[police=trebuchet]VISITE A LA PRISON D'ASPEN - 10 AVRIL 2014
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JULIEN DE LA TOUR[/police]
Vendredi 10 avril, début d'après-midi. Depuis son élection, Julien de la Tour n'avait pas réalisé un déplacement en Frôce, et cela lui manquait. Il avait décidé de renouer avec le terrain, de prendre le pouls de la Frôce en sortant du palais d'Anthelme. -----
JULIEN DE LA TOUR[/police]
Pour ce premier déplacement en tant que président, il effectua une visite à la prison d'Aspen avec son ministre de la Justice et des Institutions, Thomas François. Ils furent reçus par le premier adjoint d'Aspen, Monsieur Salcedo ayant délégué son pouvoir afin d'entrer dans le gouvernement. C'était l'occasion pour les trois hommes d'échanger avec l'administration pénitentiaire mais également avec les prisonniers. Un tour de la prison a été réalisé par le président, son ministre et le premier adjoint de la ville puis des échanges sincères se sont mis en place. L'occasion pour les prisonniers de montrer leur mécontentement quant à leur condition de détention et pour l'administration de témoigner de la situation frôceuse dans les prisons.
Après cette visite de deux heures, Julien de la Tour accepta de répondre à quelques journalistes présents sur place :

- Je ne vous apprends rien en vous disant que notre mandat est placé sous le signe du citoyen. Les prisonnières et les prisonniers de notre pays doivent également se sentir concernés par cette volonté, ils ne doivent pas se sentir abandonner des hommes et des femmes politiques de notre pays. J'ai voulu leur montrer cela en allant directement les voir et en parlant avec eux.
- Les prisons frôceuses, et notamment la prison d'Aspen, connaissent des situations particulières. Qu'avez-vous prévu ?
- Le ministre de la Justice, Thomas François, a eu plusieurs éléments, a plusieurs objectifs pour nos prisons. Tout d'abord, faisons un constat : nous avons une surpopulation des prisons. Monsieur de Saint-Imberb a proposé la création de prisons, nous poursuivrons le travail tout comme nous poursuivrons la volonté de voir les prisonniers vivent dans de meilleures conditions. La dignité humaine ne s'arrête pas aux portes d'un centre pénitencier. Il est urgent d'agir et de rénover les prisons qui en ont besoin.
- Une solution contre la surpopulation ?
- Nous souhaitons développer des peines aménagées pour éviter la surpopulation des prisons. Si la création de nouveaux centres est un pas, elle ne pourra pas tout résoudre. Ces peines aménagées pourraient être forme variée et je souhaite que le Ministre François engage des discussions avec les syndicats et les juges pour trouver des solutions et construire une loi rapidement relative au développement des peines aménagées. Nous devons développer cette pratique qui a fait ses preuves dans d'autres pays du monde. Pourquoi ne pas également la développer dans notre pays ?
Je vous remercie.
Après ces quelques mots, Thomas François prit à son tour la parole