ne pas présenter de candidat au centre voulait forcément dire ne pas exister pour nos idées. Par le passé, j'ai oeuvré pour la Frôce, durant deux mandats, que certains parait-il ont trouvé trop courts... d'autres trop longs, qu'importe. Aujourd'hui, la Frôce a besoin d'un nouveau souffle, d'une nouvelle tête d'affiche pour la représenter.

Je considère qu'il était de mon devoir, de m'écarter si une personne incarnant ce nouveau souffle se présentait. L'ANC va prendre le temps de ce mandat pour travailler en interne sur la finalisation de notre programme sur la construction des bases essentielles au centre pour affirmer son projet et mettre en avant ses compétences. Dans ce travail de réflexion, nous avons observé la scène politique frôceuse. Et nous avons choisi notre candidat. Au delà de l'intérêt partisan, du népotisme, nous avons fait le choix d'apporter notre soutien à Benjamin McGregor.


Il y eut un tonnerre d'acclamations dans le public. Louis-Damien attendit avant de reprendre la parole :

Benjamin McGregor nous est apparu, après de nombreuses conversations comme le candidat qu'il fallait au pays pour redresser la barre et pour aller de l'avant. Le programme FDF, proche de nos idées est un programme équilibré, raisonnable, qui ne porte pas les aspects radicaux que l'on peut connaître à l'extrême gauche ou à l'extrême droite. Mais ce qui caractérise une présidentielle, ce sont avant tout, les qualités de l'homme. Je dois le reconnaître, par le passé, l'action qu'a pu mener Monsieur McGregor m'a laissé sceptique et méfiant. Nous avions quelques points de désaccord.

Je parle au passé, car pour l'avoir rencontré en vu de cette élection, j'ai redécouvert l'homme. Celui que ses détracteurs qualifient de manipulateur, de politicien entêté, borné, peu ouvert aux autres, n'est en fait rien de tout cela. Il est l'inverse. C'est un homme attentif, qui a le sens du compromis et de l'engagement. Il est intègre, droit et surtout il est extrêmement motivé. Ce sont les qualités phares d'un bon Président de la République. La Frôce a besoin d'un Chef, pas d'un despote, pas d'un vengeur, pas d'un conservateur. Elle a besoin d'un rassembleur, d'un homme qui parle à tous et qui sait se faire entendre. Cet homme c'est McGregor.


Le public n'y tint plus et couvrit Lacroix sous une ovation. Des "McGregor Président", "Lacroix avec nous" fusèrent de l'assistance. Les gens tapaient des pieds pour montrer leur accord total avec les dires de l'ancien Président.

Il y a quelques semaines à peine, la Frôce rétablissait ce qu'elle a de plus précieux : sa démocratie. Le combat fut rude, très rude. Nous avons perdu des hommes et des femmes, des martyrs en menant différentes opérations contre la Monarchie de Trastamara. Nous avons du sacrifier des vies pour recouvrer nos libertés. La lutte a été de tous les instants. Chaque participant s'est exposé à des retombées. Mais aucun n'a cédé, tous ont agi avec courage, avec dévotion, avec patriotisme pour leur pays. Comme à chaque fois, le peuple a récupéré ce qui lui appartenait de droit. Il a restauré sa souverainneté.

Et j'ai longuement insisté ces derniers jours sur l'importance de ces résistants, de ces partisans. Parmi eux ce sont retrouvés des gens issus de tous les milieux, des gens modestes, des gens riches, des ouvriers, des entrepreneurs, des syndicats, des défenseurs du patronat. Il y avait des communistes, des socialistes, des radicaux, des sociaux-démocrates, sociaux-libéraux, des libéraux, des conservateurs, des nationalistes et même des royalistes désapprouvant la dérive totalitaire du régime.

Lorsqu'avec Hélène, avec Daniel Gallon et tous les autres, nous avons vu venir ces gens, déterminés à renverser ce régime illégitime, nous n'avons pas vu leur couleur politique, nous n'avons pas donné un jugement sur leurs origines, leurs croyances. Nous avons vu des héros, des combattants, des citoyens ! L'héritage du CNCR va au delà de la démocratie ! Il s'agit de l'union nationale de la RECONCILIATION !


Il avait pris le soin d'accentuer et de bien prononcer le mot pour marquer le coup. La foule conquise se mit à applaudir ouvertement.

La réconciliation, ce n'est pas une simple idée, ça ne doit pas être la lubie de quelques personnes. C'est nécessaire et c'est la prochaine étape ! La Frôce ne peut avancer dans la division, elle doit être forte, se relever avancer, sur ses deux jambes, sans en amputer une partie sous des principes fallacieux, des aspirations vengeresses ! Nous devons nous abstenir de commettre l'irréparable, d'inscrire dans l'esprit collectif que la vengeance, la délation, la chasse aux sorcières est une solution efficace. Nous devons épargner l'Histoire, l'avenir de nos enfants de condamnations inutiles, de lynchages publics au nom de la Justice !

Car il n'y a rien de juste, rien d'équitables, rien de sain à aller chercher le policier qui a obéi aux ordres ! Il n'y a rien de courageux à aller dénicher au fin fond du village, l'homme qui fait trôner un portrait d'Isabel de Trastamara au dessus de sa cheminée. La Frôce a un lourd passé avec la Dictature. Croyez-vous que j'aurais pu être élu Président de la République si au sortir de cette Dictature l'on s'était adonné à un pugilat général ? Nous avons le devoir, en tant que républicains, en tant que citoyens attachés à la Justice et à son caractère équitable, de ne pas sombrer dans l'esprit de vengeance destructeur.

N'oublions pas que c'est cette vision de notre société qui nous a fait renoncer à la torture, à cette peine inhumaine, antique et barbare qu'est la condamnation à mort ! Toutes ces avancées, elles se sont faites parce que nous avons conscience de la nécessité de nous unir, de surmonter les difficultés ensemble. Cette union, cette volonté de réconcilier les frôceuses et les frôceux, elle est incarné par un seul homme candidat aujourd'hui : Benjamin McGregor.


Une nouvelle ovation retentit. Lacroix dut forcer sur sa voix pour poursuivre :

Je suis personnellement persuadé que Benjamin McGregor sera le Président de la Réconciliation Nationale. Celui qui saura faire la part des choses entre le besoin de Justice et les dérives vengeresses. Celui qui de part son programme parviendra à réunir le plus grand nombre. Sa capacité à écouter, à dialoguer, son engagement à mener une action humaine, proche de chacun, à entendre et répondre aux propositions de ses alliés et aussi des autres ont fini de me convaincre.

La Frôce appelle de ses voeux un nouveau départ. Elle cherche un capitaine, il s'appelle McGregor, elle cherche un cap, c'est son programme, son ouverture. Et maintenant, pour qu'elle avance, il lui faut une houle, une énergie. Cette énergie, frôceuses et frôceux, c'est la vôtre. Par le passé, vous avez fait le choix judicieux de me faire confiance. Lors de mes deux mandats, je ne vous ai pas abandonné, je n'ai jamais trahi votre confiance. Aujourd'hui, je vous le demande solennellement, à vous qui m'avez soutenu, à celles et ceux qui se retrouvent dans la politique proposé par Benjamin McGregor, aux indécis qui cherchent un candidat à soutenir à voter en masse, dès le premier tour pour le candidat de la réconciliation nationale !


Public debout, il était de plus en plus difficile pour Lacroix de s'exprimer... Il n'avait pas le souvenir que par le passé sa voix ait autant de mal. Peut-être que l'âge y jouait aussi, même s'il ne se trouvait pas vieux dans sa tête.

Il est temps de tourner une page sombre de notre histoire et d'écrire de nouveaux chapitres, empreints de respect, de tolérance, de libertés. Il est temps pour les frôceuses et les frôceux de redonner prospérité et avenir à la nation ! Tous ensemble, au delà de nos sensibilités politiques, avec humilité et abnégation, votons McGregor !

J'ai confiance en vous tous pour faire le bon choix et pour soutenir le candidat de l'espoir frôceux. Elevons-nous tous ensemble contre les relents de haine de l'extrême droite, contre l'intolérance et la division ! Portons notre étendard, chantons notre hymne ! Soyons fiers d'être unis !

Vive notre Démocratie !
Vive notre République !
Vive la Frôce !

La standing ovation couvrit l'hymne national, ce qui n'empêcha pas Louis-Damien de l'entonner aux côté d'un McGregor visiblement adulé. La campagne était en marche... la vague rose-orange n'allait pas tarder à déferler sur la Frôce. Il était alors 19h49 quand les baffles de la scène se sont ouverts et que le clip officiel de la campagne est apparu sur les écrans. Pendant 2 minutes 36 secondes, ce sont des milliers de sympathisants qui ont couverts les sons sous des applaudissements d'approbation ou de rythme. Après cela, des images des "grands" du parti et des centres se sont affichées en boucle sur la scène, les gens se relaxèrent un peu, des groupes de militants se formèrent pour chanter, une farandole mémorable pris début dans le public.

A 20h17, la foule était toujours aussi compacte, quand les baffles de la scène se sont ouverts une nouvelle, diffusant une musique entraînante. L’assistance se tourna vers le pupitre où le maître de cérémonie se tenait. Il chauffa le public et annonça l’ancien député, ancien Président de l’Assemblée nationale, ex-Ministre des Affaires Etrangères ainsi que du Travail et des Affaires Sociales, de la Justice et des Institutions, et enfin, ancien-Premier ministre : Benjamin McGregor!

Il est arrivé sous un tonnerre d’acclamations et un tonitruant « Benjamin, Benjamin, Benjamin » qui résonna à Casarastra pendant au moins 4 minutes, Benjamin McGregor se tenait debout comme lors de l’hymne national face à cette foule qui scandait son nom et qui croyait à nouveau dans l’espoir.

Il y avait au premier rang de nombreuses personnalités des centres et d'illustres personnages de la République à l'image des Présidents St Imberb et Valbonesi assis l'un à côté de l'autre. À leurs côtés, Fabio Martini, figure importante du centre-gauche dans ce pays et Antoine Jacquet, l'hyper-actif Ministre des Affaires Étrangères visiblement fatigué par sa tournée diplomatique et étoile du parti, applaudissaient aussi le candidat à la présidentielle.

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Chers compatriotes, merci à vous, merci à tous, vive la République !

[Acclamations continues pendant 1 grosse minute…]

Si nous sommes ensemble aujourd’hui, ce n’est pas pour faire de la figuration. Si nous sommes réunis aujourd’hui, c’est pour faire avancer des idées, des visions, des valeurs qui nous sont chères. C’est pour les défendre, c’est pour en être fier, c’est pour être capable de les mettre en œuvre.

[Applaudissements nourris]

Le monde dans lequel nous vivons est instable. Hier encore, la République, la grande, la belle, a dû se battre pour votre vie, votre survie, votre existence alors que nous pensions que c’en était terminé des époques sombres, noires, nauséabondes. Heureusement que dans des moments pareils, il existe la République, notre République, la grande, la belle, la rebelle aussi et surtout. Merci aux révolutionnaires et aux défenseurs de la liberté qui ont œuvré au retour de la démocratie, parfois tiraillés par la peur, l'angoisse et la terreur, souvent au péril de leur vie, merci, mille fois merci.

[Acclamations]

Il y a quelques semaines, le pays a connu des troubles moraux lorsque des insultes et des incitations à la haine ont été orchestrées et pensées par un individu loin d’être fréquentable. Durant les quelques jours passés que nous avons traversés, certains d’entre vous ont pu constater les positions des uns et les affirmations des autres via les réseaux sociaux. Je veux profiter de cette tribune pour exprimer mon envie de voir s’arrêter ce climat de détestation qui s’installe dans notre belle République. Je souhaite par-dessus tout que les amalgames maladroits entre l’extrême-gauche et l’extrême-droite s’arrêtent, je les déplore, que des alliances entre des soutiens à une institution monarchique et le fascisme ne deviennent pas automatiques, je les regrette, et que la délation, la vengeance ou l’incrimination politique ne soient pas la norme. Je veux que cela cesse, nous n’avons rien à y gagner, rien du tout !

[Applaudissements massifs durant de longues minutes, Benjamin essaie de reprendre mais il n’y arrive qu’au troisième coup]

Durant… toute… Durant toute … Durant toute cette pré-campagne, j’ai défendu la Justice et la nécessité, l’impératif même, de réconcilier la nation. Ce sera mon objectif, ce devrait être le vôtre aussi, tous et toutes. Et ensemble, de toutes nos forces, nous devrons nous poser la question simple mais tellement importante de savoir comment, oui comment, dans ces périodes où l’émotion nous prend toujours aux tripes, pourrions-nous réconcilier le pays et si cela est vraiment nécessaire ? Je le pense, et j’y crois.

[Applaudissements nourris et drapeaux volants]

« Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé. »

[La foule s’exclame et applaudit à tout rompre alors que Benjamin n’a même pas le temps d’aller plus loin…]

Nelson Mandela, cet homme merveilleux dont l’action a inspiré, et inspire encore aujourd’hui, certainement bon nombre d’entre vous, avait raison lorsqu’il a dit cette citation mondialement connue. Nous devons faire la paix avec nos ennemis d’hier. Pas avec ceux qui ont conduit les actes ignobles et terribles dont nous devons aujourd’hui panser les plaies, mais avec ceux que nous jugions ennemis hier, ceux qui étaient comme nous, terrorisés, mais plus fragiles que nous, moins sûrs d’eux, pas assez confiants pour risquer leur vie dans la défense de la démocratie. A ceux-là, je ne jette pas la pierre, je les appelle la main tendue et je leurs dis : venez, gens d’une même famille déchirée, personnes voisines qui vous êtes épiés et surveillés mutuellement, collègues de travail qui vous dévisagiez les uns et les autres, venez, prenez-vous la main, parlez-vous, dialoguez et respectez-vous, la République est votre point commun, ce qui vous unit, ce qui vous rassemble!

[Acclamations et un nouveau « Benjamin, Benjamin, Benjamin » commence dans la foule.]
Après avoir salué comme il se doit les militants, les sympathisants, les personnes présentes, Benjamin McGregor, aux côtés du Président Lacroix de Beaufoys et d'Antoine Jacquet notamment, tournait le dos à l'écran où s'affichait le mot " silence ". La foule arrêta d'hurler. Puis, l'hymne national instrumental commença et c'est a capella que Benjamin McGregor, accompagné par l'assistance aidée par les paroles inscrites sur les écrans, entonna l'Appel au Peuple dans un moment que les commentateurs politiques ont qualifié " d'énorme " !
[youtube]http://youtu.be/FVDGq6UQuOI[/youtube]
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