Edouard de Trance

[Edouard de Trance]

+   "J'ai perdu alors je boude" est la nouvelle devise de Monsieur le Maire Salinovitch. Boudez monsieur Salinovitch, mais je doute que quelqu'un vienne vous réconforter.

Dans tous les cas, Justice est rendue et je suis ravi de cette décision, preuve est fait que la justice existe bel et bien.

[Edouard de Trance]

+   Dans le Cadre de la Campagne pour les élections du binôme qui dirigera l'URF, Edouard de Trance s'est rendu au Bureau de l'URF à Chouchenn où il a parlé aux militants.

[centrer]Retrouvez son intervention ici !

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[Edouard de Trance]

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C'est avec un profond regret que je m'exprime devant vous, la défaite est amère, comme toute défaite, mais elle est constructive. Elle permet d'en apprendre plus sur les gens que l'on côtoie, elle permet d'en apprendre plus sur nous même. En cette belle soirée j'ai beaucoup appris. J'ai appris que 50 000 militants faisaient confiance à Erce et moi. Je suis soulagé que 50 000 militant pensent que le parti avait besoin de changement. Enfin l'heure n'est pas à la déprime mais plutôt aux projets. Je souhaite donc beaucoup de courage à Madame Von Bertha et Monsieur Vann Letto, car ils auront besoin de force pour pouvoir maintenir ce parti aussi haut qu'il l'était aux dernières élections.

Pour ma part j'espérais beaucoup de ces élections, mais toute prière n'est parfois pas entendu. Dans tous les cas ce sont de nouvelles perspectives qui s'offrent à moi, je vais prendre le temps de la réflexion. Je ne quitterais pas la vie politique, n'en déplaise à mes détracteurs, je ferais des choix, des choix qui déplairont peut-être, mais tout choix nécessite de fermer les autres portes. Parfois peut-être faut il claquer des portes pour avancer.

Merci de votre confiance en moi, je ne peux vous assurer qu'elle ne vacillera pas, sachez toutefois que moi j'aurais toujours confiance en vous.

C'est ainsi que c'est exprimé Edouard de Trance, à Chouchenn, à l'annonce des résultats des votes.

[Edouard de Trance]

+   C'est avec effroi que je lis la Libre Frôce de ce soir, c'est un profond sentiment de trahison qui m'habite, je me sens lésé par un parti que je ne reconnais plus. S'il est vrai qu'il y a des scissions au sein du parti, je ne comprends pas qu'ils puissent entraîner un rapprochement avec un parti d'extrême droite. Si c'est le pouvoir qui intéresse Madame Von Bertha, et monsieur Vann Letto, alors ils tenteront de l'avoir sans moi. Pour ma part je décide de ne plus participer au Bureau Politique de l'URF, le dégoût est trop fort.

[Edouard de Trance]

+   C'est avec gravité que je vous annonce mon départ de l'URF, ce parti ne me correspond plus, en peu de temps il a changé et je vous le dis sans détours, je ne me sens plus à l'aise à l'URF. Vous savez quand un parti que l'on pense de centre droit penche de plus en plus vers la droite et d'après la presse vers la droite dure, on ne peut que se rendre à l'évidence que ce parti n'est plus fait pour nous. De plus quand la majorité du parti n'est plus en concordance avec vos idées, comment progresser ? Je quitte donc l'URF parce que j'aime l'URF, malgré les affaires je ne peux que l'aimer, et c'est pour cela que je la quitte. Je ne veux pas être la cause de l'implosion d'un parti que j'aime. Je vais aussi quitter le groupe parlementaire de l'URF, pour rester quelques temps en indépendant, et voir les groupes qui me correspondent le plus.

Ce fut une jolie histoire, qui se termine aujourd'hui.

[Edouard de Trance]

+   En Déplacement à Orgues les bains le Ministre a dévoilé sa feuille de route à la presse, a répondu aux questions des journalistes et a commenté l'actualité de ces derniers jours.

retrouvez son intervention ici.

[Edouard de Trance]

+   Madame Nakamura, mon projet n'est en aucun cas pour infantiliser les enseignants, je tiens cependant à les rentrer dans le cadre de la loi pour mieux les protéger, si c'est de l'infantilisation.

Pour ce qui est de la proposition de créer une prestation de serment, où est l'infantilisation ? Il s'agit au contraire d'une reconnaissance de la part des pouvoirs publics de ce corps si décrié.

Madame Nakamura, vos inquiétudes sont infondées, ne vous inquiétez donc plus.

[Edouard de Trance]

+   Madame Nakamura, pour une femme politique de votre envergure j'attendais au moins que vous sachiez lire correctement. Je ne vous connaissais pas manipulatrice d'information.

Pour ce qui est des réformes que je propose, l'avis des enseignants m'intéressent bien plus que votre quête personnelle vers le pouvoir. Veuillez ne plus m'impliquez dans celle ci si vous persistez à être de si mauvaise foi.

Quand à mon interview par mon ancien journal, où cela blesse ? Je n'ai aucune part dedans. Enfin, allez y Madame Nakamura, critiquez critiquez, à défaut de faire quelque chose pour vos concitoyens.

[Edouard de Trance]

+   Madame Nakamura, je ne me travestirais pas pour vous, j'espère que vous aussi vous comptez aller jusqu'au bout de votre programme à moins que ce ne soit que des promesses électorales. Allez au bout de son programme n'est pas un passage en force madame Nakamura, cela ne veut pas dire que je ne prendrais pas en compte les avis, pourquoi aurais je mis en place des débats publics sinon ? Pourquoi être démocrate, tout simplement, si je n'acceptais pas la discussion ? De plus j'ai déjà organisé des rendez vous avec les syndicats, je ne suis pas un ennemi de l'enseignement, cessez de me faire enfiler de force ce rôle.

[Edouard de Trance]

+   Je félicite Monsieur le député Bach pour sa victoire au perchoir et je l'en félicite de se penser à tel point partial qu'il soit obligé de donner ses députés à Monsieur le député Timber. Enfin, les Patriotes vont encore nous assommer d'un "regardez comme on est honnête, le président de l'AN n'a qu'un seul député, c'est dire son impartialité !".

Et j'en profite pour féliciter Monsieur le député Vann Letto pour son importante nomination à la vice présidence de l'Assemblée, peut être que cela permettra d'empêcher les cadres de l'URF de partir un par un...

Dans tous les cas, nous avons vraiment de la chance d'avoir un tel binôme pour faire respecter la parole dans l'hémicycle.

[Edouard de Trance]

+   Tout mon soutient va au proche de Monsieur Dorian Bolitar, et à ceux de Madame Calloway. C'est un triste jour pour la gauche frôceuse.

[Edouard de Trance]

+   Non Monsieur Bach, je ne démissionnerais pas parce qu'un extrémiste ne représentant que le populisme me le demande, si Monsieur le Premier Ministre décide de suivre votre conseil il me renverra mais je ne démissionnerais pas.

Toute la classe politique semble être parfaitement d'accord sur le fait que les "professeurs sont la base de tout", oubliez vous que ce sont ces mêmes professeurs que je défends, je ne permets à quiconque de revenir sur ce fait. Je me suis engagé pour les enseignants et les élèves, je me suis battu pour eux, je reconnais mon erreur de communication. La Charte ne sera pas proposé à l'AN, que ce soit par le gouvernement ou, comme un ancien ami me l'a conseillé, par un représentant parlementaire. Je ne vous ferais pas cet affront mais je ne vous permets pas de revenir sur mes convictions et mon honnêteté vis à vis de vous. Je vous admire mais comprenez que dans de rares occasions je vous hais, d'autant plus que je vous admire et que je travaille pour vous.

[Edouard de Trance]

+   Enseignants,

J'ai été trop loin, trop violent. En bref, j'ai été mauvais, je ne vous ai pas fais honneur, je ne vous ai pas respectés, je me suis abaissé à un stade que je ne soupçonnais pas atteindre. J'ai fais l'erreur de penser que je pouvais savoir ce qui était bon pour vous, j'ai fais l'erreur de penser que vous ne le saviez pas vous même. J'ai fais l'erreur de penser que vous ne saviez pas ce que vous faisiez, alors que vous êtes là au quotidien, que vous savez ce qu'il doit être fait.

Je m'imaginais surhomme, j'ai fais un excès de zèle, j'étais en colère, j'étais trop sûr de moi, et dans tous cela je vous ai oublié, vous les principaux intéressés, ceux que j'ai foulé du pied. C'est pourquoi je vous prie de m'excuser. Ce mépris que j'ai eu pour vous il est indélébile mais j'espère que je ne vous décevrais plus le temps qu'il me reste à vous servir.

Mais ces mots que je vous écris ne sont que des mots, c'est pourquoi vous demandez à me voir, et je vous recevrais. J'ai fais une erreur, c'est arrivé, ça n'arrivera plus, nous discuterons, nous débattrons, nous légiférerons ; ensemble, pour vous, pour nous, pour la frôce.

[Edouard de Trance]

+   Depuis les premières sociétés, le terroriste existe, hier soir encore il a frappé, une énième fois, dans le même but : faire peur. Mais nous ne devons pas céder à la peur, ce serait trop facile. En ce jour de mobilisation internationale, je ne suis pas Paris, mais je suis de tout cœur avec vous, amis français, car nous sommes dans le même bateau, celui de la démocratie, et il ne doit pas chavirer. Si aujourd'hui il faut être quelque chose contre le terrorisme, alors je n'ai qu'une chose à être : Humain.

Les terroristes veulent nous pousser à la faute, ne leur donnons pas ce plaisir.

[Edouard de Trance]

+   Bonjour,
Il y a longtemps que nous n'avions pas parlé politique ici. Cela fait trop longtemps que je vous laisse sans nouvelles. Pour tout vous dire j'avais pour ambition d'arrêter la politique, me perdant dans mes idées. J'ai fais tous les bureaux de partis, pour voir ce qui me convenaient et rien ne me convient. J'ai donc travaillé d'arrache-pied à mon ministère, sans m'occuper de vous. Puis, il y a peu, j'ai pris le temps de me vider l'esprit. J'ai pris le temps de penser, de réfléchir, à ce que je devais faire : arrêter ou continuer. Oui j'aurais certainement pu aller couler des jours heureux au consulat frôceux de Barbados mais j'ai décidé autre chose.

Je vais continuer la lutte, sans parti, sans une autre étiquette que celle d'indépendant, car c'est ma vraie nature, je ne me travestirais pas alors qu'est en jeu l'Intérêt de la Nation. Je ne vais pas vous faire le couplet de l'homme-nouveau, et encore moins celui de l'homme-providentiel, je vais plutôt vous faire celui de l'homme qui veut se battre pour vous, qui se battra pour vous, même seul, même désarmée, même au bord du gouffre, je continuerais de me battre.

Et si vous le désirez, on se battra ensemble, contre l'injustice, contre une économie libérale orthodoxe, contre les inégalités, ce sont des lieux communs, certes, mais je vous proposerais, dans les jours à venir, plus que des lieux communs, des idées.