http://froce.fr/forum/viewtopic.php?f=4 ... 66#p114366
Voici une petite réponse que j'ai écrite sur la page facebook du faux anti-capitaliste Gallon. Cette réponse étant trop synthétique j'ai trouvé utile de préciser ma penser.
Et que serait une pensée sans un constat. Je vais donc en faire rapidement un. Ma lecture historique montre une avancée de l'humanité vers de plus en plus d'individualisme. Ce constat est particulièrement visible si l'on s'intéresse à l'histoire de l'occident. D'un âge féodale puis monarchique nous sommes passé à une contestation de ce modèle par l'humanisme et Les Lumières pour arriver dans un système démocratique ou la liberté des mœurs est de plus plus importante. Si l'on se projette on peut penser que ce chemin se poursuivra encore longtemps.
Chemin que nous parcourons à grande vitesse grâce au capitalisme. Cela peut sembler paradoxale à chacun mais c'est pourtant ainsi. Quelle est le stade suprême de l'individualisme? L'anarchisme. Or que faut-il pour que l'anarchisme puisse fonctionner? Tout simplement la suppression de la monnaie, suppression qui nécessite d'abord la suppression de l'obligation de travailler. Eh bien c'est cette suppression de l'obligation de travailler que le capitalisme est entrain de réaliser. De quelle façon me diriez-vous? Eh bien c'est tout simple: la robotisation. Les entreprises cherchent toujours à gagner en productivité c'est à dire à produire plus avec moins. Pour cela elles utilisent de plus en plus le facteur capital,c'est à dire les machines, pour arriver à ce résultat. Vu la rapidité du progrès technique on peut penser que dans quelques décennies nos ingénieurs auront trouver comment réaliser des robots, c'est à dire des êtres qui ne mangent pas,qui ne boivent pas et qui travaillent sans aucun salaire. Une chance pour les capitaliste qui vont vouloir remplacer leurs salariés par les dîtes machines. Ce faisant ils cassent eux-mêmes leur domination sur le salariat. Il est probable que cela accouche sur une disparition pur et simple de l'argent puisqu'il ne servira plus à rien, ouvrant la voie à un nouvel état d'esprit nécessaire à l'anarchisme.
Blog anarchiste
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Mathias Seducto
Re: Blog anarchiste
Le capitaliste pense t'il à l'environnement
"A long terme nous sommes tous morts" (Keynes)
Ce titre représente un argument souvent employé par les libéraux pour justifier le fait que le capitalisme est un système favorable au développement. Le raisonnement est le suivant: un bien que je détiens sert à accroître mon profit. Si celui-ci est trop détérioré celui va être de moins en moins productif ce qui va entraîner des coûts futures de réparations que le propriétaire voudrait bien ne pas avoir à payer. Ce raisonnement prend pour postulat de départ le fait que l'homme dispose d'une grande sagesse et d'une capacité à prévoir les événements assez élevés. Or ce n'est pas le cas. L'être humain peut effectivement faire des prévisions sur le court terme. Mais comment peut-il faire des prévisions sur le long-terme alors qu'il ne connait pas forcement toutes les variables. Prenons un exemple: un enfant joue à lancer une balle en mousse sur un mur. A priori rien de bien méchant. Maintenant imaginons qu'à chaque lancer 0,001 mm de la balle s'enlève de celle-ci. Au début l'enfant ne verra rien. Il continuera à lancer sa balle jusqu'au moment ou les dégâts qu'il ne pouvait prévoir se verront. Et à ce moment il va devoir les coûts à payer seront bien réelle. On observe le même raisonnement concernant l'écologie.
A cela vous me répondriez que cela n'est pas inquiétant puisque l'enfant ira rapidement réparer sa balle et ne fera plus la même erreur. Ce raisonnement peut tenir dans un système anarchiste. Dans un système capitaliste en revanche cela n'est pas sur du tout. La raison est simple: le capitalisme pousse à la création de toujours plus de profit. Si cette création n'est pas respectée l'entreprise finit par tomber en faillite. L'entreprise est donc poussé à produire toujours plus, même en salissant les sols puisque sa survie à court terme est plus n'importe quelle être humain supérieur à l'intérêt général sur long terme. La phrase de Keynes prend alors tout son sens.L'être humain pense d'abord à son plaisir passager au lieu de penser au futur, futur dont il n'est même pas sur de faire parti.
"A long terme nous sommes tous morts" (Keynes)
Ce titre représente un argument souvent employé par les libéraux pour justifier le fait que le capitalisme est un système favorable au développement. Le raisonnement est le suivant: un bien que je détiens sert à accroître mon profit. Si celui-ci est trop détérioré celui va être de moins en moins productif ce qui va entraîner des coûts futures de réparations que le propriétaire voudrait bien ne pas avoir à payer. Ce raisonnement prend pour postulat de départ le fait que l'homme dispose d'une grande sagesse et d'une capacité à prévoir les événements assez élevés. Or ce n'est pas le cas. L'être humain peut effectivement faire des prévisions sur le court terme. Mais comment peut-il faire des prévisions sur le long-terme alors qu'il ne connait pas forcement toutes les variables. Prenons un exemple: un enfant joue à lancer une balle en mousse sur un mur. A priori rien de bien méchant. Maintenant imaginons qu'à chaque lancer 0,001 mm de la balle s'enlève de celle-ci. Au début l'enfant ne verra rien. Il continuera à lancer sa balle jusqu'au moment ou les dégâts qu'il ne pouvait prévoir se verront. Et à ce moment il va devoir les coûts à payer seront bien réelle. On observe le même raisonnement concernant l'écologie.
A cela vous me répondriez que cela n'est pas inquiétant puisque l'enfant ira rapidement réparer sa balle et ne fera plus la même erreur. Ce raisonnement peut tenir dans un système anarchiste. Dans un système capitaliste en revanche cela n'est pas sur du tout. La raison est simple: le capitalisme pousse à la création de toujours plus de profit. Si cette création n'est pas respectée l'entreprise finit par tomber en faillite. L'entreprise est donc poussé à produire toujours plus, même en salissant les sols puisque sa survie à court terme est plus n'importe quelle être humain supérieur à l'intérêt général sur long terme. La phrase de Keynes prend alors tout son sens.L'être humain pense d'abord à son plaisir passager au lieu de penser au futur, futur dont il n'est même pas sur de faire parti.
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Mathias Seducto
Re: Blog anarchiste
Le capitalisme est-il le meilleur système pour créer des biens utiles?
Avant de commencer ma démonstration il est utile de rappeler le concept de la valeur utilité appelée aussi valeur subjective. Celle théorie nous dit que la valeur d'un bien est déterminé par chacun d'entre nous. Ainsi une chaise aura une grande valeur pour celui qui a mal aux jambes. Cependant pour la personne qui est en pleine forme cette chaise ne vaudra rien. Il arrive que des objets aient une utilité importante et soit reconnu par tous. C'est le cas par exemple des produits propres c'est à dire bon pour l'environnement. Logiquement les capitalistes devraient déjà avoir commercialiser des produits de ce style sans intervention de l'Etat. Et pourtant cela n'est que très rarement le cas. Cela est grandement du à la valeur monétaire de l'objet, valeur qui est différente je le précise de la valeur-utilité. Imaginons deux biens: un premier type de bien sera non polluant et coûtera 100000 euros. L'entreprise devra donc le vendre très chère et devra attendre assez longtemps avant que les économies d'échelles ne fassent baisser son prix. De l'autre côté le bien B coûtant 1000 euros, polluant et ayant une rentabilité quasi immédiate. Nous avons déjà démonté ici que l'intérêt personnel immédiat triomphait sur l'intérêt général à long terme. Par conséquent les entreprises vont se tourner en priorité vers le produit ou la valeur monétaire sera la plus faible, donc vers les biens polluants.
Mais imaginons maintenant qu'une entreprise veuille commercialiser seule ces produits. Elle le vendra certainement à un prix trop chère pour être consommer par la masse. Une élite pourra donc se l'acheter directement et d'autres devront se contenter de voitures polluantes. En plus du facteur inégalitaire il y a un autre facteur à prendre en compte: la temporalité. Les produits écologiques doivent être produis et propager à une vitesse assez importante. Or dans ce système il est très difficile de le faire puisque l'achat de telle produits est limité. Encore une raison qui montre incompatibilité du capitalisme avec l'environnement.
Avant de commencer ma démonstration il est utile de rappeler le concept de la valeur utilité appelée aussi valeur subjective. Celle théorie nous dit que la valeur d'un bien est déterminé par chacun d'entre nous. Ainsi une chaise aura une grande valeur pour celui qui a mal aux jambes. Cependant pour la personne qui est en pleine forme cette chaise ne vaudra rien. Il arrive que des objets aient une utilité importante et soit reconnu par tous. C'est le cas par exemple des produits propres c'est à dire bon pour l'environnement. Logiquement les capitalistes devraient déjà avoir commercialiser des produits de ce style sans intervention de l'Etat. Et pourtant cela n'est que très rarement le cas. Cela est grandement du à la valeur monétaire de l'objet, valeur qui est différente je le précise de la valeur-utilité. Imaginons deux biens: un premier type de bien sera non polluant et coûtera 100000 euros. L'entreprise devra donc le vendre très chère et devra attendre assez longtemps avant que les économies d'échelles ne fassent baisser son prix. De l'autre côté le bien B coûtant 1000 euros, polluant et ayant une rentabilité quasi immédiate. Nous avons déjà démonté ici que l'intérêt personnel immédiat triomphait sur l'intérêt général à long terme. Par conséquent les entreprises vont se tourner en priorité vers le produit ou la valeur monétaire sera la plus faible, donc vers les biens polluants.
Mais imaginons maintenant qu'une entreprise veuille commercialiser seule ces produits. Elle le vendra certainement à un prix trop chère pour être consommer par la masse. Une élite pourra donc se l'acheter directement et d'autres devront se contenter de voitures polluantes. En plus du facteur inégalitaire il y a un autre facteur à prendre en compte: la temporalité. Les produits écologiques doivent être produis et propager à une vitesse assez importante. Or dans ce système il est très difficile de le faire puisque l'achat de telle produits est limité. Encore une raison qui montre incompatibilité du capitalisme avec l'environnement.
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Mathias Seducto
Re: Blog anarchiste
Le capitalisme peut-il s'auto-réguler
L'auto-régulation du marché a fait et fait encore beaucoup débat. Un des problèmes dans celui-ci est la définition de l'auto-régulation. Pour moi il s'agit de la non-présence de crise dans un système économique. Empiriquement il est facile de démontrer que cela est faux. Pour les libéraux ces crises sont principalement du à l'intervention de l'Etat. Il convient donc de savoir si le capitalisme peut tomber en dépression sans intervention de l'Etat. Pour moi la réponse est clairement oui. Cela est du aux principes même de l'économie de marché c'est à dire la concurrence. La concurrence pousse les acteurs à baisser leur prix pour rester compétitif. Par conséquent le prix du produit est progressivement ramener à son coût de production. Si la demande s’élevait du fait de la baisse des prix cela rétablirait la baisse des marges.Or les prix ne peuvent varier à l'infini. Idem pour la productivité et l'innovation. Par conséquent la marge finira par baisser. Cette baisse entraînera certainement une redistribution de la valeur ajoutée au profit de l'investissement et des actionnaires puisque pour produire ce sont les acteurs qu'il faut absolument conserver (du point de vue de l'entreprise). La sommes des pourcentages étant égales à 100% si le poids des secteurs augmentent certains vont diminuer. Le poste diminuant est ici celui des salaires. Cependant si la consommation des ménages baissent du fait d'un salaire moins important les entreprises auront certainement plus de mal à vendre leur produit. On est ici en pleine incohérence,incohérence propre au système capitalisme.
L'auto-régulation du marché a fait et fait encore beaucoup débat. Un des problèmes dans celui-ci est la définition de l'auto-régulation. Pour moi il s'agit de la non-présence de crise dans un système économique. Empiriquement il est facile de démontrer que cela est faux. Pour les libéraux ces crises sont principalement du à l'intervention de l'Etat. Il convient donc de savoir si le capitalisme peut tomber en dépression sans intervention de l'Etat. Pour moi la réponse est clairement oui. Cela est du aux principes même de l'économie de marché c'est à dire la concurrence. La concurrence pousse les acteurs à baisser leur prix pour rester compétitif. Par conséquent le prix du produit est progressivement ramener à son coût de production. Si la demande s’élevait du fait de la baisse des prix cela rétablirait la baisse des marges.Or les prix ne peuvent varier à l'infini. Idem pour la productivité et l'innovation. Par conséquent la marge finira par baisser. Cette baisse entraînera certainement une redistribution de la valeur ajoutée au profit de l'investissement et des actionnaires puisque pour produire ce sont les acteurs qu'il faut absolument conserver (du point de vue de l'entreprise). La sommes des pourcentages étant égales à 100% si le poids des secteurs augmentent certains vont diminuer. Le poste diminuant est ici celui des salaires. Cependant si la consommation des ménages baissent du fait d'un salaire moins important les entreprises auront certainement plus de mal à vendre leur produit. On est ici en pleine incohérence,incohérence propre au système capitalisme.
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Mathias Seducto
Re: Blog anarchiste
]Nos voisins devraient sortir de l'euro
Depuis maitenant 6 ans la crise a frappé le monde. Face à cela un certains nombres de politiques ont été mené. Certaines plus efficaces que d'autres. La pire d'entre elles a été le maintient coûte que coûte de l'euro. Cela se montre sur ces graphiques:
http://static.lexpansion.com/medias/172/88445.jpg
http://img.agoravox.fr/local/cache-vign ... -212a5.png
Si l'on résume les pays membres de l'UE et hors-zone euro ont connu une croissance plus importante et un chômage moins important que les pays membres de la zone euro. Cela prouve empiriquement que la zone euro est un échec. Pour ceux qui veulent une démonstration théorique en voici une. Pour qu'une zone monétaire puisse fonctionner il faut une certaine homogénéité de la zone euro pour qu'une seul et même politique monétaire soit mené et quelle bénéficie à tous. Or on voit que ce n'est ps le cas. Un des problèmes de la zone euro est l'Allemagne. Ce pays a une peur irrationnelle de l'inflation, inflation pourtant nécessaire pour les pays d'Europe du Sud. Par conséquent on voit bien qu'il existe une contradiction d'intérêt au sein de la zone euro qui rend impossible une politique cohérente.
Et dire que le PSE prévoit dans son programme l'entrée de la Frôce dans le cauchemard européen.
Depuis maitenant 6 ans la crise a frappé le monde. Face à cela un certains nombres de politiques ont été mené. Certaines plus efficaces que d'autres. La pire d'entre elles a été le maintient coûte que coûte de l'euro. Cela se montre sur ces graphiques:
http://static.lexpansion.com/medias/172/88445.jpg
http://img.agoravox.fr/local/cache-vign ... -212a5.png
Si l'on résume les pays membres de l'UE et hors-zone euro ont connu une croissance plus importante et un chômage moins important que les pays membres de la zone euro. Cela prouve empiriquement que la zone euro est un échec. Pour ceux qui veulent une démonstration théorique en voici une. Pour qu'une zone monétaire puisse fonctionner il faut une certaine homogénéité de la zone euro pour qu'une seul et même politique monétaire soit mené et quelle bénéficie à tous. Or on voit que ce n'est ps le cas. Un des problèmes de la zone euro est l'Allemagne. Ce pays a une peur irrationnelle de l'inflation, inflation pourtant nécessaire pour les pays d'Europe du Sud. Par conséquent on voit bien qu'il existe une contradiction d'intérêt au sein de la zone euro qui rend impossible une politique cohérente.
Et dire que le PSE prévoit dans son programme l'entrée de la Frôce dans le cauchemard européen.
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Mathias Seducto
Re: Blog anarchiste
La démystification des Lumières
Ah les Lumières. Philosophes acclamés dans nos livres scolaires. Et pourtant ils ne sont pas aussi parfait:
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=E2tDHuTGeeY[/youtube]
Attention il ne s'agit pas de généralisé. Certans pilosophes comme Rousseau ne ressemblait pas à cela. Ainsi voilà se que disait Claude-Adrien Helvétius:
"Aussi le luxe n’est-il jamais extrême, lorsque le partage des richesses n’est pas trop inégal ; il s’augmente à mesure qu’elles se rassemblent en un plus petit nombre de mains ; il parvient enfin à sa dernière période, lorsque la nation se partage en deux classes, dont l’une abonde en superfluités, et l’autre manque du nécessaire. [...] D’ailleurs, l’homme riche, qui a plus de luxe encore que de richesses, est intéressé `à baisser le prix des journées, à n’offrir au journalier que la paye absolument nécessaire pour sa subsistance : le besoin contraint ce dernier à s’en contenter ; [...] Lorsque, par la beauté de ses manufactures et la perfection des arts de luxe, une nation a attiré chez elle l’argent des peuples voisins, il est évident que le prix des denrées et de la main d’oeuvre doit nécessairement baisser chez ces peuples appauvris ; et que ces peuples, en enlevant quelques manufacturiers, quelques ouvriers à cette nation riche, peuvent l’appauvrir à son tour en l’approvisionnant, à meilleur
compte, des marchandises dont cette nation les fournissait."
Dés le 18ème sicèle on invite la loi d'airain des salaires et l'analyse de classe! Donc soyons modéré. Mais cette vidéo est tout de même à regarder.
Ah les Lumières. Philosophes acclamés dans nos livres scolaires. Et pourtant ils ne sont pas aussi parfait:
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=E2tDHuTGeeY[/youtube]
Attention il ne s'agit pas de généralisé. Certans pilosophes comme Rousseau ne ressemblait pas à cela. Ainsi voilà se que disait Claude-Adrien Helvétius:
"Aussi le luxe n’est-il jamais extrême, lorsque le partage des richesses n’est pas trop inégal ; il s’augmente à mesure qu’elles se rassemblent en un plus petit nombre de mains ; il parvient enfin à sa dernière période, lorsque la nation se partage en deux classes, dont l’une abonde en superfluités, et l’autre manque du nécessaire. [...] D’ailleurs, l’homme riche, qui a plus de luxe encore que de richesses, est intéressé `à baisser le prix des journées, à n’offrir au journalier que la paye absolument nécessaire pour sa subsistance : le besoin contraint ce dernier à s’en contenter ; [...] Lorsque, par la beauté de ses manufactures et la perfection des arts de luxe, une nation a attiré chez elle l’argent des peuples voisins, il est évident que le prix des denrées et de la main d’oeuvre doit nécessairement baisser chez ces peuples appauvris ; et que ces peuples, en enlevant quelques manufacturiers, quelques ouvriers à cette nation riche, peuvent l’appauvrir à son tour en l’approvisionnant, à meilleur
compte, des marchandises dont cette nation les fournissait."
Dés le 18ème sicèle on invite la loi d'airain des salaires et l'analyse de classe! Donc soyons modéré. Mais cette vidéo est tout de même à regarder.